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Les vacances du Nouvel an 2012 dureront en Russie du 31 décembre au 9 janvier inclus, et couvriront non seulement les fêtes de fin d'année, mais aussi la célébration du Noël orthodoxe
Pendant ces dix jours fériés, la majorité de la population se reposent à la maison et restent dans un état d'esprit optimiste pour accueillir l'année 2012, selon VTsIOM.
La majorité des Russes passeront les jours des vacances du Nouvel an chez eux, en sirotant leur boisson préférée, le vin mousseux qu'ils appellent obstinément «champagne», malgré les protestations des Français. Quant aux autorités sanitaires, au lieu de boire, elles recommandent de faire du sport. Une toute petite fraction de la population ira passer les vacances à l'étranger, surtout dans les pays exotiques, pour être plus près d'une mer chaude. Les Russes attendent de la Nouvelle Année du bien plutôt de bonnes choses: leur optimisme est impérissable.
Pendant ces dix jours fériés, la majorité de la population se reposent à la maison et restent dans un état d'esprit optimiste pour accueillir l'année 2012, selon VTsIOM.
La majorité des Russes passeront les jours des vacances du Nouvel an chez eux, en sirotant leur boisson préférée, le vin mousseux qu'ils appellent obstinément «champagne», malgré les protestations des Français. Quant aux autorités sanitaires, au lieu de boire, elles recommandent de faire du sport. Une toute petite fraction de la population ira passer les vacances à l'étranger, surtout dans les pays exotiques, pour être plus près d'une mer chaude. Les Russes attendent de la Nouvelle Année du bien plutôt de bonnes choses: leur optimisme est impérissable.
Rédigé par Parlons d'orthodoxie le 28 Décembre 2011 à 18:38
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Un moine de Sarov. par Gaetan Evrard, éd. "Coccinnelle BD" 2011
Dès l'âge de sept ans, le petit Prochore nous plonge dans une aventure extraordinaire : la découverte de la beauté, de la joie et de la force de la prière.Accompagné par l'attention bienveillante de la Sainte Mère de Dieu, il chemine, prononce ses voeux monastiques et sera désormais appelé Séraphim, ce qui veut dire "flamboyant".
Quel est ce feu qui illuminera toute sa vie et celles des autres ? Où se trouve le Royaume de Dieu ? Quel est le but de la vie ? Pas de grands discours mais de petites phrases toutes simples.
Aujourd'hui encore, Séraphim parle au cœur de chacun ! Lien ICI
"PO" Starets Silouane, Dessin : Gaëtan Evrard "Coccinelle BD"
La BD chrétienne invitée d’honneur du Festival de la famille
Dès l'âge de sept ans, le petit Prochore nous plonge dans une aventure extraordinaire : la découverte de la beauté, de la joie et de la force de la prière.Accompagné par l'attention bienveillante de la Sainte Mère de Dieu, il chemine, prononce ses voeux monastiques et sera désormais appelé Séraphim, ce qui veut dire "flamboyant".
Quel est ce feu qui illuminera toute sa vie et celles des autres ? Où se trouve le Royaume de Dieu ? Quel est le but de la vie ? Pas de grands discours mais de petites phrases toutes simples.
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"PO" Starets Silouane, Dessin : Gaëtan Evrard "Coccinelle BD"
La BD chrétienne invitée d’honneur du Festival de la famille
« Sois sans crainte, petit troupeau, car votre Père s’est complu à vous donner le Royaume » (Lc 12, 32). Ces paroles du Seigneur que nous avons entendues, chers frères et sœurs, tout au début de la lecture évangélique de ce jour, sont la conclusion d’un passage de l’Evangile de Luc consacré à l’enseignement du Seigneur sur l’abandon à la Providence. Une fois de plus l’Evangile du Christ nous rappelle que la crainte est incompatible avec la foi chrétienne. Il y a deux choses qui sont antinomiques à la foi dans la Providence de Dieu : c’est la peur et la cupidité. D’ailleurs, l’enseignement sur l’abandon à la providence est suivi chez Luc par l’appel du Seigneur à vendre les biens terrestres dans la recherche du trésor inépuisable dans les cieux.
Ainsi, si nous croyons vraiment en Dieu qui a tiré du néant un univers sublime par le débordement de son amour et de sa bonté ; si nous croyons qu’il a pourvu son œuvre de tout ce dont elle a besoin pour être parfaite ; si nous croyons dans le Dieu dont la Providence n’est que miséricorde, nous ne pouvons avoir peur, sinon celle de se révéler indigne du don extraordinaire de la vie.
Ainsi, si nous croyons vraiment en Dieu qui a tiré du néant un univers sublime par le débordement de son amour et de sa bonté ; si nous croyons qu’il a pourvu son œuvre de tout ce dont elle a besoin pour être parfaite ; si nous croyons dans le Dieu dont la Providence n’est que miséricorde, nous ne pouvons avoir peur, sinon celle de se révéler indigne du don extraordinaire de la vie.
"P.O." recommande vivement cette exposition qui reflète d'une manière très intéressante et complète la période récente de l'histoire russe lors de laquelle l’Église russe a recouvré la liberté. Alors que le régime communiste d'une manière providentielle sombrait, sans effusion de sang.L'exposition entend montrer cette histoire de l'intérieur, du point de vue des Soviétiques.
"URSS fin de parti(e)" commémore le 20e anniversaire du démantèlement de l'URSS et raconte l'histoire de la Perestroïka (1985-1991), qui a fait le lit de cette désintégration. Exposition visible au musée d'histoire contemporaine, à l'Hôtel National des Invalides à Paris.
Le 8 décembre 1991 les présidents des trois Républiques slaves - Boris Eltsine pour la Russie, Stanislav Chouchkevitch pour la Biélorussie et Léonide Kravtchouk pour l'Ukraine – signent dans la forêt Beloveja l'accord dénonçant l'union des républiques socialistes soviétiques. L'Union Soviétique a cessé d'exister. Pendant les années qui ont précédé, d'abord avec la Perestroïka instaurée par le régime, puis avec les mutations de la société, le système se trouve peu à peu fissuré. Un mouvement s'est mis en marche, que rien ni personne ne pourra ensuite arrêter.
"URSS fin de parti(e)" commémore le 20e anniversaire du démantèlement de l'URSS et raconte l'histoire de la Perestroïka (1985-1991), qui a fait le lit de cette désintégration. Exposition visible au musée d'histoire contemporaine, à l'Hôtel National des Invalides à Paris.
Le 8 décembre 1991 les présidents des trois Républiques slaves - Boris Eltsine pour la Russie, Stanislav Chouchkevitch pour la Biélorussie et Léonide Kravtchouk pour l'Ukraine – signent dans la forêt Beloveja l'accord dénonçant l'union des républiques socialistes soviétiques. L'Union Soviétique a cessé d'exister. Pendant les années qui ont précédé, d'abord avec la Perestroïka instaurée par le régime, puis avec les mutations de la société, le système se trouve peu à peu fissuré. Un mouvement s'est mis en marche, que rien ni personne ne pourra ensuite arrêter.
Un nouveau monastère orthodoxe à Washington
Le métropolite Jonas, primat de l’Église orthodoxe en Amérique (OCA), le métropolite Hilarion, premier hiérarque de l’Église orthodoxe russe hors frontières (EORHF), ont concélébré la divine liturgie à la cathédrale Saint-Nicolas de New York le mardi 24 mai 2011, en la fête des saints Cyrille et Méthode
Le site du diocèse d’Amérique orientale de l’Église russe hors-frontières évoque la communauté monastique de l’Entrée au Temple de la Mère de Dieu, récemment établie dans la banlieue de la capitale des États-Unis. Cette communauté a vu le jour en 2010, sous l’omophore de l’Église orthodoxe en Amérique (OCA). Mais après la concélébration, le 24 mai 2011, des métropolites Hilarion (ERHF) et Jonas (OCA), ce dernier confia le souci pastoral de la communauté susmentionnée à l’Église russe hors-frontières, après lui avoir accordé un congé canonique.
Le métropolite Jonas, primat de l’Église orthodoxe en Amérique (OCA), le métropolite Hilarion, premier hiérarque de l’Église orthodoxe russe hors frontières (EORHF), ont concélébré la divine liturgie à la cathédrale Saint-Nicolas de New York le mardi 24 mai 2011, en la fête des saints Cyrille et Méthode
Le site du diocèse d’Amérique orientale de l’Église russe hors-frontières évoque la communauté monastique de l’Entrée au Temple de la Mère de Dieu, récemment établie dans la banlieue de la capitale des États-Unis. Cette communauté a vu le jour en 2010, sous l’omophore de l’Église orthodoxe en Amérique (OCA). Mais après la concélébration, le 24 mai 2011, des métropolites Hilarion (ERHF) et Jonas (OCA), ce dernier confia le souci pastoral de la communauté susmentionnée à l’Église russe hors-frontières, après lui avoir accordé un congé canonique.
Du 17 au 20 décembre 2011, une délégation de l’Église orthodoxe ukrainienne s’est déplacée en Turquie pour un parcours sur les lieux liés à la vie et au ministère de saint Nicolas de Myre en Lycie. La délégation était présidée par le métropolite Onuphre de Tchernovtsy et de Bukovine, accompagné de l’évêque Jonas d’Obukhov, vicaire de la métropole de Kiev, de membres du clergé et de laïcs.
Un livre de prières orthodoxes en appli pour iPhone, iPad et Android. Cette appli est gratuite.
Pour Android ICI
Pour iPhone et iPad ICI
Elle a été élaborée par un groupe de rédacteurs sous l’égide du site « Pravoslavie.ru »
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"P.O." tient à reprendre l’excellente nécrologie de Vladimir Dimitrijevic par Jean Besse, parue dans le N° 151 du « Messager orthodoxe ».
Notre dette à tous à l’égard du défunt est immense.
Jean Besse
La nouvelle de la mort accidentelle de l’éditeur Vladimir Dimitrijevic, fondateur de « L’Age d’Homme », près de Clamecy en la fête nationale serbe du Vidovdan le 28 juin 2011, a consterné tous les orthodoxes de France.
C’est en 1934 qu’il était né à Skopje, l’ancien uskub ottomane citée par Loti et aujourd’hui capitale d’une macédoine assez lamentablement persécutée internationalement et ecclésialement par le phylétisme hellénique. Son camarade d’enfance, le poète et romancier Vlada Urosevic, né la même année que lui, définit ainsi leur cité natale dans son chef- d’œuvre Ma cousine Emilie : « Je ne sais pas si vous le savez. Skopje est une ville qu’on ne peut atteindre que par des routes passant à travers les montagnes.
Notre dette à tous à l’égard du défunt est immense.
Jean Besse
La nouvelle de la mort accidentelle de l’éditeur Vladimir Dimitrijevic, fondateur de « L’Age d’Homme », près de Clamecy en la fête nationale serbe du Vidovdan le 28 juin 2011, a consterné tous les orthodoxes de France.
C’est en 1934 qu’il était né à Skopje, l’ancien uskub ottomane citée par Loti et aujourd’hui capitale d’une macédoine assez lamentablement persécutée internationalement et ecclésialement par le phylétisme hellénique. Son camarade d’enfance, le poète et romancier Vlada Urosevic, né la même année que lui, définit ainsi leur cité natale dans son chef- d’œuvre Ma cousine Emilie : « Je ne sais pas si vous le savez. Skopje est une ville qu’on ne peut atteindre que par des routes passant à travers les montagnes.
Le monde compte 2,18 milliards de chrétiens, soit un tiers de la population mondiale, formant le premier groupe religieux devant les musulmans, selon une étude publiée lundi par le centre de recherche américain Pew sur la religion, informe l'AFP.
Le rapport "Chrétienté mondiale, rapport sur la taille et le répartition de la population chrétienne mondiale" qui se base sur 2.400 études dans 200 pays, note que la proportion de la population chrétienne est restée stable depuis un siècle mais a beaucoup varié concernant sa répartition sur la planète. En 1910, les deux-tiers des chrétiens vivaient en Europe, aujourd'hui ils ne sont plus que 26% à habiter dans cette région, 37% dans les Amériques, 24% en Afrique sub-saharienne et 13% en Asie-Pacifique.
Le rapport "Chrétienté mondiale, rapport sur la taille et le répartition de la population chrétienne mondiale" qui se base sur 2.400 études dans 200 pays, note que la proportion de la population chrétienne est restée stable depuis un siècle mais a beaucoup varié concernant sa répartition sur la planète. En 1910, les deux-tiers des chrétiens vivaient en Europe, aujourd'hui ils ne sont plus que 26% à habiter dans cette région, 37% dans les Amériques, 24% en Afrique sub-saharienne et 13% en Asie-Pacifique.
A la lumière des évènements postélectoraux en Russie cette intervention de Mgr Hilarion revêt un intérêt tout particulier:
"Quels sentiments domineront dans la société si le contact avec la corruption engendre chez les citoyens un complexe d’impuissance et de faiblesse ? Les gens sont convaincus qu’il faut payer pour tout, que l’on peut résoudre n’importe quelle difficulté à l’aide de l’argent". (PO)
Le 21 décembre 2011, lors de sa rencontre avec les membres de la Cour des Comptes de la Fédération de Russie, le président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou a prononcé une conférence sur « la Spiritualité et le contrôle moral comme moyens de lutte contre la corruption ».
Honoré Serguey Vadimovitch, mesdames et messieurs, frères et sœurs,
J’aborderai dans cette conférence un thème particulièrement d’actualité, celui de la corruption. Qu’est-ce que la corruption ? Quelles en sont les causes profondes, que pouvons-nous lui opposer ? Je pense la Chambre des Comptes de la Fédération de Russie un lieu adéquat pour une réflexion sur ce thème.
La corruption suppose l’emploi par une personne disposant de pleins-pouvoirs des droits et des ressources qui lui sont conférés dans un but lucratif. Le terme même de « corruption » (коррупция) contient une appréciation morale de ce phénomène, puisque qu’il vient du latin « corrumpere », dénaturer, dépraver .
"Quels sentiments domineront dans la société si le contact avec la corruption engendre chez les citoyens un complexe d’impuissance et de faiblesse ? Les gens sont convaincus qu’il faut payer pour tout, que l’on peut résoudre n’importe quelle difficulté à l’aide de l’argent". (PO)
Le 21 décembre 2011, lors de sa rencontre avec les membres de la Cour des Comptes de la Fédération de Russie, le président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou a prononcé une conférence sur « la Spiritualité et le contrôle moral comme moyens de lutte contre la corruption ».
Honoré Serguey Vadimovitch, mesdames et messieurs, frères et sœurs,
J’aborderai dans cette conférence un thème particulièrement d’actualité, celui de la corruption. Qu’est-ce que la corruption ? Quelles en sont les causes profondes, que pouvons-nous lui opposer ? Je pense la Chambre des Comptes de la Fédération de Russie un lieu adéquat pour une réflexion sur ce thème.
La corruption suppose l’emploi par une personne disposant de pleins-pouvoirs des droits et des ressources qui lui sont conférés dans un but lucratif. Le terme même de « corruption » (коррупция) contient une appréciation morale de ce phénomène, puisque qu’il vient du latin « corrumpere », dénaturer, dépraver .
L'explosion d'une bombe dimanche matin dans une église de la banlieue d'Abuja, la capitale administrative du Nigeria, a fait de nombreux morts, selon des témoins. Un habitant du quartier périphérique de Madala a dit à Reuters avoir compté 19 cadavres. La première explosion, qui a eu lieu dans un quartier de la capitale Abuja, a fait au moins 15 morts. Une autre explosion a touché une église du centre du pays.
L'attaque se voulait meurtrière. La bombe a été déposée au milieu de l'église catholique Sainte-Theresa, dans le quartier périphérique de Madalla, à une trentaine de kilomètres à l'ouest d'Abuja , alors que beaucoup de fidèles se trouvaient dans l'église.
L'attaque se voulait meurtrière. La bombe a été déposée au milieu de l'église catholique Sainte-Theresa, dans le quartier périphérique de Madalla, à une trentaine de kilomètres à l'ouest d'Abuja , alors que beaucoup de fidèles se trouvaient dans l'église.
Le titre appartient à la rédaction de la "Voix de la Russie"
La cathédrale Saint-Nicolas à Nice appartient désormais entièrement à la Russie. La cérémonie solennelle de remise des clés du lieu de culte a mis fin au litige de plusieurs années entre les représentants de l'Eglise russe et ceux de l'association orthodoxe protégée par le Patriarcat de Constantinople.
Les orthodoxes français attendaient cet événement depuis plusieurs années. La cathédrale Saint-Nicolas a été érigée par l’impératrice russe Maria Fédorovna en mémoire de son fils : le tsarévitch Nicolas, mort en 1865 à Nice. Le terrain a été acheté au frais de la famille impériale et l’église était construite pendant près de dix ans : entre 1903 et 1912.
Officiellement, la cathédrale n’appartenait pas à la Russie pendant longtemps. Après la Révolution de 1917, la gestion de l'église a été confiée à l'Association cultuelle orthodoxe russe de Nice (ACOR) au nom du bail emphytéotique signé initialement en 1909 pour une durée de 99 ans. Mais après l'expiration de ce délai, l’association orthodoxe protégée par le Patriarcat de Constantinople a refusé d’abandonner le bâtiment et la Russie a été contrainte de s’adresser au tribunal français pour pouvoir le récupérer.
La cathédrale Saint-Nicolas à Nice appartient désormais entièrement à la Russie. La cérémonie solennelle de remise des clés du lieu de culte a mis fin au litige de plusieurs années entre les représentants de l'Eglise russe et ceux de l'association orthodoxe protégée par le Patriarcat de Constantinople.
Les orthodoxes français attendaient cet événement depuis plusieurs années. La cathédrale Saint-Nicolas a été érigée par l’impératrice russe Maria Fédorovna en mémoire de son fils : le tsarévitch Nicolas, mort en 1865 à Nice. Le terrain a été acheté au frais de la famille impériale et l’église était construite pendant près de dix ans : entre 1903 et 1912.
Officiellement, la cathédrale n’appartenait pas à la Russie pendant longtemps. Après la Révolution de 1917, la gestion de l'église a été confiée à l'Association cultuelle orthodoxe russe de Nice (ACOR) au nom du bail emphytéotique signé initialement en 1909 pour une durée de 99 ans. Mais après l'expiration de ce délai, l’association orthodoxe protégée par le Patriarcat de Constantinople a refusé d’abandonner le bâtiment et la Russie a été contrainte de s’adresser au tribunal français pour pouvoir le récupérer.
Maria Dimitrievna était l’épouse d’un ecclésiastique de Belgorod, le père Vassili Kiyanovski qui donnait des cours de religion au lycée de la ville. Elle était elle-même professeur au lycée de jeunes filles dont elle fut nommée directrice. C’était une femme d’une vaste culture et d’une piété profondément sincère ; elle aimait passionnément le bien. Elle ne cachait pas ses convictions politiques et religieuses et la révolution ne modifia pas son attitude. Bien au contraire, lors de la proclamation des « libertés révolutionnaires », elle sut élever la voix avec courage pour défendre la vérité.
Sa droiture, sa sincérité, son intrépidité lui acquirent le respect de ses élèves et de tous ceux qui la connaissaient. Quand l’évêque de Belgorod, Monseigneur Nicodème, fut arrêté par les bolcheviks, elle – comme on vient de le lire – ne put évidemment pas rester passive. Elle mit immédiatement sur pied une délégation chargée de demander la libération de l’évêque.
Sa droiture, sa sincérité, son intrépidité lui acquirent le respect de ses élèves et de tous ceux qui la connaissaient. Quand l’évêque de Belgorod, Monseigneur Nicodème, fut arrêté par les bolcheviks, elle – comme on vient de le lire – ne put évidemment pas rester passive. Elle mit immédiatement sur pied une délégation chargée de demander la libération de l’évêque.
Bien-aimés dans le Seigneur, pères, frères et sœurs !
La Nativité du Christ nous situe à nouveau à l’entrée de la grotte de Bethléem, nous fait revivre la nuit où « le Verbe s’est fait chair » (Jn 1, 14). Cet évènement est d’une telle portée, d’une telle envergure que les circonstances et les détails qui l’accompagnaient auraient dus, semble-t-il, perdre de leur signification. Or, ce sont ces détails et ces circonstances que nous percevons comme mémorables et chers à nos cœurs. Ils sont gravés à jamais dans l’histoire de l’humanité et nous nous les remémorons d’année en année : la grotte, la crèche, l’étoile, les bergers, les anges, les mages…
La Nativité est à la fois un mystère et un miracle, la promesse exaucée et l'espérance de l’avenir, l'attente de l'ineffable qui est, pour nous croyants, forcément lié à la personne du Seigneur Jésus-Christ, venu dans le monde et devenu pleinement homme.
En cette journée radieuse acceptez, mes très chers, mes mes vœux les plus chaleureux.
La Nativité du Christ nous situe à nouveau à l’entrée de la grotte de Bethléem, nous fait revivre la nuit où « le Verbe s’est fait chair » (Jn 1, 14). Cet évènement est d’une telle portée, d’une telle envergure que les circonstances et les détails qui l’accompagnaient auraient dus, semble-t-il, perdre de leur signification. Or, ce sont ces détails et ces circonstances que nous percevons comme mémorables et chers à nos cœurs. Ils sont gravés à jamais dans l’histoire de l’humanité et nous nous les remémorons d’année en année : la grotte, la crèche, l’étoile, les bergers, les anges, les mages…
La Nativité est à la fois un mystère et un miracle, la promesse exaucée et l'espérance de l’avenir, l'attente de l'ineffable qui est, pour nous croyants, forcément lié à la personne du Seigneur Jésus-Christ, venu dans le monde et devenu pleinement homme.
En cette journée radieuse acceptez, mes très chers, mes mes vœux les plus chaleureux.
A.Tchertkoff
Les moniales de Grassac vendent leurs œuvres jusqu'au 16 janvier Pour financer l'entretien du monastère de Doumérac. Célébration de Noël le 7 janvier.
Un rite.
Le monastère orthodoxe de Doumérac, situé à Grassac, présente son expo-vente comme chaque fin d'année. Avant même que le père Archimandrite Barsanuphe ne vienne célébrer la Nativité le 7 janvier. Quinze jours après le Noël catholique.
Implantée depuis une vingtaine d'années en Charente, la communauté commercialise ses œuvres pour entretenir les cours, le jardin et les bâtiments. Une «hôtellerie», un centre de rencontres et surtout l'église avec ses bulbes qui illuminent la campagne charentaise.
Les moniales de Grassac vendent leurs œuvres jusqu'au 16 janvier Pour financer l'entretien du monastère de Doumérac. Célébration de Noël le 7 janvier.
Un rite.
Le monastère orthodoxe de Doumérac, situé à Grassac, présente son expo-vente comme chaque fin d'année. Avant même que le père Archimandrite Barsanuphe ne vienne célébrer la Nativité le 7 janvier. Quinze jours après le Noël catholique.
Implantée depuis une vingtaine d'années en Charente, la communauté commercialise ses œuvres pour entretenir les cours, le jardin et les bâtiments. Une «hôtellerie», un centre de rencontres et surtout l'église avec ses bulbes qui illuminent la campagne charentaise.
De nouvelles études, menées par des scientifiques italiens, ont cherché à attester l'authenticité du Saint suaire de Turin. Mais ils n'ont pas réussi à déterminer comment s'est imprimé le corps du Christ sur la toile.
Un groupe de spécialistes de l’Agence italienne pour les nouvelles technologies, l’énergie et le développement durable a publié un rapport sur les plus récentes études du Saint suaire de Turin, réalisées ces cinq dernières années. Leurs résultats mettent un point final aux discussions sur son authenticité.
Un rayonnement surpuissant
La principale question examinée était l'apparition de l’image du corps sur la toile de lin et elle est restée sans réponse. Les scientifiques ont avancé l'hypothèse que le corps ce serait imprimé suite à une très puissante explosion de rayonnements ultra-violet. Mais jusqu’à présent il n’existe pas d’appareil capable de générer un rayonnement de telle force.
Un groupe de spécialistes de l’Agence italienne pour les nouvelles technologies, l’énergie et le développement durable a publié un rapport sur les plus récentes études du Saint suaire de Turin, réalisées ces cinq dernières années. Leurs résultats mettent un point final aux discussions sur son authenticité.
Un rayonnement surpuissant
La principale question examinée était l'apparition de l’image du corps sur la toile de lin et elle est restée sans réponse. Les scientifiques ont avancé l'hypothèse que le corps ce serait imprimé suite à une très puissante explosion de rayonnements ultra-violet. Mais jusqu’à présent il n’existe pas d’appareil capable de générer un rayonnement de telle force.
Vladimir Golovanow
Résumé du discours du métropolite Hilarion de Volokolamsk (7 décembre 2011, Prešov, Slovaquie)
LE RELATIVISME TOTALITAIRE
La notion de liberté, de libre arbitre focalise l’attention tant des théologiens que des philosophes depuis des siècles. Dès l’Antiquité, Socrate, Platon, Aristote réfléchissaient à cette catégorie sous ses différents aspects. La philosophie de la liberté a fait également l’objet des recherches de philosophes comme Kant et Hegel, Schopenhauer et Nietzsche ou celles de penseurs religieux comme V. Soloviev, N. Berdiaev et d’autres. La philosophie des temps modernes, qui brandissait l’étendard de la foi en la raison et du rejet de la religion, a posé les fondements d’une nouvelle conception de la liberté humaine. Cette dernière était envisagée uniquement dans sa dimension profane, entièrement détachée de la responsabilité morale de l’individu dans la réalisation de sa liberté.
Résumé du discours du métropolite Hilarion de Volokolamsk (7 décembre 2011, Prešov, Slovaquie)
LE RELATIVISME TOTALITAIRE
La notion de liberté, de libre arbitre focalise l’attention tant des théologiens que des philosophes depuis des siècles. Dès l’Antiquité, Socrate, Platon, Aristote réfléchissaient à cette catégorie sous ses différents aspects. La philosophie de la liberté a fait également l’objet des recherches de philosophes comme Kant et Hegel, Schopenhauer et Nietzsche ou celles de penseurs religieux comme V. Soloviev, N. Berdiaev et d’autres. La philosophie des temps modernes, qui brandissait l’étendard de la foi en la raison et du rejet de la religion, a posé les fondements d’une nouvelle conception de la liberté humaine. Cette dernière était envisagée uniquement dans sa dimension profane, entièrement détachée de la responsabilité morale de l’individu dans la réalisation de sa liberté.
Un Te Deum un peu particulier a retenti jeudi dernier sous les voûtes de la cathédrale russe. En présence de Youri Gribkov, consul général de la fédération russe à Marseille, et de Serguei Bolhovitine, représentant du Kremlin, on fêtait le retour de ce monument dans le giron de la sainte Russie.
Un hymne de louanges et d'action de grâces mettait ainsi un terme à six ans d'une bataille judiciaire hors du commun entre l'un des Etats les plus puissants de la planète et l'ACOR, minuscule association cultuelle niçoise.
Voilà plus de 80 ans que celle-ci gérait les lieux. Elle s'est battue avec opiniâtreté, pied à pied, pour contester les prétentions russes. Mais la justice française lui a donné tort, en reconnaissant la Russie comme «légitime propriétaire des lieux». Dès lors, le sort en était jeté. En dépit d'un combat d'arrière-garde ces derniers mois , il a bien fallu se rendre à l'évidence sous peine de fortes amendes.
« Un moment historique »
Un hymne de louanges et d'action de grâces mettait ainsi un terme à six ans d'une bataille judiciaire hors du commun entre l'un des Etats les plus puissants de la planète et l'ACOR, minuscule association cultuelle niçoise.
Voilà plus de 80 ans que celle-ci gérait les lieux. Elle s'est battue avec opiniâtreté, pied à pied, pour contester les prétentions russes. Mais la justice française lui a donné tort, en reconnaissant la Russie comme «légitime propriétaire des lieux». Dès lors, le sort en était jeté. En dépit d'un combat d'arrière-garde ces derniers mois , il a bien fallu se rendre à l'évidence sous peine de fortes amendes.
« Un moment historique »
Russie: Rencontre avec Mgr Joseph Werth, évêque de Novossibirsk
Les rapports de l’Eglise orthodoxe russe avec l’Eglise catholique en Russie sont passés, ces dernières années, de la franche hostilité à la tiédeur. "Le temps des accusations de prosélytisme et des insultes est passé depuis longtemps!", confie à l’Apic Mgr Joseph Werth, de passage en Suisse à l’invitation de l’oeuvre d’entraide catholique "Aide à l’Eglise en Détresse" (AED). basée à Lucerne.
L’évêque de Novossibirsk, la capitale de la Sibérie occidentale située à quelque 2’800 Km à l’est de Moscou, admet cependant que "si les fronts se sont adoucis et l’atmosphère hostile des premières années a disparu, ce n’est pas encore la fraternité œcuménique!" Une décennie a passé depuis février 2002, quand, en réponse à la décision du pape Jean Paul II de créer le diocèse catholique de la Transfiguration à Novossibirsk, l’archiprêtre Alexander Novopashin organisait des manifestations contre "l’Eglise catholique et les sectes totalitaires"…
Les rapports de l’Eglise orthodoxe russe avec l’Eglise catholique en Russie sont passés, ces dernières années, de la franche hostilité à la tiédeur. "Le temps des accusations de prosélytisme et des insultes est passé depuis longtemps!", confie à l’Apic Mgr Joseph Werth, de passage en Suisse à l’invitation de l’oeuvre d’entraide catholique "Aide à l’Eglise en Détresse" (AED). basée à Lucerne.
L’évêque de Novossibirsk, la capitale de la Sibérie occidentale située à quelque 2’800 Km à l’est de Moscou, admet cependant que "si les fronts se sont adoucis et l’atmosphère hostile des premières années a disparu, ce n’est pas encore la fraternité œcuménique!" Une décennie a passé depuis février 2002, quand, en réponse à la décision du pape Jean Paul II de créer le diocèse catholique de la Transfiguration à Novossibirsk, l’archiprêtre Alexander Novopashin organisait des manifestations contre "l’Eglise catholique et les sectes totalitaires"…
L'association paroissiale à Nice de l’exarchat des églises russes en Europe occidentale du patriarcat de Constantinople a pris la décision de se retirer de l'église Saint-Nicolas et de s’installer à l’église Saint-Nicolas-Sainte-Alexandra (6, rue Longchamp, construite en 1860). Les divins offices y sont célébrés par cette paroisse à partir du 18 décembre 2011.
A l'église Saint-Nicolas les offices seront désormais célébrés par la paroisse du diocèse de Chersonèse du patriarcat de Moscou dont le recteur est l’archiprêtre Nicolas Ozoline.
Le diocèse de Chersonèse tient à exprimer sa gratitude aux responsables de l’exarchat des églises russes en Europe occidentale pour avoir contribué à trouver une solution pacifique à la difficile situation qui existait autour de l'église russe de Nice. Il exprime l’espoir d’une poursuite à l’avenir de cette coopération fraternelle entre les deux paroisses de Nice, cela pour le bien de l’orthodoxie en France et en Europe occidentale.
Paris,19 décembre 2011
Lien Site officiel du diocèse de Chersonèse Patriarcat de Moscou et en russe
A l'église Saint-Nicolas les offices seront désormais célébrés par la paroisse du diocèse de Chersonèse du patriarcat de Moscou dont le recteur est l’archiprêtre Nicolas Ozoline.
Le diocèse de Chersonèse tient à exprimer sa gratitude aux responsables de l’exarchat des églises russes en Europe occidentale pour avoir contribué à trouver une solution pacifique à la difficile situation qui existait autour de l'église russe de Nice. Il exprime l’espoir d’une poursuite à l’avenir de cette coopération fraternelle entre les deux paroisses de Nice, cela pour le bien de l’orthodoxie en France et en Europe occidentale.
Paris,19 décembre 2011
Lien Site officiel du diocèse de Chersonèse Patriarcat de Moscou et en russe
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Surprenantes fresques dans un monastère en Serbie
19/09/2024 13:35 - Patrick -
"Il n'y a aucune excuse pour ceux qui déclenchent des guerres", - Mgr Onuphre, Primat de l'Eglise d’Ukraine, PM
14/04/2023 05:58 - Gilles -
Le père George Egorov, sa visite pastorale à la Légion étrangère
12/12/2022 12:55 - Baron André -
OSCE demande à Russie ce cesser la destruction d'églises en Ukraine
10/05/2022 03:22 - pere jean -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
14/04/2022 19:15 - Hai Lin -
Deux hiérarques russes s’expriment à titre personnel à propos de la guerre et de la paix, de la situation en Russie
14/04/2022 10:39 - Marie Genko -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
14/04/2022 10:26 - Marie Genko -
Le Parlement Européen a condamné le patriarche Cyrille et a félicité le clergé orthodoxe qui s'est opposé à la guerre en Ukraine
13/04/2022 21:21 - Gilles -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 23:05 - Théophile -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 22:00 - Nadejda na Mir
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