Plateforme libre de discussion
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A l'occasion du deuxième anniversaire du rappel à Dieu du père Victor Shipovalnikov, un parastase sera célébré le dimanche 27 décembre à 18h00 en l'église de la Dormition à Ste Geneviève des Bois.
Père Victor était né le 28 janvier 1915 à Arkhangelsk ; dès son plus jeune age il fut attiré par les offices religieux et commença à servir comme acolytes dès l'âge de 7 ans. L'époque soviétique transforma cette région en un lieu de déportation massif. Père Victor se rappella toute sa vie comment dans les années 20 et 30 il participa à des célébrations épiscopales présidées par de saints pasteurs tels que le métropolite Séraphim (Tchitchagov), les archevêques Ilarion (Troïtsky) et Luc (Voino-Iassenetsky).
En 1936, alors qu'il termine la faculté technique de Leningrad, il fait connaissance du métropolite Nicolas (Iarouchevitch), alors évêque de Peterhof et devient un de ses amis. En 1939, père Victor est mobilisé dans l'armée rouge et se retrouve en 1941 en Moldavie puis à Odessa. Lors de l'évacuation soviétique de la Crimée, père Victor arrive de justesse à échapper au retrait de troupe grâce à l'aide de moniales.
Père Victor était né le 28 janvier 1915 à Arkhangelsk ; dès son plus jeune age il fut attiré par les offices religieux et commença à servir comme acolytes dès l'âge de 7 ans. L'époque soviétique transforma cette région en un lieu de déportation massif. Père Victor se rappella toute sa vie comment dans les années 20 et 30 il participa à des célébrations épiscopales présidées par de saints pasteurs tels que le métropolite Séraphim (Tchitchagov), les archevêques Ilarion (Troïtsky) et Luc (Voino-Iassenetsky).
En 1936, alors qu'il termine la faculté technique de Leningrad, il fait connaissance du métropolite Nicolas (Iarouchevitch), alors évêque de Peterhof et devient un de ses amis. En 1939, père Victor est mobilisé dans l'armée rouge et se retrouve en 1941 en Moldavie puis à Odessa. Lors de l'évacuation soviétique de la Crimée, père Victor arrive de justesse à échapper au retrait de troupe grâce à l'aide de moniales.
Rédigé par Daria Tchertkoff le 24 Décembre 2009 à 18:19
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-11 commentaire
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LE FIGARO
Marc Henry - Jérusalem
Le Grand Rabbinat dénonce les décorations de fête des commerces israéliens.
Le père Noël n'est pas en odeur de sainteté auprès du Grand Rabbinat en Israël. Comme chaque année, les propriétaires d'hôtels, de restaurants et autres lieux publics ont été prévenus que mieux valait pour eux éviter d'utiliser des sapins, des chapeaux rouges et autres poupées en forme de père Noël dans leur décoration à l'approche des fêtes de fin d'année. Cet avertissement a été assorti d'une menace à peine voilée. «Nous envisageons de rendre publique une liste des établissements qui passeront outre et d'appeler ensuite à les boycotter», a affirmé à la presse Ofer Cohen, directeur du «lobby pour les valeurs juives» du Rabbinat.
Marc Henry - Jérusalem
Le Grand Rabbinat dénonce les décorations de fête des commerces israéliens.
Le père Noël n'est pas en odeur de sainteté auprès du Grand Rabbinat en Israël. Comme chaque année, les propriétaires d'hôtels, de restaurants et autres lieux publics ont été prévenus que mieux valait pour eux éviter d'utiliser des sapins, des chapeaux rouges et autres poupées en forme de père Noël dans leur décoration à l'approche des fêtes de fin d'année. Cet avertissement a été assorti d'une menace à peine voilée. «Nous envisageons de rendre publique une liste des établissements qui passeront outre et d'appeler ensuite à les boycotter», a affirmé à la presse Ofer Cohen, directeur du «lobby pour les valeurs juives» du Rabbinat.
Les dépêches d’agence et les réactions à l’assassinat, le 22 décembre dans la région de Moscou, du père Alexandre Filippov, 39 ans, père de trois enfants, sont très nombreuses. En voici une synthèse.
Le père Alexandre a été tué par des voyous auxquels il avait fait une observation pour inconduite dans l’entrée de son immeuble. Le meurtrier, un multirécidiviste, et ses compagnons de boisson ont été rapidement appréhendés par la milice.
La réunion de l’assemblée diocésaine qui se tient dans la cathédrale du Christ Sauveur à Moscou a commencé, à l’initiative du patriarche Cyrille, par le chant « Mémoire éternelle » (Vetchnaïa pamjatj ). Le patriarche a dit que le défunt avait « une personnalité radieuse » et qu’il n’était pas resté indifférent à des « manifestations de vilenie » comme le lui ordonnait son devoir.
Le père Alexandre a été tué par des voyous auxquels il avait fait une observation pour inconduite dans l’entrée de son immeuble. Le meurtrier, un multirécidiviste, et ses compagnons de boisson ont été rapidement appréhendés par la milice.
La réunion de l’assemblée diocésaine qui se tient dans la cathédrale du Christ Sauveur à Moscou a commencé, à l’initiative du patriarche Cyrille, par le chant « Mémoire éternelle » (Vetchnaïa pamjatj ). Le patriarche a dit que le défunt avait « une personnalité radieuse » et qu’il n’était pas resté indifférent à des « manifestations de vilenie » comme le lui ordonnait son devoir.
Voici une version abrégée de la lettre adressée par le père Philippe Riabykh à un représentant du parti communiste de la Fédération de Russie. Le lien renvoie à la version complète dans l’original. Il s’agit d’un texte d’une grande importance dans le contexte de la violente polémique qui a repris à la suite de la parution du livre de l’archiprêtre Georges Mitrofanov « La tragédie de la Russie au XX siècle ».
L’Eglise russe contre la réhabilitation de Staline
Le hiéromoine Philippe (Riabykh), vice-responsable du Département des relations extérieures du patriarcat de Moscou, vient d’adresser une lettre à Eugène Kolychev, président de la commission du P.C. de la Fédération de Russie pour « le travail militaro-patriotique ».
Le père Philippe s’élève contre les tentatives de présenter Staline comme un bienfaiteur de la nation et un croyant orthodoxe.
Staline a causé le malheur de millions de nos compatriotes, pourquoi en faire un héros ? Il est dangereux d’altérer la réalité et d’essayer de faire passer ce cruel persécuteur de l’Eglise pour son bienfaiteur et pour un zélé chrétien. Ces mensonges sont spirituellement dommageables !
Le P.C. avait exprimé le souhait que l’archevêque Hilarion clarifie son attitude à l’égard de Staline et apporte des précisions aux interviews qu’il avait données à ce sujet. C’est à cette demande que réagit le père Philippe.
Eugène Kolychev (P.C.) s’est dit être forcé de prendre, en réponse aux déclarations de Mgr Hilarion, la défense « des ouvriers et des paysans, des athées et des croyants qui sous l’étendard de Lénine ont crée l’Union Soviétique, qui, sous la guidance du parti communiste avec Joseph Staline à sa tête, ont triomphé de la coalition des pays fascistes, ont relevé le pays des ruines, en ont fait une grande puissance, tout ceci en respectant la liberté de conscience de chacun. Staline a accordé son soutien à l’Eglise ».
L’Eglise russe contre la réhabilitation de Staline
Le hiéromoine Philippe (Riabykh), vice-responsable du Département des relations extérieures du patriarcat de Moscou, vient d’adresser une lettre à Eugène Kolychev, président de la commission du P.C. de la Fédération de Russie pour « le travail militaro-patriotique ».
Le père Philippe s’élève contre les tentatives de présenter Staline comme un bienfaiteur de la nation et un croyant orthodoxe.
Staline a causé le malheur de millions de nos compatriotes, pourquoi en faire un héros ? Il est dangereux d’altérer la réalité et d’essayer de faire passer ce cruel persécuteur de l’Eglise pour son bienfaiteur et pour un zélé chrétien. Ces mensonges sont spirituellement dommageables !
Le P.C. avait exprimé le souhait que l’archevêque Hilarion clarifie son attitude à l’égard de Staline et apporte des précisions aux interviews qu’il avait données à ce sujet. C’est à cette demande que réagit le père Philippe.
Eugène Kolychev (P.C.) s’est dit être forcé de prendre, en réponse aux déclarations de Mgr Hilarion, la défense « des ouvriers et des paysans, des athées et des croyants qui sous l’étendard de Lénine ont crée l’Union Soviétique, qui, sous la guidance du parti communiste avec Joseph Staline à sa tête, ont triomphé de la coalition des pays fascistes, ont relevé le pays des ruines, en ont fait une grande puissance, tout ceci en respectant la liberté de conscience de chacun. Staline a accordé son soutien à l’Eglise ».
Objets d'Art
du 05-03-2010 au 24-05-2010
L'art russe, des origines à Pierre le Grand
Dans le cadre de l'année France-Russie, cette exposition exceptionnelle consacrée à l'art russe ancien offre aux regards l’histoire de la Russie chrétienne, du IXe au XVIIIe siècle.
Celle-ci commence avec l’apparition des « Russes » dans l’histoire et avec les rivalités et luttes d'influence entre Latins, Vikings et Byzantins. Puis surviennent les premières conversions dans la Rous' de Kiev, qui aboutissent au célèbre "baptême" du prince Vladimir en 988. La Rous' devient alors définitivement chrétienne et reprend le modèle ecclésiastique de Constantinople. L'art chrétien s'épanouit dans la Rous', à Kiev, à Tchernigov, à Novgorod, à Pskov, à Vladimir, à Souzdal... hésitant alors entre prépondérance byzantine et tentation de l'Occident latin.
Après la coupure introduite au XIIIe siècle par l'invasion et la domination mongole, l'art chrétien renaît dans toute sa splendeur dans les grands centres de la Russie médiévale, accompagné par un dynamisme monastique sans précédent, tandis que peu à peu s'impose l'ascendant de Moscou. C'est aussi le temps des peintres Théophane, Roublev et Dionisi.
du 05-03-2010 au 24-05-2010
L'art russe, des origines à Pierre le Grand
Dans le cadre de l'année France-Russie, cette exposition exceptionnelle consacrée à l'art russe ancien offre aux regards l’histoire de la Russie chrétienne, du IXe au XVIIIe siècle.
Celle-ci commence avec l’apparition des « Russes » dans l’histoire et avec les rivalités et luttes d'influence entre Latins, Vikings et Byzantins. Puis surviennent les premières conversions dans la Rous' de Kiev, qui aboutissent au célèbre "baptême" du prince Vladimir en 988. La Rous' devient alors définitivement chrétienne et reprend le modèle ecclésiastique de Constantinople. L'art chrétien s'épanouit dans la Rous', à Kiev, à Tchernigov, à Novgorod, à Pskov, à Vladimir, à Souzdal... hésitant alors entre prépondérance byzantine et tentation de l'Occident latin.
Après la coupure introduite au XIIIe siècle par l'invasion et la domination mongole, l'art chrétien renaît dans toute sa splendeur dans les grands centres de la Russie médiévale, accompagné par un dynamisme monastique sans précédent, tandis que peu à peu s'impose l'ascendant de Moscou. C'est aussi le temps des peintres Théophane, Roublev et Dionisi.
. L’archiprêtre Alexandre Filippov, recteur de l’église de l’Ascension dans le district de Podolsk, région de Moscou a été tué aujourd’hui d’un coup de feu en plein cœur. Le père Alexandre avait fait une remarque à des voyous qui urinaient dans l’entrée de son immeuble. Le père Alexandre laisse trois enfants adolescents, il était âgé de trente neuf ans.
Il s’agit du deuxième assassinat d’un prêtre depuis un mois. Rappelons le meurtre du père missionnaire Daniel Syssoyev dans on église le 19 novembre dernier.
Depuis 1990 vingt cinq prêtres orthodoxes ont été tués en Russie
Source: Interfax, le 22 décembre
Il s’agit du deuxième assassinat d’un prêtre depuis un mois. Rappelons le meurtre du père missionnaire Daniel Syssoyev dans on église le 19 novembre dernier.
Depuis 1990 vingt cinq prêtres orthodoxes ont été tués en Russie
Source: Interfax, le 22 décembre
Par Sophie Lebrun (Cuej)
La position de l'Eglise orthodoxe pendant le régime communiste s'est, au mieux, manifesté par un silence complaisant, au pire un soutien.
Alors que son rôle dans la révolution roumaine fut inexistant, la position de l'Eglise orthodoxe sous le règne de Ceausescu reste obscure.
"Si les Eglises ont joué un rôle dans la chute des régimes communistes dans les pays de l'Est, la Roumanie est un cas où elles ont très peu pris part à la révolution, en tant que communauté". Pour Michel Kubler, rédacteur en chef religion du journal La Croix et spécialiste des églises d'Orient (1), l'institution orthodoxe, religion officielle du pays, ne s'est pas impliquée pendant les événements de décembre 1989. "Il y a bien eu quelques évêques orthodoxes ou des prêtres mais cela n'a pas eu un impact déterminant".
De fait, sa position pendant le régime communiste s'est, au mieux, manifesté par un silence complaisant, au pire un soutien. "La main mise de Ceausescu sur la société roumaine était telle qu'on ne pouvait pas monter dans la hiérarchie orthodoxe sans avoir l'aval de la police secrète, explique Michel Kubler. Cela ne veut pas dire que tout métropolite était corrompu et complètement inféodé au régime. Mais, pour le moins, il fallait être inoffensif".
La position de l'Eglise orthodoxe pendant le régime communiste s'est, au mieux, manifesté par un silence complaisant, au pire un soutien.
Alors que son rôle dans la révolution roumaine fut inexistant, la position de l'Eglise orthodoxe sous le règne de Ceausescu reste obscure.
"Si les Eglises ont joué un rôle dans la chute des régimes communistes dans les pays de l'Est, la Roumanie est un cas où elles ont très peu pris part à la révolution, en tant que communauté". Pour Michel Kubler, rédacteur en chef religion du journal La Croix et spécialiste des églises d'Orient (1), l'institution orthodoxe, religion officielle du pays, ne s'est pas impliquée pendant les événements de décembre 1989. "Il y a bien eu quelques évêques orthodoxes ou des prêtres mais cela n'a pas eu un impact déterminant".
De fait, sa position pendant le régime communiste s'est, au mieux, manifesté par un silence complaisant, au pire un soutien. "La main mise de Ceausescu sur la société roumaine était telle qu'on ne pouvait pas monter dans la hiérarchie orthodoxe sans avoir l'aval de la police secrète, explique Michel Kubler. Cela ne veut pas dire que tout métropolite était corrompu et complètement inféodé au régime. Mais, pour le moins, il fallait être inoffensif".
Interfax publie un intéressant commentaire du p. Nicolas Balachov, adjoint au Président de la DREE (Direction des relations extérieures de l'Eglise), membre de la délégation de l'Église russe à cette Commission; il donne, à mon sens, le point de vue officiel de l'Église russe sur les avancées obtenues lors de la dernière réunion de la Commission interorthodoxe cf. communiqué
"Nous considérons que le résultat de ses travaux est extrêmement positif" dit le p. Nicolas en notant "un rapprochement notable de positions qui étaient très différentes, voire clairement opposées au départ … Cela a permis l'adoption unanime des propositions concernant l'attribution de l'autocéphalie et de l'autonomie; elles seront maintenant soumises à la Conférence préconciliaire puis devront être discutées et confirmées par le Saint et Grand Concile de l’Église orthodoxe" (1).
Il commente ensuite la démarche d'acquisition de l'autocéphalie (cf. communiqué mentionné ci-dessus) en insistant sur deux points clés:
- l'approbation préalable de l'Église-mère dont se détache la nouvelle autocéphalie,
- le consensus panorthodoxe puisque l'ensemble des Églises autocéphales doit contresigner le tomos émis par le patriarche de Constantinople.
"Nous considérons que le résultat de ses travaux est extrêmement positif" dit le p. Nicolas en notant "un rapprochement notable de positions qui étaient très différentes, voire clairement opposées au départ … Cela a permis l'adoption unanime des propositions concernant l'attribution de l'autocéphalie et de l'autonomie; elles seront maintenant soumises à la Conférence préconciliaire puis devront être discutées et confirmées par le Saint et Grand Concile de l’Église orthodoxe" (1).
Il commente ensuite la démarche d'acquisition de l'autocéphalie (cf. communiqué mentionné ci-dessus) en insistant sur deux points clés:
- l'approbation préalable de l'Église-mère dont se détache la nouvelle autocéphalie,
- le consensus panorthodoxe puisque l'ensemble des Églises autocéphales doit contresigner le tomos émis par le patriarche de Constantinople.
Aujourd'hui 21 décembre 130 e anniversaire de la naissance de Staline
L’archevêque Hilarion, responsable du Département des relations extérieures du patriarcat de Moscou, exhorte à accepter les choses telles qu’elles sont dans l’évaluation du rôle joué dans l’histoire par Staline. Les preuves de la répression massive sont irréfutables. Jamais nous n’en connaîtrons le bilan précis. Mais il s’agit de millions d’exécutions, de familles dépouillées et exilées. Ces crimes ne sauraient être justifiés par la victoire remportée dans la deuxième guerre mondiale.
Ce n’est pas à Staline mais aux peuples de la Russie que nous devons cette victoire.
L’hebdomadaire russe « Profil » reprend l’interview accordée par Mgr Hilarion au magazine allemand « Der Spiegel ».
Moscou, Interfax, le 21 décembre
L’archevêque Hilarion, responsable du Département des relations extérieures du patriarcat de Moscou, exhorte à accepter les choses telles qu’elles sont dans l’évaluation du rôle joué dans l’histoire par Staline. Les preuves de la répression massive sont irréfutables. Jamais nous n’en connaîtrons le bilan précis. Mais il s’agit de millions d’exécutions, de familles dépouillées et exilées. Ces crimes ne sauraient être justifiés par la victoire remportée dans la deuxième guerre mondiale.
Ce n’est pas à Staline mais aux peuples de la Russie que nous devons cette victoire.
L’hebdomadaire russe « Profil » reprend l’interview accordée par Mgr Hilarion au magazine allemand « Der Spiegel ».
Moscou, Interfax, le 21 décembre
Calendrier des principaux événements
6 janvier – 16 avril / MUSIQUE CLASSIQUE
Cycle de concerts consacrés à l’école russe
Dans le cadre de l’exposition « Sainte Russie » au Louvre
Auditorium du Musée du Louvre, Paris
2 mars – 24 mai /
« Sainte Russie : de la Rus’ de Kiev à la
Russie de Pierre le Grand »
Musée du Louvre, Paris
juin / RECHERCHE
La Russie invitée d’honneur au Salon européen de la Recherche et de l’Innovation
Paris
12 -13 juin / EVENEMENT
Célébration de la Fête nationale russe
Grand Palais, Paris
12 -16 juin / ECONOMIE
Exposition nationale russe
Grand Palais, Paris
Inauguration des deux manifestations le 12 juin par le Chef du Gouvernement de la Fédération de Russie, M. Vladimir Poutine
Pour le calendrier des principaux événements en France et en Russie qui sont soutenus par "Culturesfrance", cliquer ICI
Festival du cinéma russe ICI
6 janvier – 16 avril / MUSIQUE CLASSIQUE
Cycle de concerts consacrés à l’école russe
Dans le cadre de l’exposition « Sainte Russie » au Louvre
Auditorium du Musée du Louvre, Paris
2 mars – 24 mai /
« Sainte Russie : de la Rus’ de Kiev à la
Russie de Pierre le Grand »
Musée du Louvre, Paris
juin / RECHERCHE
La Russie invitée d’honneur au Salon européen de la Recherche et de l’Innovation
Paris
12 -13 juin / EVENEMENT
Célébration de la Fête nationale russe
Grand Palais, Paris
12 -16 juin / ECONOMIE
Exposition nationale russe
Grand Palais, Paris
Inauguration des deux manifestations le 12 juin par le Chef du Gouvernement de la Fédération de Russie, M. Vladimir Poutine
Pour le calendrier des principaux événements en France et en Russie qui sont soutenus par "Culturesfrance", cliquer ICI
Festival du cinéma russe ICI
Le pape Benoît XVI a approuvé samedi la béatification du prêtre polonais Jerzy Popieluszko, assassiné il y a 25 ans par la police politique communiste (SB), dernière étape avant la canonisation, a annoncé le Vatican.
Le procès en béatification du père polonais avait débuté en mai 2001 et l'année dernière, le pape Benoît XVI avait donné son accord pour que son cas soit étudié selon une procédure accélérée. Le Vatican a annoncé que Benoît XVI avait signé le décret.
Etant donné qu'il s'agit d'un martyr -- il a été tué par la police communiste polonaise de l'époque --, un miracle, en général une guérison inexpliquée, n'est pas requis pour être béatifié et devenir bienheureux.
Le procès en béatification du père polonais avait débuté en mai 2001 et l'année dernière, le pape Benoît XVI avait donné son accord pour que son cas soit étudié selon une procédure accélérée. Le Vatican a annoncé que Benoît XVI avait signé le décret.
Etant donné qu'il s'agit d'un martyr -- il a été tué par la police communiste polonaise de l'époque --, un miracle, en général une guérison inexpliquée, n'est pas requis pour être béatifié et devenir bienheureux.
Saint Nicolas provient de Nicolas de Myre appelé aussi Nicolas de Bari.
Né à Patara au sud ouest de l'actuelle Turquie (à l'époque Asie mineure) entre 250 et 270 après JC, il fut le successeur de son oncle l'évêque de Myre.
De son vivant, Nicolas de Myre fut le protecteur des enfants, des veuves et des gens faibles. Il fut bienveillant et généreux.
L'empereur Dioclétien règnant alors sur toute l'Asie mineure poursuivit cruellement les chrétiens, entraînant ainsi l'emprisonnement de St Nicolas qui fut contraint de vivre, par la suite, un certain temps en exil. En 313, l'empereur Constantin rétablit la liberté religieuse, et St Nicolas put alors reprendre sa place d'évêque.
Saint Nicolas serait décédé un 6 décembre 343, victime de persécutions sous l'Empire Romain. Il fut enterré à Myre, mais ses ossements furent volés en 1087 par des marchants italiens qui les emportèrent à Bari en Italie. Les miracles attribués à St Nicolas sont si nombreux qu'il est aujourd'hui le Saint patron de nombreuses corporations ou groupes tels que les enfants, les navigateurs, les prisonniers, les avocats ou les célibataires.
Né à Patara au sud ouest de l'actuelle Turquie (à l'époque Asie mineure) entre 250 et 270 après JC, il fut le successeur de son oncle l'évêque de Myre.
De son vivant, Nicolas de Myre fut le protecteur des enfants, des veuves et des gens faibles. Il fut bienveillant et généreux.
L'empereur Dioclétien règnant alors sur toute l'Asie mineure poursuivit cruellement les chrétiens, entraînant ainsi l'emprisonnement de St Nicolas qui fut contraint de vivre, par la suite, un certain temps en exil. En 313, l'empereur Constantin rétablit la liberté religieuse, et St Nicolas put alors reprendre sa place d'évêque.
Saint Nicolas serait décédé un 6 décembre 343, victime de persécutions sous l'Empire Romain. Il fut enterré à Myre, mais ses ossements furent volés en 1087 par des marchants italiens qui les emportèrent à Bari en Italie. Les miracles attribués à St Nicolas sont si nombreux qu'il est aujourd'hui le Saint patron de nombreuses corporations ou groupes tels que les enfants, les navigateurs, les prisonniers, les avocats ou les célibataires.
La Commission préparatoire interorthodoxe s'est réunie à Chambésy (Suisse) de 10 au 16 décembre 2009. Le patriarcat de Moscou y était représenté par l'archevêque Hilarion de Volokolamsk, président du département des relations extérieures, l'archevêque Marc de Berlin (Église russe hors frontières) et l'archiprêtre Nicolas Balachov.
La commission a poursuivi l'examen de la question de l'autocéphalie et de la façon de la proclamer et a formulé des propositions concernant l'autonomie des Églises. Les documents élaborés par la Commission seront soumis à l'approbation de la Consultation panorthodoxe préconciliaire.
Comme le précise le site officiel du patriarcat de Moscou, ces documents prévoient notamment que les fondements ecclésiologiques, canoniques et pastoraux de l'accession d'une Église à l'autocéphalie doivent être évalués par l'Église-Mère en son concile local. Si celui-ci se dit favorable à l'autocéphalie, l'Église-Mère en informe le patriarcat de Constantinople qui avertit les autres Églises locales et s'informe de l'existence d'un consensus panorthodoxe sur la question qui se manifeste par l'unanimité des décisions prises par leurs synodes ou conciles. Se fondant sur l'accord de l'Église-Mère et le consensus panorthodoxe, le patriarche de Constantinople proclame officiellement l'autocéphalie de l'Église qui la demande, en publiant un tomos, signé par lui-même, ainsi que par les primats des autres Églises orthodoxes locales.
La commission a poursuivi l'examen de la question de l'autocéphalie et de la façon de la proclamer et a formulé des propositions concernant l'autonomie des Églises. Les documents élaborés par la Commission seront soumis à l'approbation de la Consultation panorthodoxe préconciliaire.
Comme le précise le site officiel du patriarcat de Moscou, ces documents prévoient notamment que les fondements ecclésiologiques, canoniques et pastoraux de l'accession d'une Église à l'autocéphalie doivent être évalués par l'Église-Mère en son concile local. Si celui-ci se dit favorable à l'autocéphalie, l'Église-Mère en informe le patriarcat de Constantinople qui avertit les autres Églises locales et s'informe de l'existence d'un consensus panorthodoxe sur la question qui se manifeste par l'unanimité des décisions prises par leurs synodes ou conciles. Se fondant sur l'accord de l'Église-Mère et le consensus panorthodoxe, le patriarche de Constantinople proclame officiellement l'autocéphalie de l'Église qui la demande, en publiant un tomos, signé par lui-même, ainsi que par les primats des autres Églises orthodoxes locales.
Le portail russo et anglophone "Interfax-Religion" célèbre aujourd'hui,le 20 décembre, son CINQUIEME ANNIVERSAIRE.
Nous nous joignons à tous ceux, à commencer par le patriarche Cyrille I et l'archevêque Hilarion, très nombreux qui tiennent à adresser leurs meilleurs vœux à Interfax-religion et à ses collaborateurs.
Par la force des choses "Parlons d'orthodoxie" ne reprend qu'une infime partie des informations que diffuse "Interfax". L'agence traite de l'actualité de toutes les grandes religions pratiquées en Russie ainsi que de ce qui se passe dans le monde.
Nous recommandons chaleureusement la lecture intégrale de ce fil!
Happy birthday!
L'équipe de rédaction
Nous nous joignons à tous ceux, à commencer par le patriarche Cyrille I et l'archevêque Hilarion, très nombreux qui tiennent à adresser leurs meilleurs vœux à Interfax-religion et à ses collaborateurs.
Par la force des choses "Parlons d'orthodoxie" ne reprend qu'une infime partie des informations que diffuse "Interfax". L'agence traite de l'actualité de toutes les grandes religions pratiquées en Russie ainsi que de ce qui se passe dans le monde.
Nous recommandons chaleureusement la lecture intégrale de ce fil!
Happy birthday!
L'équipe de rédaction
Christianisme. Les rêves de grande union et d’accords doctrinaux entre Églises chrétiennes semblent désormais lointains. Mais les voies du dialogue œcuménique sont peut-être en train de changer.
Par Philippe Clanché
Depuis quelques semaines, le monde œcuménique est en ébullition. « L’œcuménisme, à qui on a reproché son assoupissement, se réveille », se réjouit le P. René Beaupère (1). Ce qui ne veut pas dire que l’on évoque de nouveaux accords doctrinaux… Le temps où certains avançaient un calendrier pour mener les trois branches du christianisme vers l’intercommunion paraît en effet bien loin. « Il y a 40 ans, l’union était proche. Pour l’an 2000, il existait un programme précis. C’était encore l’espérance de Jean Paul II, dans sa lettre Ut unum sint », rappelle le théologien orthodoxe Jean-François Colosimo.
L’actualité de l’œcuménisme se situe donc ailleurs. Il y eut cet automne l’arrivée remarquée d’anglicans rebelles au sein de l’Église catholique (voir TC des 29 octobre et 5 novembre). Jean-François Colosimo en reste encore interdit. « Que Rome, si exigeante d’habitude, adopte un modèle assez mondialisé, une espèce de holding avec des filiales et des satellites, me laisse coi. Au XIXe, ces anglicans auraient commencé par un mea culpa dogmatique à genoux. » Étienne Vion, en charge des questions œcuméniques à la Fédération protestante de France, minimise l’événement. « Sur 80 millions d’anglicans, cela va concerner, au maximum, quelques dizaines de milliers de cas. Cette péripétie n’affecte pas le dialogue, même si elle créée de la confusion. »
Par Philippe Clanché
Depuis quelques semaines, le monde œcuménique est en ébullition. « L’œcuménisme, à qui on a reproché son assoupissement, se réveille », se réjouit le P. René Beaupère (1). Ce qui ne veut pas dire que l’on évoque de nouveaux accords doctrinaux… Le temps où certains avançaient un calendrier pour mener les trois branches du christianisme vers l’intercommunion paraît en effet bien loin. « Il y a 40 ans, l’union était proche. Pour l’an 2000, il existait un programme précis. C’était encore l’espérance de Jean Paul II, dans sa lettre Ut unum sint », rappelle le théologien orthodoxe Jean-François Colosimo.
L’actualité de l’œcuménisme se situe donc ailleurs. Il y eut cet automne l’arrivée remarquée d’anglicans rebelles au sein de l’Église catholique (voir TC des 29 octobre et 5 novembre). Jean-François Colosimo en reste encore interdit. « Que Rome, si exigeante d’habitude, adopte un modèle assez mondialisé, une espèce de holding avec des filiales et des satellites, me laisse coi. Au XIXe, ces anglicans auraient commencé par un mea culpa dogmatique à genoux. » Étienne Vion, en charge des questions œcuméniques à la Fédération protestante de France, minimise l’événement. « Sur 80 millions d’anglicans, cela va concerner, au maximum, quelques dizaines de milliers de cas. Cette péripétie n’affecte pas le dialogue, même si elle créée de la confusion. »
A l'occasion du 70ème anniversaire de la consécration de l'église de la Dormition à Sainte Geneviève des Bois des 10 et 11 octobre dernier, un enregistrement des célébrations a été effectué dans le cadre de l'émission de télévision "Orthodoxie" du père Nicolas Ozoline.
Il sera diffusé en deux parties le dimanche 20 décembre à 9h30
et le vendredi 25 décembre à 9h30 également.
Par ailleurs deux vidéos, l’une de la panikhide pour le métropolite Euloge et l’autre de la procession du 11 octobre sont visualisables sur le site internet de l’église de la Dormition à l’adresse suivante:
http://frdormition91.blogspot.com/
Il sera diffusé en deux parties le dimanche 20 décembre à 9h30
et le vendredi 25 décembre à 9h30 également.
Par ailleurs deux vidéos, l’une de la panikhide pour le métropolite Euloge et l’autre de la procession du 11 octobre sont visualisables sur le site internet de l’église de la Dormition à l’adresse suivante:
http://frdormition91.blogspot.com/
« Nous estimons que la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) a parfois recours à des interprétations subjectives des droits individuels, cela au détriment aux droits collectifs des associations religieuses traditionnelles enracinées dans l’histoire et la cultures des peuples européens, est-il dit dans une lettre adressée par le patriarche Cyrille I au Secrétaire Général du Conseil de l’Europe, M. Thorbjørn Jagland. Le primat de l’Eglise Orthodoxe Russe croit qu’il est indispensable de procéder à un débat approfondi portant sur la jurisprudence de la Cour dans les dossiers où la législation laïque empiète dans le domaine du droit canonique, des traditions morales et spirituelles européennes.
La cathédrale de la Sainte Trinité (Mission orthodoxe russe) a connu un acte de vandalisme. Dans la nuit du 10 au 11 décembre un inconnu a écrit en grands caractères sur les murs de la partie autel et de l'entrée de cette église: "Mort" et "Mort aux chrétiens". Une plainte a été déposée à la police. Des menaces semblables avaient été adressées de par le passé verbalement à des représentants du clergé et à des moniales orthodoxes ou relevant d'autres confessions. Les voyous exigeaient leur départ du pays et menaçaient de "les égorger" en cas de refus
Jérusalem, le 14 décembre. Interfax.
Jérusalem, le 14 décembre. Interfax.
Deux attentats ont visé mardi des églises à Mossoul dans le nord de l'Irak, faisant un mort et 40 blessés, selon un nouveau bilan de la police et une source hospitalière.Une bombe a explosé près de l'église syriaque catholique de l'Anonciation à Chourta, un quartier du nord de la ville, sans faire de victimes
Père Job (Getcha)
La liturgie byzantine, par sa beauté, sa richesse et sa profondeur, intrigue, inspire ou passionne un grand nombre de chrétiens aujourd'hui ; elle n'en demeure pas moins souvent inaccessible, voire incompréhensible. De premier abord, le Typikon - le livre liturgique contenant l'ordo de la célébration liturgique - est certes illisible. D'où la nécessité, pour le néophyte ou le fidèle souhaitant approfondir sa pratique, de le décrypter.
C'est le but du présent ouvrage. Élaboré sur la base de cours prodigués à l'Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge, il couvre la célébration des offices de l'année liturgique byzantine : l'office divin, les fêtes, le cycle pascal. Le déroulement et la composition des offices liturgiques sont d'abord situés dans le contexte de leur développement historique, avant d'être analysés, dans le détail, du point de vue de la pratique.
Les Églises orthodoxes à travers le monde utilisent toutes, à l'heure actuelle, les mêmes textes liturgiques et ne connaissent - outre des langues et des mélodies différentes - que des variations mineures dans les usages, qu'elles soient du courant « grec » ou « russe ».
Ce précis de liturgie byzantine, le premier publié en français, comprend en fin de volume une abondante bibliographie et un glossaire qui tente de fixer un vocabulaire technique liturgique encore assez flottant dans notre langue.
Paris, éd. du Cerf, coll « liturgie », 2009.
La liturgie byzantine, par sa beauté, sa richesse et sa profondeur, intrigue, inspire ou passionne un grand nombre de chrétiens aujourd'hui ; elle n'en demeure pas moins souvent inaccessible, voire incompréhensible. De premier abord, le Typikon - le livre liturgique contenant l'ordo de la célébration liturgique - est certes illisible. D'où la nécessité, pour le néophyte ou le fidèle souhaitant approfondir sa pratique, de le décrypter.
C'est le but du présent ouvrage. Élaboré sur la base de cours prodigués à l'Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge, il couvre la célébration des offices de l'année liturgique byzantine : l'office divin, les fêtes, le cycle pascal. Le déroulement et la composition des offices liturgiques sont d'abord situés dans le contexte de leur développement historique, avant d'être analysés, dans le détail, du point de vue de la pratique.
Les Églises orthodoxes à travers le monde utilisent toutes, à l'heure actuelle, les mêmes textes liturgiques et ne connaissent - outre des langues et des mélodies différentes - que des variations mineures dans les usages, qu'elles soient du courant « grec » ou « russe ».
Ce précis de liturgie byzantine, le premier publié en français, comprend en fin de volume une abondante bibliographie et un glossaire qui tente de fixer un vocabulaire technique liturgique encore assez flottant dans notre langue.
Paris, éd. du Cerf, coll « liturgie », 2009.
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