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A l'occasion de la semaine de prière pour l'unité des chrétiens, Catherine Aubin nous propose un entretien avec un prêtre dominicain, pont entre le catholicisme et l'orthodoxie. Il s'agit du frère Hyacinthe Destivelle, invité de ce dimanche. Il est actuellement official à la Section orientale du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens à Rome.
ENTRETIEN ICI
Il nous raconte son parcours très particulier vers l’orthodoxie. Outre le fait que Hyacinthe Destivelle est prêtre dominicain, il est aussi docteur en sciences religieuses à l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge et à l’Institut catholique de Paris. Ancien directeur du Centre d’études et de la revue Istina, il a été également plusieurs années curé de l'église catholique Sainte-Catherine à Saint-Pétersbourg
Lire aussi Existe-t-il une collusion entre l’Etat et l’Eglise russe ?
ET La célébration départementale de la Semaine de prière pour l'unité des chrétiens a eu lieu au Séminaire
ENTRETIEN ICI
Il nous raconte son parcours très particulier vers l’orthodoxie. Outre le fait que Hyacinthe Destivelle est prêtre dominicain, il est aussi docteur en sciences religieuses à l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge et à l’Institut catholique de Paris. Ancien directeur du Centre d’études et de la revue Istina, il a été également plusieurs années curé de l'église catholique Sainte-Catherine à Saint-Pétersbourg
Lire aussi Existe-t-il une collusion entre l’Etat et l’Eglise russe ?
ET La célébration départementale de la Semaine de prière pour l'unité des chrétiens a eu lieu au Séminaire
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 31 Janvier 2015 à 11:05
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Avec la bénédiction de Sa Sainteté le Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie, une precieuse relique chrétienne – la Dextre de Dimitri mégalomartyr à Thessalonique, patron des militaires orthodoxes – sera amenée le 5 février 2015 dans le monastère Novospassky stavropigial pour hommes.
La sainte relique sera apportée par la délégation de l’Eglise d’Hellade avec à sa tête Monseigneur Panteleimon, métropolite de Verijsk. La Dextre de Saint Dimitri reposera du 5 au 20 février 2015 dans le monastère Novospassky (10, place Krestyanskaya , Moscou). Des acathistes et des prières seront dits tous les jours devant la relique.
Lien Pravoslavie.ru Traduction Artem Nazarov
La sainte relique sera apportée par la délégation de l’Eglise d’Hellade avec à sa tête Monseigneur Panteleimon, métropolite de Verijsk. La Dextre de Saint Dimitri reposera du 5 au 20 février 2015 dans le monastère Novospassky (10, place Krestyanskaya , Moscou). Des acathistes et des prières seront dits tous les jours devant la relique.
Lien Pravoslavie.ru Traduction Artem Nazarov
V.G.
"Notre Seigneur Jésus Christ est donc vrai Dieu et vrai homme, parfait dans sa divinité et parfait dans son humanité, consubstantiel au Père et consubstantiel à nous en tout, hormis le péché. Sa divinité et son humanité sont unies en une personne, sans confusion ni changement, sans division ni séparation. En lui a été préservée la différence des natures de la divinité et de l'humanité, avec toutes leurs propriétés, facultés et opérations. Mais loin de constituer «un autre et un autre», la divinité et l'humanité sont unies dans la personne du même et unique Fils de Dieu et Seigneur Jésus Christ, objet d'une unique adoration". Déclaration christologique commune de 1994, signée par le Pape Jean-Paul II et le Patriarche Mar Dinkha IV
Les Orthodoxes orientaux (Églises préchalcédoniennes) n'avaient pas suivi les décisions du concile de Chalcédoine (451) sur la double nature du Christ et furent qualifiés de "monophysites": ce fut le premier schisme de l'Eglise. Mais des avancées récentes dans le dialogue avec les différentes confessions chrétiennes tendent à effacer ces 1500 ans d'incompréhension mutuelle.
"Notre Seigneur Jésus Christ est donc vrai Dieu et vrai homme, parfait dans sa divinité et parfait dans son humanité, consubstantiel au Père et consubstantiel à nous en tout, hormis le péché. Sa divinité et son humanité sont unies en une personne, sans confusion ni changement, sans division ni séparation. En lui a été préservée la différence des natures de la divinité et de l'humanité, avec toutes leurs propriétés, facultés et opérations. Mais loin de constituer «un autre et un autre», la divinité et l'humanité sont unies dans la personne du même et unique Fils de Dieu et Seigneur Jésus Christ, objet d'une unique adoration". Déclaration christologique commune de 1994, signée par le Pape Jean-Paul II et le Patriarche Mar Dinkha IV
Les Orthodoxes orientaux (Églises préchalcédoniennes) n'avaient pas suivi les décisions du concile de Chalcédoine (451) sur la double nature du Christ et furent qualifiés de "monophysites": ce fut le premier schisme de l'Eglise. Mais des avancées récentes dans le dialogue avec les différentes confessions chrétiennes tendent à effacer ces 1500 ans d'incompréhension mutuelle.
Avec les Orthodoxes: "Effort commun de fidélité à la Tradition apostolique et patristique"
C'est la que le dialogue est le plus avancé: la Commission théologique mixte crée en 1985 a abouti à la "Seconde Déclaration et proposition aux Églises " (Chambésy, Suisse, 1990). L'Assemblée des évêques de l'Église orthodoxe russe de 1997 a "rendu hommage à l'esprit de fraternité, de compréhension mutuelle et d'effort commun de fidélité à la Tradition apostolique et patristique qui est exprimée par la Commission théologique mixte pour le dialogue entre l'Église orthodoxe et les Églises orientales orthodoxes dans ce document."
Toutefois "la "Déclaration" ne doit pas être considérée comme un document définitif, suffisant au rétablissement de la pleine communion entre l'Église orthodoxe et les Églises orientales orthodoxes: elle contient en effet des imprécisions dans diverses formulations christologiques. Il faut exprimer l'espoir que les formulations christologiques continueront à être précisées au cours de l'étude des questions de caractère liturgique, pastoral et canonique, de même que les questions concernant le rétablissement de la communion ecclésiale entre les deux familles d'Églises de tradition orthodoxe et orientale". Et le dialogue théologique doit donc être continué. Cf. "Principes fondamentaux régissant les relations de l'Eglise orthodoxe russe avec l'hétérodoxie"
Avec les Anglicans: accord sur l'incarnation du Christ
Le travail de rapprochement avec les Anglicans sur cette question avait commencé dans les années 1990. Une déclaration commune sur la christologie a été préparé par la Commission International Anglicans- Orthodoxes orientaux (AOOIC) et envoyé aux Eglises participantes en 2002 et une déclaration mise à jour avait été discutée 2013. La Déclaration commune sur la christologie a été finalisée lors de la réunion de l'AOOIC au Caire (13-17 Octobre 2014).
L'article 1 de cette Déclaration commune dit: "Nous confessons que notre Seigneur, Dieu et Sauveur Jésus Christ est le fils unique de Dieu qui a été incarné et fait homme dans la plénitude des temps pour nous et notre salut. Nous croyons en Dieu le Fils incarné, parfait dans Sa divinité et parfait dans Son humanité, consubstantiel au Père par Sa divinité et consubstantiel à nous en Son humanité. Sa divinité et son humanité sont unies en une personne, sans confusion ni changement, sans division ni séparation. En lui a été préservée la différence des natures de la divinité et de l'humanité, avec toutes leurs propriétés, facultés et opérations. Mais loin de constituer «un autre et un autre», la divinité et l'humanité sont unies dans la personne du même et unique Fils de Dieu et Seigneur Jésus Christ, objet d'une unique adoration."
Le communiqué commun avec les Catholiques: Vers un document commun publié à l'issu de la réunion, contient aussi un appel à la mobilisation de tous les Chrétien pour soutenir les martyrs actuels du Proche Orient et exiger la libération des deux évêques kidnappés. Lien
Les représentants de toutes les Eglises orthodoxes orientales sont à Rome en cette fin janvier 2015 pour cinq jours de réunion de leur Commission mixte internationale pour le dialogue théologique avec l'Eglise catholique. Les participants espèrent finaliser un document commun sur la Communion et la Communication durant les cinq premiers siècles du christianisme.
Le père Gabriel Quicke, en charge des relations avec les Eglises orthodoxes orientales au Conseil pontifical pour la promotion de l'unité des chrétiens, souligne que ce document est important pour les Chrétiens d'aujourd'hui, "car il souligne la richesse du patrimoine commun des Eglises dans les cinq premiers siècles, avant les divisions". Il ajoute que la Commission va passer à une nouvelle série de discussions portant sur les sacrements, en particulier la question du baptême, qui ne est toujours pas reconnu par certaines Eglises orthodoxes orientales ...
Le père Gabriel souligne que beaucoup de dirigeants de l'Eglise orthodoxe orientale sont les témoins de l'épuisement de leurs communautés en raison du manque de sécurité au Moyen-Orient. Il dit que la solidarité du monde catholique et les appels du Pape François au nom des Chrétiens persécutés sont très importants et très appréciés des populations sur place ...
Source et vidéo
C'est la que le dialogue est le plus avancé: la Commission théologique mixte crée en 1985 a abouti à la "Seconde Déclaration et proposition aux Églises " (Chambésy, Suisse, 1990). L'Assemblée des évêques de l'Église orthodoxe russe de 1997 a "rendu hommage à l'esprit de fraternité, de compréhension mutuelle et d'effort commun de fidélité à la Tradition apostolique et patristique qui est exprimée par la Commission théologique mixte pour le dialogue entre l'Église orthodoxe et les Églises orientales orthodoxes dans ce document."
Toutefois "la "Déclaration" ne doit pas être considérée comme un document définitif, suffisant au rétablissement de la pleine communion entre l'Église orthodoxe et les Églises orientales orthodoxes: elle contient en effet des imprécisions dans diverses formulations christologiques. Il faut exprimer l'espoir que les formulations christologiques continueront à être précisées au cours de l'étude des questions de caractère liturgique, pastoral et canonique, de même que les questions concernant le rétablissement de la communion ecclésiale entre les deux familles d'Églises de tradition orthodoxe et orientale". Et le dialogue théologique doit donc être continué. Cf. "Principes fondamentaux régissant les relations de l'Eglise orthodoxe russe avec l'hétérodoxie"
Avec les Anglicans: accord sur l'incarnation du Christ
Le travail de rapprochement avec les Anglicans sur cette question avait commencé dans les années 1990. Une déclaration commune sur la christologie a été préparé par la Commission International Anglicans- Orthodoxes orientaux (AOOIC) et envoyé aux Eglises participantes en 2002 et une déclaration mise à jour avait été discutée 2013. La Déclaration commune sur la christologie a été finalisée lors de la réunion de l'AOOIC au Caire (13-17 Octobre 2014).
L'article 1 de cette Déclaration commune dit: "Nous confessons que notre Seigneur, Dieu et Sauveur Jésus Christ est le fils unique de Dieu qui a été incarné et fait homme dans la plénitude des temps pour nous et notre salut. Nous croyons en Dieu le Fils incarné, parfait dans Sa divinité et parfait dans Son humanité, consubstantiel au Père par Sa divinité et consubstantiel à nous en Son humanité. Sa divinité et son humanité sont unies en une personne, sans confusion ni changement, sans division ni séparation. En lui a été préservée la différence des natures de la divinité et de l'humanité, avec toutes leurs propriétés, facultés et opérations. Mais loin de constituer «un autre et un autre», la divinité et l'humanité sont unies dans la personne du même et unique Fils de Dieu et Seigneur Jésus Christ, objet d'une unique adoration."
Le communiqué commun avec les Catholiques: Vers un document commun publié à l'issu de la réunion, contient aussi un appel à la mobilisation de tous les Chrétien pour soutenir les martyrs actuels du Proche Orient et exiger la libération des deux évêques kidnappés. Lien
Les représentants de toutes les Eglises orthodoxes orientales sont à Rome en cette fin janvier 2015 pour cinq jours de réunion de leur Commission mixte internationale pour le dialogue théologique avec l'Eglise catholique. Les participants espèrent finaliser un document commun sur la Communion et la Communication durant les cinq premiers siècles du christianisme.
Le père Gabriel Quicke, en charge des relations avec les Eglises orthodoxes orientales au Conseil pontifical pour la promotion de l'unité des chrétiens, souligne que ce document est important pour les Chrétiens d'aujourd'hui, "car il souligne la richesse du patrimoine commun des Eglises dans les cinq premiers siècles, avant les divisions". Il ajoute que la Commission va passer à une nouvelle série de discussions portant sur les sacrements, en particulier la question du baptême, qui ne est toujours pas reconnu par certaines Eglises orthodoxes orientales ...
Le père Gabriel souligne que beaucoup de dirigeants de l'Eglise orthodoxe orientale sont les témoins de l'épuisement de leurs communautés en raison du manque de sécurité au Moyen-Orient. Il dit que la solidarité du monde catholique et les appels du Pape François au nom des Chrétiens persécutés sont très importants et très appréciés des populations sur place ...
Source et vidéo
L'émission est animée et présentée par Carol Saba, responsable de la communication de l'AEOF
Après un " Journal de l'Orthodoxie ", le Grand Entretien est dédié au métropolite Antoine (BLOOM) 1914 - 2003 de Souroge, grande figure pastorale de l'Orthodoxie au 20ème siècle, en charge jusqu'à sa mort en 2003, du diocèse de Grande Bretagne du Patriarcat de Moscou. Fils d'un des membres du Corps Diplomatique de la Russie impériale, il s'installe à Paris à partir de 1923, puis se fait moine après des études de médecine et participe à la résistance en France pendant l'occupation. Prêtre en 1948, évêque en 1957, il devient en 1966 l'exarque du Patriarche de Moscou en Europe Occidentale avec le rang de métropolite, le plus important de l'Eglise russe. Pasteur hors norme, prédicateur hors pair, il avait l'art de parler à l'Homme d'aujourd'hui dans ses homélies mais aussi à travers ses émissions régulières à la BBC londonienne.
Après un " Journal de l'Orthodoxie ", le Grand Entretien est dédié au métropolite Antoine (BLOOM) 1914 - 2003 de Souroge, grande figure pastorale de l'Orthodoxie au 20ème siècle, en charge jusqu'à sa mort en 2003, du diocèse de Grande Bretagne du Patriarcat de Moscou. Fils d'un des membres du Corps Diplomatique de la Russie impériale, il s'installe à Paris à partir de 1923, puis se fait moine après des études de médecine et participe à la résistance en France pendant l'occupation. Prêtre en 1948, évêque en 1957, il devient en 1966 l'exarque du Patriarche de Moscou en Europe Occidentale avec le rang de métropolite, le plus important de l'Eglise russe. Pasteur hors norme, prédicateur hors pair, il avait l'art de parler à l'Homme d'aujourd'hui dans ses homélies mais aussi à travers ses émissions régulières à la BBC londonienne.
Pour en parler, Carol Saba recevra le Père Michel EVDOKIMOV de l'Archevêché orthodoxe russe en Europe Occidentale (Patriarcat OEcuménique), qui l'a non seulement bien connu et travaillé avec lui de près, mais aussi a traduit plusieurs de ses textes et homélies publiés notamment aux Editions CERF en français.
La rubrique d'Ici & d'Ailleurs, proposera une vidéo sur le making-off du livre " Les saintes demeures de l'âme russe ", un très beau livre de photos de Charles XELOT sur les monastères de Russie, publié par les Editions du Cherche-Midi avec le soutien de la fondation Neva,
Lire aussi Père Stephen C. Headley: "La liberté puisée dans le voir" d'apres les sermons de Métropolite Antoine (Bloom)
La rubrique d'Ici & d'Ailleurs, proposera une vidéo sur le making-off du livre " Les saintes demeures de l'âme russe ", un très beau livre de photos de Charles XELOT sur les monastères de Russie, publié par les Editions du Cherche-Midi avec le soutien de la fondation Neva,
Lire aussi Père Stephen C. Headley: "La liberté puisée dans le voir" d'apres les sermons de Métropolite Antoine (Bloom)
Le diocèse d’Arkhangelsk a ouvert un « Musée virtuel des Nouveaux Martyrs et confesseurs de la Terre d’Arkhangelsk ». Le projet de création d’un portail internet, consacré à la période des persécutions pour la foi des années 1920-1950 dans le Nord de la Russie a remporté le prix du concours « Initiative orthodoxe 2013-2014 ».
Sur le SITE a été mis en ligne une bibliothèque et une vidéothèque sur le thème des répressions, des dossiers d’archives, une cartothèque de ceux qui ont souffert pour la foi, une carte des camps, des objets d’exposition du musée des Nouveaux Martyrs , ainsi que l’exposition « Ceux qui ont persévéré jusqu’à la fin » avec des matériaux méthodiques pour les guides d’excursions.
Sur le SITE a été mis en ligne une bibliothèque et une vidéothèque sur le thème des répressions, des dossiers d’archives, une cartothèque de ceux qui ont souffert pour la foi, une carte des camps, des objets d’exposition du musée des Nouveaux Martyrs , ainsi que l’exposition « Ceux qui ont persévéré jusqu’à la fin » avec des matériaux méthodiques pour les guides d’excursions.
Sans sortir de chez eux, les gens peuvent visiter le musée ouvert récemment à Novodvinsk. Un travail significatif a été accompli, mais il reste encore beaucoup à faire. Lien Lire aussi Nouveaux Martyrs
Выставка о Ягринлаге. "Наша память жива"
Выставка об ИТЛ Ягринлаг подготовленная сотрудниками северодвинского отделения "Объединения пострадавших от политических репрессий "Совесть". На выставке собраны исследования историков и краеведов, воспоминания бывших заключенных, сотрудников лагеря и старожилов города, представлены письма, фотографии, личные документы, вещи.
Выставка о Ягринлаге. "Наша память жива"
Выставка об ИТЛ Ягринлаг подготовленная сотрудниками северодвинского отделения "Объединения пострадавших от политических репрессий "Совесть". На выставке собраны исследования историков и краеведов, воспоминания бывших заключенных, сотрудников лагеря и старожилов города, представлены письма, фотографии, личные документы, вещи.
Une foire au livres se tiendra après la liturgie du dimanche 1 février à l'église-cathédrale des Trois Saints Docteurs
L’Ancien Testament sera le point central de ce semestre, ainsi que sa place dans l’office orthodoxe au période de Carême. Une série de conférences, présidée par prêtre Ioann Dimitrov y sera consacrée; mais aussi, sont annoncés des rencontres festives (pendant la Semaine Grasse), et des conférences sur l’office orthodoxe par archiprêtre Nicolas Rehbinder, en continuant le travail entrepris le semestre dernier.
L’Ancien Testament sera le point central de ce semestre, ainsi que sa place dans l’office orthodoxe au période de Carême. Une série de conférences, présidée par prêtre Ioann Dimitrov y sera consacrée; mais aussi, sont annoncés des rencontres festives (pendant la Semaine Grasse), et des conférences sur l’office orthodoxe par archiprêtre Nicolas Rehbinder, en continuant le travail entrepris le semestre dernier.
Pour rester au courant des toutes les nouvelles de l’association, pour pouvez suivre leur page sur Facebook
Периодически всплывает вопрос - а где же в Париже достать молитвослов или Евангелие на русском?
Сообщаем всем о том, что после службы в воскресенье 1 февраля в храме Трех Святителей состоится книжная ярмарка!
Сообщаем всем о том, что после службы в воскресенье 1 февраля в храме Трех Святителей состоится книжная ярмарка!
Дорогие друзья! Напоминаем всем, что в пятницу начнется второй семестр наших пятничных встреч!
Совсем скоро мы откроем Постную триодь, и во все время до самой Пасхи, Ветхий Завет будет непременным спутником во время богослужений. Этому и будут посвящены наши лекции в ближайшее время.
Ждем всех, до встречи!
Совсем скоро мы откроем Постную триодь, и во все время до самой Пасхи, Ветхий Завет будет непременным спутником во время богослужений. Этому и будут посвящены наши лекции в ближайшее время.
Ждем всех, до встречи!
Archimandrite Sabbas (Toutounov)
Il y a près d’un mois je suis tombé sur un article de Henri Tincq intitulé « Cyrille, le bras religieux du nationalisme de Poutine » qui m’a fort étonné par le contraste qu’il donne entre la certitude des conclusions et une superficielle connaissance des faits. Il y est dit, entre autre, « qu’en janvier 2009, l’élection du “jeune” patriarche Cyrille (alors 62 ans) <…> à la tête de la toute puissante Eglise orthodoxe de Russie (plus de cent millions de fidèles) avait été saluée dans le monde comme une promesse d’ouverture ». Et l’auteur de conclure : « Près de six ans plus tard, il y a de quoi déchanter ».
Henri Tincq avait naguère (en 2007 — NdR) pu interviewer le défunt patriarche Alexis II peu avant le voyage de Sa Sainteté en France. Il s’est visiblement contenté cette fois, et c’est regrettable, de rumeurs et de ce qu’il a trouvé dans les réseaux sociaux pour se permettre de poser un diagnostic sans appel… et sans fondements.
Il y a près d’un mois je suis tombé sur un article de Henri Tincq intitulé « Cyrille, le bras religieux du nationalisme de Poutine » qui m’a fort étonné par le contraste qu’il donne entre la certitude des conclusions et une superficielle connaissance des faits. Il y est dit, entre autre, « qu’en janvier 2009, l’élection du “jeune” patriarche Cyrille (alors 62 ans) <…> à la tête de la toute puissante Eglise orthodoxe de Russie (plus de cent millions de fidèles) avait été saluée dans le monde comme une promesse d’ouverture ». Et l’auteur de conclure : « Près de six ans plus tard, il y a de quoi déchanter ».
Henri Tincq avait naguère (en 2007 — NdR) pu interviewer le défunt patriarche Alexis II peu avant le voyage de Sa Sainteté en France. Il s’est visiblement contenté cette fois, et c’est regrettable, de rumeurs et de ce qu’il a trouvé dans les réseaux sociaux pour se permettre de poser un diagnostic sans appel… et sans fondements.
L’auteur affirme que « le patriarche entretient la mémoire de la résistance d’autrefois aux envahisseurs polonais et aux risques d’une “latinisation” ». Or, c’est bien Sa Sainteté Cyrille qui a personellement cosigné avec le métropolite Joseph Mihalik, président de la Conférence des évêques de Pologne l’un des documents les plus marquants du dialogue entre l’Eglise orthodoxe russe et l’Eglise catholique romaine de ces dernières années. Nous lisons dans ce texte : « Nos peuples frères sont unis non seulement par des liens de voisinage multiséculaires mais aussi par le riche patrimoine chrétien inhérent à l’Orient comme à l’Occident. Conscients de cette longue histoire commune et de la tradition qui s’enracine dans l’Evangile du Christ, tradition qui a formé pour beaucoup l’identité, l’esprit et la culture de nos peuples ainsi que de toute l’Europe nous nous engageons dans la voie d’un dialogue sincère. Ce dialogue, nous l’espérons, nous aidera à panser les plaies infligées par le passé ainsi qu’à dépasser les préjugés et l’incompréhension réciproques. Il nous renforcera dans notre volonté de paix et de rapprochement ».
Il est fort dommage que H. Tincq ne se soit pas donné la peine de parcourir ce document dont le patriarche Cyrille a maintes fois rappelé l’importance pour l’Eglise orthodoxe russe et qui se termine par une prière au Christ : « Qu’Il nous accorde Sa Grâce pour que chaque Polonais voie en chaque Russe un ami et un frère et qu’il en soit de même pour chaque Russe ».
Pour ce qui est de la « mémoire de la résistance aux envahisseurs polonais » évoquée par H. Tincq il s’agit des célébrations commémoratives du 400e anniversaire de la fin des « Temps troubles » en Russie. H. Tincq croit distinguer en ceci une exhortation à la haine du peuple polonais et des catholiques. A ce compte les célébrations du 11 novembre en France, commémoration de l’armistice de 1918 devraient être taxées de manifestations de haine à l’égard de l’Allemagne. Or, il ne s’agit dans les deux cas que de maintenir la mémoire des évènements parmi plus importants dans l’histoire d’un pays comme de l’autre : pour la Russie la fin des Temps Troubles au début du XVIIe siècle est de toute évidence l’un de ces évènements.
Les affirmations à propos des positions du patriarche Cyrille en ce qui concerne la situation en Ukraine sont tout aussi superficielles. « Dans ce pays en guerre, le patriarche Cyrille défend son patrimoine historique et culturel, son appareil institutionnel, ses paroisses et ses finances », — écrit Н. Tincq. Comment ne pas savoir que l’Eglise orthodoxe d’Ukraine dispose d’une très grande autonomie — grande à tel point qu’elle gère même ses relations extérieures, par exemple celles avec l’Eglise catholique, plus précisément la branche gréco-catholique de cette Eglise en Ukraine? Pour ce qui est des questions budgétaires l’Eglise orthodoxe d’Ukraine est non seulement entièrement autonome dans la gestion de ses finances, mais qui plus est ne rétrocède absolument rien à « Moscou ».
Ayant commencé par des erreurs factuelles ses digressions à propos de l’Ukraine l’auteur de l’article conclut par des contradictions qui pèchent contre la logique. Н. Tincq affirme ainsi que la prétendue proximité du patriarche à l’égard du Kremlin l’éloignerait de son troupeau ukrainien. Or, deux lignes plus haut l’article rappelle que le patriarche était absent à la célébration au Kremlin de l’union de la Crimée avec la Russie alors qu’y assistaient les responsables de toutes les grandes religions et confessions du pays. C’est bien là que le patriarche aurait dû faire acte de présence s’il était « le bras religieux du nationalisme de Poutine ! » Force est à Monsieur Tincq de reconnaitre que le patriarche Cyrille dans tout ce qu’il a dit à propos du conflit ukrainien n’a fait qu’appeler à la paix et à la réconciliation. Telle est également l’attitude l’Eglise orthodoxe d’Ukraine, ce qui, malheureusement, n’est pas totalement vrai en ce qui concerne certains autres groupes religieux ukrainiens.
Seule la méconnaissance de la vie religieuse en Russie, à moins que l’on ne puise ses références dans les réseaux sociaux, peut laisser dire que l’Eglise en Russie « est abritée derrière ses privilèges ». En réalité, les décisions prises en faveur des communautés religieuses (et non seulement en faveur de l’Eglise orthodoxe russe) qu’il s’agisse de leur restituer des biens naguère confisqués par le pouvoir soviétique ou d’introduire dans l’enseignement secondaire des matières optionnelles comme les cultures religieuses ou l’éthique laïque (il ne s’agit pas des fondements de la religion) se heurtent à une forte résistance dans l’administration publique. Obtenir ne fût-ce qu’une juste application des lois adoptées coûte de grands efforts et il est parfois indispensable de recourir pour cela aux instances civiles les plus hautes. En ce qui concerne l’existence même de lois conférant certains avantages aux communautés religieuses (soulignons-le : à l’ensemble de ces communautés et non exclusivement à l’Eglise orthodoxe) il n’y a en cela rien de choquant : si en France, par exemple, la laïcité a été élevée pratiquement au rang d’une religion, en Russie la tradition est autre.
Monsieur Tincq reproche à l’Eglise orthodoxe russe de prendre la défense des valeurs morales traditionnelles et de dénoncer certaines attitudes et normes actuellement répandues en Occident et contraires à ces valeurs. Ceci est interprété comme étant une forme de soutien au « nationalisme poutinien ». Or, il ne s’agit que de rester fidèle à l’enseignement évangélique et de condamner les vices qui l’enfreignent. Le message conjoint du patriarche de Moscou et du Primat de Pologne rappelle d’une manière explicite : « Les principes moraux qui se fondent sur les Commandements sont mis en doute au prétexte de la laïcité ou du libre choix. Les interruptions de grossesse, l’euthanasie, les unions homosexuelles présentées comme une forme de mariage font l’objet d’une vaste promotion. La société de consommation prend le dessus, les valeurs traditionnelles sont rejetées et les symboles religieux sont bannis de l’espace public… Nous sommes convaincus que le Christ ressuscité représente l’espoir non seulement de nos Eglises et de nos peuples mais aussi celui de l’Europe et du monde entier ».
Une telle prise de position n’est absolument pas nouvelle pour le Patriarche Cyrille. Bien avant son élection au trône patriarcal il évoquait avec regrets la perte progressive par l’Europe de ses racines chrétiennes et la nécessité d’y revenir. Henri Tincq avait vu dans l’élection du métropolite « une promesse d’ouverture ». Si cette « ouverture » suppose la négation de ce souhait adressé à l’Europe alors — oui Monsieur Tincq « a de quoi déchanter ». Mais dans ce cas il ne pouvait en être autrement.
Traduction Nikita Krivochéine pour "Parlons d'orthodoxie"
Il est fort dommage que H. Tincq ne se soit pas donné la peine de parcourir ce document dont le patriarche Cyrille a maintes fois rappelé l’importance pour l’Eglise orthodoxe russe et qui se termine par une prière au Christ : « Qu’Il nous accorde Sa Grâce pour que chaque Polonais voie en chaque Russe un ami et un frère et qu’il en soit de même pour chaque Russe ».
Pour ce qui est de la « mémoire de la résistance aux envahisseurs polonais » évoquée par H. Tincq il s’agit des célébrations commémoratives du 400e anniversaire de la fin des « Temps troubles » en Russie. H. Tincq croit distinguer en ceci une exhortation à la haine du peuple polonais et des catholiques. A ce compte les célébrations du 11 novembre en France, commémoration de l’armistice de 1918 devraient être taxées de manifestations de haine à l’égard de l’Allemagne. Or, il ne s’agit dans les deux cas que de maintenir la mémoire des évènements parmi plus importants dans l’histoire d’un pays comme de l’autre : pour la Russie la fin des Temps Troubles au début du XVIIe siècle est de toute évidence l’un de ces évènements.
Les affirmations à propos des positions du patriarche Cyrille en ce qui concerne la situation en Ukraine sont tout aussi superficielles. « Dans ce pays en guerre, le patriarche Cyrille défend son patrimoine historique et culturel, son appareil institutionnel, ses paroisses et ses finances », — écrit Н. Tincq. Comment ne pas savoir que l’Eglise orthodoxe d’Ukraine dispose d’une très grande autonomie — grande à tel point qu’elle gère même ses relations extérieures, par exemple celles avec l’Eglise catholique, plus précisément la branche gréco-catholique de cette Eglise en Ukraine? Pour ce qui est des questions budgétaires l’Eglise orthodoxe d’Ukraine est non seulement entièrement autonome dans la gestion de ses finances, mais qui plus est ne rétrocède absolument rien à « Moscou ».
Ayant commencé par des erreurs factuelles ses digressions à propos de l’Ukraine l’auteur de l’article conclut par des contradictions qui pèchent contre la logique. Н. Tincq affirme ainsi que la prétendue proximité du patriarche à l’égard du Kremlin l’éloignerait de son troupeau ukrainien. Or, deux lignes plus haut l’article rappelle que le patriarche était absent à la célébration au Kremlin de l’union de la Crimée avec la Russie alors qu’y assistaient les responsables de toutes les grandes religions et confessions du pays. C’est bien là que le patriarche aurait dû faire acte de présence s’il était « le bras religieux du nationalisme de Poutine ! » Force est à Monsieur Tincq de reconnaitre que le patriarche Cyrille dans tout ce qu’il a dit à propos du conflit ukrainien n’a fait qu’appeler à la paix et à la réconciliation. Telle est également l’attitude l’Eglise orthodoxe d’Ukraine, ce qui, malheureusement, n’est pas totalement vrai en ce qui concerne certains autres groupes religieux ukrainiens.
Seule la méconnaissance de la vie religieuse en Russie, à moins que l’on ne puise ses références dans les réseaux sociaux, peut laisser dire que l’Eglise en Russie « est abritée derrière ses privilèges ». En réalité, les décisions prises en faveur des communautés religieuses (et non seulement en faveur de l’Eglise orthodoxe russe) qu’il s’agisse de leur restituer des biens naguère confisqués par le pouvoir soviétique ou d’introduire dans l’enseignement secondaire des matières optionnelles comme les cultures religieuses ou l’éthique laïque (il ne s’agit pas des fondements de la religion) se heurtent à une forte résistance dans l’administration publique. Obtenir ne fût-ce qu’une juste application des lois adoptées coûte de grands efforts et il est parfois indispensable de recourir pour cela aux instances civiles les plus hautes. En ce qui concerne l’existence même de lois conférant certains avantages aux communautés religieuses (soulignons-le : à l’ensemble de ces communautés et non exclusivement à l’Eglise orthodoxe) il n’y a en cela rien de choquant : si en France, par exemple, la laïcité a été élevée pratiquement au rang d’une religion, en Russie la tradition est autre.
Monsieur Tincq reproche à l’Eglise orthodoxe russe de prendre la défense des valeurs morales traditionnelles et de dénoncer certaines attitudes et normes actuellement répandues en Occident et contraires à ces valeurs. Ceci est interprété comme étant une forme de soutien au « nationalisme poutinien ». Or, il ne s’agit que de rester fidèle à l’enseignement évangélique et de condamner les vices qui l’enfreignent. Le message conjoint du patriarche de Moscou et du Primat de Pologne rappelle d’une manière explicite : « Les principes moraux qui se fondent sur les Commandements sont mis en doute au prétexte de la laïcité ou du libre choix. Les interruptions de grossesse, l’euthanasie, les unions homosexuelles présentées comme une forme de mariage font l’objet d’une vaste promotion. La société de consommation prend le dessus, les valeurs traditionnelles sont rejetées et les symboles religieux sont bannis de l’espace public… Nous sommes convaincus que le Christ ressuscité représente l’espoir non seulement de nos Eglises et de nos peuples mais aussi celui de l’Europe et du monde entier ».
Une telle prise de position n’est absolument pas nouvelle pour le Patriarche Cyrille. Bien avant son élection au trône patriarcal il évoquait avec regrets la perte progressive par l’Europe de ses racines chrétiennes et la nécessité d’y revenir. Henri Tincq avait vu dans l’élection du métropolite « une promesse d’ouverture ». Si cette « ouverture » suppose la négation de ce souhait adressé à l’Europe alors — oui Monsieur Tincq « a de quoi déchanter ». Mais dans ce cas il ne pouvait en être autrement.
Traduction Nikita Krivochéine pour "Parlons d'orthodoxie"
Le propriétaire espère que quelqu'un va réhabiliter le bâtiment historique.
Cette Église orthodoxe du 18ème siècle est située à Kayseri, ancienne Césarée, a été mise en vente par une personne privée Ömer Sicimoglu, qui a acheté le bâtiment de l'église abandonnée en 2013.
Il a dit à l'Agence Anadolu que l'église est "un atout culturel important» qui peut être restauré et il a ajouté que, idéalement, il aimerait que l'église soit achetée par quelqu'un qui la réhabilitera. Il travaille dans l'immobilier et a publié une annonce sur un site de vente en ligne proposant le bâtiment € 450 000 de prix. Lien Pravoslavie.ru
V.G.
Cette Église orthodoxe du 18ème siècle est située à Kayseri, ancienne Césarée, a été mise en vente par une personne privée Ömer Sicimoglu, qui a acheté le bâtiment de l'église abandonnée en 2013.
Il a dit à l'Agence Anadolu que l'église est "un atout culturel important» qui peut être restauré et il a ajouté que, idéalement, il aimerait que l'église soit achetée par quelqu'un qui la réhabilitera. Il travaille dans l'immobilier et a publié une annonce sur un site de vente en ligne proposant le bâtiment € 450 000 de prix. Lien Pravoslavie.ru
V.G.
Claude Lopez-Ginisty: un Blog en français sur les icônes miraculeuses de la Mère de Dieu
On trouvera ci-dessous le lien d’un nouveau blog de Claude Lopez-Ginisty, dédié aux icônes de la Très sainte Mère de Dieu. « Dans ce blog débutant en janvier » est-il dit dans l’introduction, « nous présentons les différentes icônes de la Mère de Dieu qui sont offertes à la vénération des fidèles orthodoxes tout au long de l’année liturgique. Lorsque nous le pouvons, nous donnons aussi l’acathiste ou l’office qui y sont associés ».
On trouvera ci-dessous le lien d’un nouveau blog de Claude Lopez-Ginisty, dédié aux icônes de la Très sainte Mère de Dieu. « Dans ce blog débutant en janvier » est-il dit dans l’introduction, « nous présentons les différentes icônes de la Mère de Dieu qui sont offertes à la vénération des fidèles orthodoxes tout au long de l’année liturgique. Lorsque nous le pouvons, nous donnons aussi l’acathiste ou l’office qui y sont associés ».
"La restauration de la cathédrale Saint-Nicolas de Nice se déroule conformément au calendrier établi. Les fonds ont toujours été versés à temps, les travaux n'ont jamais été suspendus (…). Nous comptons les achever à la fin de 2015 ou au début de 2016", a indiqué M.Kolpakov dans une interview à RIA Novosti.
Le premier ministre russe Dmitri Medvedev a décidé en juin 2013 de débloquer près de 20 millions de dollars pour la rénovation de la cathédrale Saint-Nicolas de Nice. Une fois les travaux achevés, le site sera mis à la disposition de l'Eglise orthodoxe russe qui se chargera de le maintenir en bon état.
Le premier ministre russe Dmitri Medvedev a décidé en juin 2013 de débloquer près de 20 millions de dollars pour la rénovation de la cathédrale Saint-Nicolas de Nice. Une fois les travaux achevés, le site sera mis à la disposition de l'Eglise orthodoxe russe qui se chargera de le maintenir en bon état.
"P.O." met en ligne des documents concernant le procès de Nice
La cathédrale Saint-Nicolas de Nice a été construite entre 1913 et 1917 par l'architecte russe Alexeï Chtchoussev. Pendant plusieurs années, le droit de propriété de l'église a fait l'objet d'un litige entre l'Association cultuelle orthodoxe russe de Nice (ACOR), qui a géré le site de 1923 à 2010, et la Fédération de Russie. En avril 2013, la Cour d'appel d'Aix-en-Provence a donné raison à cette dernière.
Lire la suite: RIA
La cathédrale Saint-Nicolas de Nice a été construite entre 1913 et 1917 par l'architecte russe Alexeï Chtchoussev. Pendant plusieurs années, le droit de propriété de l'église a fait l'objet d'un litige entre l'Association cultuelle orthodoxe russe de Nice (ACOR), qui a géré le site de 1923 à 2010, et la Fédération de Russie. En avril 2013, la Cour d'appel d'Aix-en-Provence a donné raison à cette dernière.
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Viennent de paraitre les premiers livres de la nouvelle maison d’édition « L’Orthodoxie et le monde / Pravoslavie i Mir ». Le recueil « De la mort à la vie. Comment surmonter la peur de la mort » débute le programme éditorial de « Pravmir ».
Les premiers livres publiés par la nouvelle maison d’édition « L’Orthodoxie et le monde » ont paru le 19 janvier. Les publications du site Web « Pravmir », couvrant une période de dix années, sont désormais accessible pour la lecture hors ligne comme les recueils d’auteurs, ainsi que les recueils thématiques.
Anna Danilova, rédactrice en chef du site « L’Orthodoxie et le monde » déclare à propos de la mission de cette nouvelle maison d’édition : « Pour la publication sur papier nous avons sélectionné des textes qui peuvent être en quelque sorte utiles à nos lecteurs .
Les premiers livres publiés par la nouvelle maison d’édition « L’Orthodoxie et le monde » ont paru le 19 janvier. Les publications du site Web « Pravmir », couvrant une période de dix années, sont désormais accessible pour la lecture hors ligne comme les recueils d’auteurs, ainsi que les recueils thématiques.
Anna Danilova, rédactrice en chef du site « L’Orthodoxie et le monde » déclare à propos de la mission de cette nouvelle maison d’édition : « Pour la publication sur papier nous avons sélectionné des textes qui peuvent être en quelque sorte utiles à nos lecteurs .
Il ne s’agit plus simplement d’informer ou de débattre – pour cela internet est suffisant - mais plutôt d’aider à analyser une situation, à trouver peut-être une solution à une situation de crise, ou à changer de mode de vie. À la différence des livres de vulgarisation sur la psychologie, par exemple, nos auteurs ne donnent pas une panacée, mais ils réfléchissent plutôt avec le lecteur, et ce dernier ne se sent plus seul ».
Le concept de la série, ainsi que le design de chaque livre ont été créés par Alexej Chekhal, un peintre et calligraphe connu de Kharkhov.
Le livre « De la mort à la vie. Comment surmonter la peur de la mort » marque le début du programme des éditions « Pravmir ».
Nombre de ces textes avaient été auparavant mis en ligne par le site « L’Orthodoxie et le monde ».
Les recueils de Ekaterina Bourmistrova et de Olga Goumanova, auteurs bien connus du site, sont déjà sous presse et seront publiés bientôt, ainsi que les œuvres de Marina Jourinskaya, la défunte rédactrice en chef de la revue « Alpha et Oméga »....
Suite Sedmitza Traduction Artem Nazarov
Le concept de la série, ainsi que le design de chaque livre ont été créés par Alexej Chekhal, un peintre et calligraphe connu de Kharkhov.
Le livre « De la mort à la vie. Comment surmonter la peur de la mort » marque le début du programme des éditions « Pravmir ».
Nombre de ces textes avaient été auparavant mis en ligne par le site « L’Orthodoxie et le monde ».
Les recueils de Ekaterina Bourmistrova et de Olga Goumanova, auteurs bien connus du site, sont déjà sous presse et seront publiés bientôt, ainsi que les œuvres de Marina Jourinskaya, la défunte rédactrice en chef de la revue « Alpha et Oméga »....
Suite Sedmitza Traduction Artem Nazarov
10e Table Ronde: "2004 - 2014 - Dix années d'activités de l'OLTR - Bilan et Perspectives"
Pour le mois de janvier 2015, l’OLTR propose une restitution exhaustive de la Table ronde n°10, organisée à l'occasion de son dixième anniversaire.
L'ensemble de ces documents est disponible sur ce LIEN
C'est aussi l'occasion de redécouvrir les documents concernant les autres Tables rondes organisées par l'OLTR
Pour le mois de janvier 2015, l’OLTR propose une restitution exhaustive de la Table ronde n°10, organisée à l'occasion de son dixième anniversaire.
L'ensemble de ces documents est disponible sur ce LIEN
C'est aussi l'occasion de redécouvrir les documents concernant les autres Tables rondes organisées par l'OLTR
Le mercredi 21 janvier le patriarche Cyrille a déclaré intervenant au Grand Palais du Kremlin lors de l’inauguration des Conférence internationales de Noël :
«Je m’adresse aujourd’hui à nouveau aux parties de ce conflit et je leur dit – Frères, arrêtez-vous, renoncez à la hargne qui vous anime, oubliez les offenses d’où qu’elles proviennent, réconciliez-vous enfin ! Mon cœur souffre pour l’Ukraine, je prie de toutes mes forces pour ce pays.
Les désaccords politiques et la mauvaise volonté des hommes ont provoqué des hostilités fratricides dans le Donbass. Les souffrances y sont immenses- surtout celles infligées à la population civile.
Les cas de plus en plus fréquents de destruction et d’appropriation d’églises orthodoxes par, en particulier, des groupes schismatiques m’inquiètent énormément. Des clercs du patriarcat de Moscou deviennent l’objet de brimades. Ce n’est que la parole de l’Evangile que l’Eglise orthodoxe peut opposer à la violence. Cette parole doit s’adresser à tous les décideurs, à tous ceux qui ne sont pas indifférents au malheur d’autrui ».
Le primat de l’Eglise russe a également fait part de son inquiétude quant au sort des chrétiens persécutés au Proche-Orient. La situation y est telle, a-t-il dit, que l’on peut appréhender une véritable catastrophe civilisationnelle.
«Je m’adresse aujourd’hui à nouveau aux parties de ce conflit et je leur dit – Frères, arrêtez-vous, renoncez à la hargne qui vous anime, oubliez les offenses d’où qu’elles proviennent, réconciliez-vous enfin ! Mon cœur souffre pour l’Ukraine, je prie de toutes mes forces pour ce pays.
Les désaccords politiques et la mauvaise volonté des hommes ont provoqué des hostilités fratricides dans le Donbass. Les souffrances y sont immenses- surtout celles infligées à la population civile.
Les cas de plus en plus fréquents de destruction et d’appropriation d’églises orthodoxes par, en particulier, des groupes schismatiques m’inquiètent énormément. Des clercs du patriarcat de Moscou deviennent l’objet de brimades. Ce n’est que la parole de l’Evangile que l’Eglise orthodoxe peut opposer à la violence. Cette parole doit s’adresser à tous les décideurs, à tous ceux qui ne sont pas indifférents au malheur d’autrui ».
Le primat de l’Eglise russe a également fait part de son inquiétude quant au sort des chrétiens persécutés au Proche-Orient. La situation y est telle, a-t-il dit, que l’on peut appréhender une véritable catastrophe civilisationnelle.
Les Conférences de Noël marquent le début des solennités consacrées au 1.000e anniversaire du rappel à Dieu du Saint Prince Vladimir, baptiseur de la Rus
Lire aussi Saint Vladimir le Grand - Vladimir le BEAU SOLEIL (980-1015) et le Baptême de la Russie
Le patriarche a constaté que « les historiens modernes sont souvent enclins à estimer que le baptême de la Rus avait été pour Saint Vladimir un moyen de mettre en œuvre ses projets politiques tels que la conclusion d’une alliance avec Byzance, la consolidation de son pouvoir personnel ainsi que le renforcement de l’influence exercée sur les tribus slaves voisines. Mais si les choix du prince Vladimir n’étaient que d’ordre tactique et politique la Rus ne serait pas devenue le pays d’une grande civilisation. Aurait-elle a été à même de surmonter de graves crises internes et de vaincre d’immenses dangers venus de l’extérieur ? La réponse est « non ». La Rus risquait si elle n’était pas devenue chrétienne de rester un petit Etat sans importance devant choisir entre les passions politiques du moment et le profit immédiat.
La nouvelle religion a donné à nos ancêtres une ouverture sur le richissime patrimoine chrétien de l’Europe et du Proche-Orient. J’exhorte les successeurs de la Sainte Rus de rester fidèles aux valeurs et aux idéaux premiers au lieu d’abdiquer leur souveraineté spirituelle à des forces provenant d’ailleurs et de renoncer à leur identité nationale et culturelle ». Interfax religion Traduction "PO"
lire aussi Arkady Mahler : les cinq principaux mythes anti-orthodoxes à propos du baptême de la Rous
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Le patriarche a constaté que « les historiens modernes sont souvent enclins à estimer que le baptême de la Rus avait été pour Saint Vladimir un moyen de mettre en œuvre ses projets politiques tels que la conclusion d’une alliance avec Byzance, la consolidation de son pouvoir personnel ainsi que le renforcement de l’influence exercée sur les tribus slaves voisines. Mais si les choix du prince Vladimir n’étaient que d’ordre tactique et politique la Rus ne serait pas devenue le pays d’une grande civilisation. Aurait-elle a été à même de surmonter de graves crises internes et de vaincre d’immenses dangers venus de l’extérieur ? La réponse est « non ». La Rus risquait si elle n’était pas devenue chrétienne de rester un petit Etat sans importance devant choisir entre les passions politiques du moment et le profit immédiat.
La nouvelle religion a donné à nos ancêtres une ouverture sur le richissime patrimoine chrétien de l’Europe et du Proche-Orient. J’exhorte les successeurs de la Sainte Rus de rester fidèles aux valeurs et aux idéaux premiers au lieu d’abdiquer leur souveraineté spirituelle à des forces provenant d’ailleurs et de renoncer à leur identité nationale et culturelle ». Interfax religion Traduction "PO"
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Lors des évènements dits du Maïdan, place de Bessarabie à Kiev, une statue de Lénine avait été mise à bas. Le 21 novembre la municipalité de la capitale ukrainienne a annoncé un appel d’offres pour la reconstruction du centre-ville.
Plusieurs confessions chrétiennes se sont prononcées pour l’érection d’une statue de la Mère de Dieu à l’emplacement où se trouvait la statue de Lénine. Yvan Yavorsky, l’une des personnalité de ce mouvement, a dit : « Le nouveau monument doit avoir une fonction unificatrice et appeler à la réconciliation de tous, Ouest, Est, Nord et Sud, de tous les chrétiens et non seulement des chrétiens. La Mère de Dieu est un symbole de paix, Elle règne sur le monde. Les résultats de l’appel d’offres seront connus fin février ». Interfax religion Traduction "PO"
Plusieurs confessions chrétiennes se sont prononcées pour l’érection d’une statue de la Mère de Dieu à l’emplacement où se trouvait la statue de Lénine. Yvan Yavorsky, l’une des personnalité de ce mouvement, a dit : « Le nouveau monument doit avoir une fonction unificatrice et appeler à la réconciliation de tous, Ouest, Est, Nord et Sud, de tous les chrétiens et non seulement des chrétiens. La Mère de Dieu est un symbole de paix, Elle règne sur le monde. Les résultats de l’appel d’offres seront connus fin février ». Interfax religion Traduction "PO"
30 et 31 janvier 2015 - Mairie du Vème arrondissement
Le désormais traditionnel Prix Russophonie pour la meilleure traduction littéraire du russe vers le français y sera remis au soir du samedi 31.
Le principal événement littéraire russophone parisien de l'année, les Journées du livre russe et des littératures russophones, aura au coeur la mosaïque que forme l'emploi de la langue russe en Europe les 30 et 31 janvier 2015, en la Mairie du Vème arrondissement, en face du Panthéon.
Écrivains et traducteurs, français, russes et russophones de divers pays vont s'y côtoyer aux tables des éditeurs et libraires et lors de tables rondes présentant leurs ouvrages et traductions, ou plus généralement au cours de discussions sur des thèmatiques littéraires intéressant lecteurs et créateurs.
Le désormais traditionnel Prix Russophonie pour la meilleure traduction littéraire du russe vers le français y sera remis au soir du samedi 31.
Le principal événement littéraire russophone parisien de l'année, les Journées du livre russe et des littératures russophones, aura au coeur la mosaïque que forme l'emploi de la langue russe en Europe les 30 et 31 janvier 2015, en la Mairie du Vème arrondissement, en face du Panthéon.
Écrivains et traducteurs, français, russes et russophones de divers pays vont s'y côtoyer aux tables des éditeurs et libraires et lors de tables rondes présentant leurs ouvrages et traductions, ou plus généralement au cours de discussions sur des thèmatiques littéraires intéressant lecteurs et créateurs.
Cette année, à côté d'écrivains français comme Danièle Sallenave, Agnès Desarthes, Arthur Larrue, André Markowitch ou Sylvain Tesson, rescapé de son grave accident, les journées accueilleront tout particulièrement des poètes et écrivains venus de pays de l'Europe, parfois oubliée chez nous, où la russophonie occupe une place importante à côté de la langue locale : pays baltes, Biélorussie, Ukraine, Moldavie…
Bien sûr, comme à l'accoutumée, des grands noms de la littérature russe seront là : Zakhar Prilépine, Boris Akounine, Max Frei, Aleksandre Ilichevski, Yana Vagner, Serguei Lebedev…
Des expositions d'artistes seront proposées, notamment une exposition consacrée à Gogol, écrivain russo-ukrainien, dont Le Manteau fut parfois qualifié de berceau de la littérature russophone. Les visteurs pourront aussi revisiter ou découvrir la bibliothèque fondée par Ivan Tourgueniev, haut-lieu de la russophonie en France, qui souffle ses 140 bougies, après bien des péripéties. SUITE
Bien sûr, comme à l'accoutumée, des grands noms de la littérature russe seront là : Zakhar Prilépine, Boris Akounine, Max Frei, Aleksandre Ilichevski, Yana Vagner, Serguei Lebedev…
Des expositions d'artistes seront proposées, notamment une exposition consacrée à Gogol, écrivain russo-ukrainien, dont Le Manteau fut parfois qualifié de berceau de la littérature russophone. Les visteurs pourront aussi revisiter ou découvrir la bibliothèque fondée par Ivan Tourgueniev, haut-lieu de la russophonie en France, qui souffle ses 140 bougies, après bien des péripéties. SUITE
En Estonie
Par 37 voix contre 27 le parlement estonien a écarté la proposition de rendre férié le 7 janvier qui émanait du principal parti d'opposition. Interfax religion
Il y a 16% d'Orthodoxes dans le pays, ce qui ferait de l'Orthodoxie la première confession, mais ils sont partagés entre deux Églises rivales: "l'Église orthodoxe d'Estonie", majoritaire, dépend de Moscou et suit le calendrier julien, et "l'Église orthodoxe apostolique d'Estonie", établie en 1994, qui dépend de Constantinople.
Cette dernière est majoritairement passée au "Nouveau calendrier" récemment: "Par cette réforme qui sera appliquée dès 2012, les fêtes fixes seront désormais célébrées selon le calendrier grégorien et les fêtes mobiles (dont les périodes du triode et du pentécostaire) selon le calendrier julien (cf. Congrès panorthodoxe de 1923). Toutefois et seulement à titre d’économie pastorale, il sera possible, dans certaines paroisses, de célébrer aussi la Nativité et l’Epiphanie selon le calendrier julien en attendant que certaines catégories d’âge très avancé s’habituent à cette réforme.
Par 37 voix contre 27 le parlement estonien a écarté la proposition de rendre férié le 7 janvier qui émanait du principal parti d'opposition. Interfax religion
Il y a 16% d'Orthodoxes dans le pays, ce qui ferait de l'Orthodoxie la première confession, mais ils sont partagés entre deux Églises rivales: "l'Église orthodoxe d'Estonie", majoritaire, dépend de Moscou et suit le calendrier julien, et "l'Église orthodoxe apostolique d'Estonie", établie en 1994, qui dépend de Constantinople.
Cette dernière est majoritairement passée au "Nouveau calendrier" récemment: "Par cette réforme qui sera appliquée dès 2012, les fêtes fixes seront désormais célébrées selon le calendrier grégorien et les fêtes mobiles (dont les périodes du triode et du pentécostaire) selon le calendrier julien (cf. Congrès panorthodoxe de 1923). Toutefois et seulement à titre d’économie pastorale, il sera possible, dans certaines paroisses, de célébrer aussi la Nativité et l’Epiphanie selon le calendrier julien en attendant que certaines catégories d’âge très avancé s’habituent à cette réforme.
De même, les dates de certaines grandes fêtes traditionnelles des paroisses du Setumaa et du Võrumaa (Sud-Est du pays), qui sont à cheval sur la frontière estono-russe, continueront à être commémorées selon le calendrier julien, pour maintenir les liens familiaux qui se situent de part et d’autre de la région du Setu, lequel formait, avant 1940, un tout avec l’Estonie et qui, aujourd’hui, est divisé pour moitié en territoire estonien et pour moitié en territoire russe par la volonté de Staline."
Lire aussi L’Archiprêtre Igor Prekoup : A propos des problèmes de l'orthodoxie en Estonie
En Lettonie
En décembre 2013, le parlement letton a de nouveau repoussé, comme en 2012 et 2013, la même proposition du groupe d’opposition « Centre de la concorde ». Toutefois certaines autorités municipales, comme le maire de Rezekne, ont déclaré le jour férié pour leurs administrations… Arrivant juste après les Luthériens (16%), les Orthodoxes sont 15 % en Lettonie . Ils dépendent du patriarcat de Moscou et suivent le calendrier julien.
"L'Ancien style" en progression
Rappelons que les Orthodoxes de Pologne sont revenus au calendrier julien en juin 2014 car "96% des paroisses célèbrent les fêtes conformément à «l’ancien style»". Elle s'ajoute donc aux Églises de Russie, Serbie, Géorgie et Jérusalem qui, avec le Mont Athos et le monastère Sainte Catherine du Sinaï suivent le calendrier Julien. Les autres Églises suivent le "Nouveau calendrier" depuis 1923, à l'exception de l'Église de Finlande qui suit le calendrier grégorien y compris pour les fêtes mobiles.
V.G.
Lire aussi L’Archiprêtre Igor Prekoup : A propos des problèmes de l'orthodoxie en Estonie
En Lettonie
En décembre 2013, le parlement letton a de nouveau repoussé, comme en 2012 et 2013, la même proposition du groupe d’opposition « Centre de la concorde ». Toutefois certaines autorités municipales, comme le maire de Rezekne, ont déclaré le jour férié pour leurs administrations… Arrivant juste après les Luthériens (16%), les Orthodoxes sont 15 % en Lettonie . Ils dépendent du patriarcat de Moscou et suivent le calendrier julien.
"L'Ancien style" en progression
Rappelons que les Orthodoxes de Pologne sont revenus au calendrier julien en juin 2014 car "96% des paroisses célèbrent les fêtes conformément à «l’ancien style»". Elle s'ajoute donc aux Églises de Russie, Serbie, Géorgie et Jérusalem qui, avec le Mont Athos et le monastère Sainte Catherine du Sinaï suivent le calendrier Julien. Les autres Églises suivent le "Nouveau calendrier" depuis 1923, à l'exception de l'Église de Finlande qui suit le calendrier grégorien y compris pour les fêtes mobiles.
V.G.
Nouvelle église dans les Émirats
Abu Dhabi compte actuellement 700 familles orthodoxes enregistrées, mais selon le père Stephanos Neaimeh il y aurait au moins 300 familles orthodoxes de plus dans l'émirat.
L'Eglise orthodoxe Saint-Nicolas construite en 1975 ne peut accueillir plus de 300 personnes et certains sont obligés de rester à l'extérieur durant le service ou dans le salon à l'étage où un écran a été installé …"Pour Pâques et Noël, nous n'avons jamais assez de place", a souligné le Père Neaimeh. La paroisse appartient au diocèse de Bagdad de l’Eglise orthodoxe d’Antioche.
Abu Dhabi compte actuellement 700 familles orthodoxes enregistrées, mais selon le père Stephanos Neaimeh il y aurait au moins 300 familles orthodoxes de plus dans l'émirat.
L'Eglise orthodoxe Saint-Nicolas construite en 1975 ne peut accueillir plus de 300 personnes et certains sont obligés de rester à l'extérieur durant le service ou dans le salon à l'étage où un écran a été installé …"Pour Pâques et Noël, nous n'avons jamais assez de place", a souligné le Père Neaimeh. La paroisse appartient au diocèse de Bagdad de l’Eglise orthodoxe d’Antioche.
Les fidèles appartiennent à plusieurs nationalités arabes, Palestiniens, Syriens et Libanais, et il y a aussi des Roumains, Russes Ukrainiens, Serbes et Géorgiens "qui peuvent organiser des offices avec leurs propres prêtres; sinon, ils peuvent prier avec nous en utilisant leurs livres ", dit le père Neaimeh.
La nouvelle église, consacrée à Saint Elia, pourra accueillir 1250 fidèles. Sa construction a débuté en mai dernier et se terminera dans 18 mois.
Un évêque au Koweït
Le Saint synode du patriarcat d'Antioche a nommée l'évêque Ghattas Hazim métropolite de Bagdad et Koweït et de leurs Dépendances le 7 Octobre 2014. Son intronisation a eu lieu le 14 janvier 2015 en présence du patriarche d'Antioche Jean X et du vice-ministre des Affaires du Al-Diwan Al-Amiri (cabinet de l'émir) Cheikh Ali Jarrah Al-Sabah, représentant de l'émir du Koweït. Au cours de son homélie, le Métropolite Ghattas a souligné la longue histoire de coexistence pacifique entre musulmans et chrétiens en Orient, disant qu'ils construiront l'avenir sur la base de l'amour et du respect mutuel.
Le patriarche a aussi été reçu par l'émir du Koweït et par le prince héritier, qui avait fait part de sa joie de voir se développer une paroisse orthodoxe au Koweït, "comme témoignage de la coexistence et de la tolérance religieuse du pays".
Il y a une paroisse orthodoxe au Koweit et on estime le nombre de croyants orthodoxes à environ 3500; ce sont principalement des immigrés palestiniens, jordaniens et syriens.
La principale Église chrétienne du pays est l'Église catholique, pour laquelle les estimations varient de 75000 à 300 000 fidèles. L'Église copte orthodoxe compte environ 60 000 membres (2 paroisses) et la "National Evangelical Church", 40 000 membres avec plus de 70 paroisses. Il y aussi des représentants des autres Églises orientales, ce qui justifie bien les références au pluralisme et à la tolérance religieuse. Source
Pour "PO" V.G.
Source Sedmitsa et ICI
La nouvelle église, consacrée à Saint Elia, pourra accueillir 1250 fidèles. Sa construction a débuté en mai dernier et se terminera dans 18 mois.
Un évêque au Koweït
Le Saint synode du patriarcat d'Antioche a nommée l'évêque Ghattas Hazim métropolite de Bagdad et Koweït et de leurs Dépendances le 7 Octobre 2014. Son intronisation a eu lieu le 14 janvier 2015 en présence du patriarche d'Antioche Jean X et du vice-ministre des Affaires du Al-Diwan Al-Amiri (cabinet de l'émir) Cheikh Ali Jarrah Al-Sabah, représentant de l'émir du Koweït. Au cours de son homélie, le Métropolite Ghattas a souligné la longue histoire de coexistence pacifique entre musulmans et chrétiens en Orient, disant qu'ils construiront l'avenir sur la base de l'amour et du respect mutuel.
Le patriarche a aussi été reçu par l'émir du Koweït et par le prince héritier, qui avait fait part de sa joie de voir se développer une paroisse orthodoxe au Koweït, "comme témoignage de la coexistence et de la tolérance religieuse du pays".
Il y a une paroisse orthodoxe au Koweit et on estime le nombre de croyants orthodoxes à environ 3500; ce sont principalement des immigrés palestiniens, jordaniens et syriens.
La principale Église chrétienne du pays est l'Église catholique, pour laquelle les estimations varient de 75000 à 300 000 fidèles. L'Église copte orthodoxe compte environ 60 000 membres (2 paroisses) et la "National Evangelical Church", 40 000 membres avec plus de 70 paroisses. Il y aussi des représentants des autres Églises orientales, ce qui justifie bien les références au pluralisme et à la tolérance religieuse. Source
Pour "PO" V.G.
Source Sedmitsa et ICI
Des célébrations régulières en slavon
Une Liturgie exceptionnelle a été célébrée à Tripoli, la capitale du Nord Liban, le 1/14 janvier, pour la fête de la Circoncision: avec la bénédiction du métropolite de Tripoli Éphrem, le higoumène Arsène Sokolov représentant du patriarche de Moscou auprès du patriarche d'Antioche et recteur du métochion de l'Église russe à Beyrouth, a célébré les confessions et la Divine Liturgie dans la chapelle de la métropole de Tripoli.
Y participèrent essentiellement les épouses russes de Libanais de la région.
À l'issue de la célébration le métropolite Éphrem invita les participants aux agapes au cours desquels il il proposa d'organiser régulièrement des célébrations en slavon à Tripoli: "la chapelle de la métropole sera toujours à votre disposition" souligna-t-il.
Une Liturgie exceptionnelle a été célébrée à Tripoli, la capitale du Nord Liban, le 1/14 janvier, pour la fête de la Circoncision: avec la bénédiction du métropolite de Tripoli Éphrem, le higoumène Arsène Sokolov représentant du patriarche de Moscou auprès du patriarche d'Antioche et recteur du métochion de l'Église russe à Beyrouth, a célébré les confessions et la Divine Liturgie dans la chapelle de la métropole de Tripoli.
Y participèrent essentiellement les épouses russes de Libanais de la région.
À l'issue de la célébration le métropolite Éphrem invita les participants aux agapes au cours desquels il il proposa d'organiser régulièrement des célébrations en slavon à Tripoli: "la chapelle de la métropole sera toujours à votre disposition" souligna-t-il.
Tripoli est la seconde ville du Liban et compte plus de 500 000 habitants; la population est principalement sunnite. La communauté orthodoxe compte deux paroisses pour environ 8 000 fidèles.
Une diaspora russophone
Les estimations de la population russophone au Liban varient de 10 000 à 37 000. Dès la fin du XIXe siècle, des pèlerins originaires de l'empire russe se fixèrent au Liban mais le 1er noya important fut constitué de quelques 3 000 officiers de l'Armée Blanche qui se fixèrent à Beyrouth sous l'administration française. Ils travaillaient comme topographe, cartographes et géodésistes pour l'administration française et s'efforçaient de préserver leur culture d'origine. Un bal annuel fut organisé dans les années 1930…
Une paroisse de l'Église Russe Hors Frontière fut fondée en 1927 et fonctionna jusque dans les années 1960.
Mais le nombre de Russes orthodoxes croissait et le besoin de célébrations en slavon fut reconnu par le patriarcat d'Antioche qui accepta l'ouverture d'un métochion de l'Église russe en 1946, à l'Occasion d'une visite du patriarche de Moscou Alexis I au Liban. Les offices sont maintenant célébrés régulièrement dans l'église de St. Jean le Précurseur dans le quartier de Mar Elias, près de l'ambassade russe, mis à disposition par le patriarcat d'Antioche. Des réunions hebdomadaires de catéchèse pour adultes et une école du dimanche sont organisées.
Lire aussi Higoumène Arsène Sokolov Les Russes au Portugal : « Nous sommes des émigrés saucisson »
Une part importante de l'immigration russophone au Liban, commencée au temps de l'URSS et qui qui se développe actuellement, est constituée par les "épouses russes": nombre d'étudiants libanais venus parfaire leurs études dans les universités russes ont épousé des Russes… Le résultat c'est qu'il y a un club féminin russophone à Beyrouth! Les femmes ont la double nationalité, les enfants aussi assez souvent, et ils rendent régulièrement visite à leur famille en Russie, préservant leurs racines et cherchant à garder le contacts avec leur culture, y compris dans la religion.
Il y a aussi un bon nombre de spécialistes russes qui ont actuellement des contrats d'expatriation au Liban dans le bâtiment, la médecine, l'enseignement et la recherche. Il y a un Centre russe des Sciences et de la culture qui a ouvert une école russe pour les enfants d'expatriés venant de tout l'espace post-soviétique qui compte plusieurs dizaines d'élèves. Il y a aussi des groupes d'étude du russe dans des filiales du Centre à Tripoli, Nabatiyeh et Baalbek.
Lien Pravmir
Source et photos et ICI
Traduction V.G.
Lire aussi Un pèlerinage annuel «Sur le chemin de l’apôtre Jacques »
Une diaspora russophone
Les estimations de la population russophone au Liban varient de 10 000 à 37 000. Dès la fin du XIXe siècle, des pèlerins originaires de l'empire russe se fixèrent au Liban mais le 1er noya important fut constitué de quelques 3 000 officiers de l'Armée Blanche qui se fixèrent à Beyrouth sous l'administration française. Ils travaillaient comme topographe, cartographes et géodésistes pour l'administration française et s'efforçaient de préserver leur culture d'origine. Un bal annuel fut organisé dans les années 1930…
Une paroisse de l'Église Russe Hors Frontière fut fondée en 1927 et fonctionna jusque dans les années 1960.
Mais le nombre de Russes orthodoxes croissait et le besoin de célébrations en slavon fut reconnu par le patriarcat d'Antioche qui accepta l'ouverture d'un métochion de l'Église russe en 1946, à l'Occasion d'une visite du patriarche de Moscou Alexis I au Liban. Les offices sont maintenant célébrés régulièrement dans l'église de St. Jean le Précurseur dans le quartier de Mar Elias, près de l'ambassade russe, mis à disposition par le patriarcat d'Antioche. Des réunions hebdomadaires de catéchèse pour adultes et une école du dimanche sont organisées.
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Une part importante de l'immigration russophone au Liban, commencée au temps de l'URSS et qui qui se développe actuellement, est constituée par les "épouses russes": nombre d'étudiants libanais venus parfaire leurs études dans les universités russes ont épousé des Russes… Le résultat c'est qu'il y a un club féminin russophone à Beyrouth! Les femmes ont la double nationalité, les enfants aussi assez souvent, et ils rendent régulièrement visite à leur famille en Russie, préservant leurs racines et cherchant à garder le contacts avec leur culture, y compris dans la religion.
Il y a aussi un bon nombre de spécialistes russes qui ont actuellement des contrats d'expatriation au Liban dans le bâtiment, la médecine, l'enseignement et la recherche. Il y a un Centre russe des Sciences et de la culture qui a ouvert une école russe pour les enfants d'expatriés venant de tout l'espace post-soviétique qui compte plusieurs dizaines d'élèves. Il y a aussi des groupes d'étude du russe dans des filiales du Centre à Tripoli, Nabatiyeh et Baalbek.
Lien Pravmir
Source et photos et ICI
Traduction V.G.
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Lors de la fermeture des couvents à Kiev, le premier atteint fut le monastère féminin de Pokrov, dont l’abbesse Sophie fut chassée de la ville. Les religieuses gardèrent secret le lieu de son refuge.
L’aumônier du couvent, le père Dimitri Ivanov, prêtre et prédicateur remarquable, eut beaucoup à souffrir et resta longtemps en prison, après quoi il demeura dans une maison où s’étaient regroupées quelques religieuses. Cette propriété, située dans la ville d’Irpène, non loin de Kiev, appartenait à une dame très riche, Hélène Babenko qui, après être devenue religieuse elle-même y avait organisé un petit couvent clandestin.
Malgré la conspiration du silence et une discrétion absolue, la chose fut découverte par les communistes. Le père Dimitri, arrêté pour la seconde fois et torturé en prison, fut expédié tout déchiré et pantelant à Arkhangelsk. Il arriva accompagné de son épouse, mais ses jambes ne le soutenaient plus ; il ne connaissait personne dans la ville.
Le père Dimitri s’écroula dans la rue. Un médecin juif, qui passait par là, le releva et le porta dans son appartement où il lui prodigua tous les soins possibles. Le père mourut dans ses bras.
Toutes les religieuses regroupées dans la ville d’Irpène pendant lé période de Grande Terreur exercée par Ejov en Russie et en l’Ukraine. On les déporta dans un sovkhoz d’élevage de rennes, sur une des îles voisines du Kamtchatka.
L’aumônier du couvent, le père Dimitri Ivanov, prêtre et prédicateur remarquable, eut beaucoup à souffrir et resta longtemps en prison, après quoi il demeura dans une maison où s’étaient regroupées quelques religieuses. Cette propriété, située dans la ville d’Irpène, non loin de Kiev, appartenait à une dame très riche, Hélène Babenko qui, après être devenue religieuse elle-même y avait organisé un petit couvent clandestin.
Malgré la conspiration du silence et une discrétion absolue, la chose fut découverte par les communistes. Le père Dimitri, arrêté pour la seconde fois et torturé en prison, fut expédié tout déchiré et pantelant à Arkhangelsk. Il arriva accompagné de son épouse, mais ses jambes ne le soutenaient plus ; il ne connaissait personne dans la ville.
Le père Dimitri s’écroula dans la rue. Un médecin juif, qui passait par là, le releva et le porta dans son appartement où il lui prodigua tous les soins possibles. Le père mourut dans ses bras.
Toutes les religieuses regroupées dans la ville d’Irpène pendant lé période de Grande Terreur exercée par Ejov en Russie et en l’Ukraine. On les déporta dans un sovkhoz d’élevage de rennes, sur une des îles voisines du Kamtchatka.
La sœur Babenko envoya, de ce lieu lointain, un télégramme aux religieuses de l’ancien couvent de Pkrov qui habitaient encore clandestinement à Kiev. Fait étonnant, ce télégramme arriva. Les sœurs de Kiev répondirent envoyèrent des secours à leurs compagnes déportées. Aucune autre nouvelle ne parvint jamais par la suite.
Archiprêtre Michel Polsky, « Les nouveaux martyrs de la terre russe », éditions « Résiac », 1976
Nouveaux Martyrs et confesseurs de la foi 112 Résultats pour votre recherche
Archiprêtre Michel Polsky, « Les nouveaux martyrs de la terre russe », éditions « Résiac », 1976
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Jacques Berset
Moscou, “Nous ne sommes pas Charlie”, telle pourrait être en résumé la position des religions majoritaires en Russie, l’orthodoxie et l’islam. Iounous-bek Evkourov, président de l’Ingouchie, une république de la Fédération de Russie, a déclaré que la publication dans les médias étrangers des caricatures du prophète Mahomet doit être classée dans la catégorie “extrémisme”, rapporte le 16 janvier 2015 l’agence de presse russe Interfax. De son côté, la présidence de la République de Tchétchénie annonce une grande manifestation le lundi 19 janvier à Grozny pour protester contre la nouvelle publication de caricatures sur Mahomet. SUITE Apic
Moscou, “Nous ne sommes pas Charlie”, telle pourrait être en résumé la position des religions majoritaires en Russie, l’orthodoxie et l’islam. Iounous-bek Evkourov, président de l’Ingouchie, une république de la Fédération de Russie, a déclaré que la publication dans les médias étrangers des caricatures du prophète Mahomet doit être classée dans la catégorie “extrémisme”, rapporte le 16 janvier 2015 l’agence de presse russe Interfax. De son côté, la présidence de la République de Tchétchénie annonce une grande manifestation le lundi 19 janvier à Grozny pour protester contre la nouvelle publication de caricatures sur Mahomet. SUITE Apic
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