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Voici le miracle qui se produisit dans le grand village de Kalinovka.
A côté de la sucrerie, se trouvait une église près de laquelle s’élevait une grande croix de bois qui portait, peinte à l’huile sur fond métallique, l’image du Crucifié.
Le 1 septembre 1931, le comité du parti communiste arriva sur les lieux pour fermer l’église. Il apportait avec lui, toute prête, une « décision unanime du peuple » signée par tout le monde, paraît-il, afin de justifier la fermeture du sanctuaire pour « inutilité », mais les femmes commencèrent à crier : « Fermez d’abord vos synagogues si elles ne vous sont pas utiles ! Nous, nous voulons nos églises ! »
Au son de tout ce vacarme, les ouvriers surgirent de l’usine tandis que bientôt les paysans s’assemblaient aussi. Un des représentants du pouvoir ordonna à la foule de se disperser immédiatement sur menace de faire tirer sur elle. Pour effrayer cette manifestation, les soldats tirèrent en direction du Crucifié. Une des balles atteignit l’Homme-Dieu au côté droit, un peu au-dessous de la poitrine. Un flot de sang jaillit du trou !
A côté de la sucrerie, se trouvait une église près de laquelle s’élevait une grande croix de bois qui portait, peinte à l’huile sur fond métallique, l’image du Crucifié.
Le 1 septembre 1931, le comité du parti communiste arriva sur les lieux pour fermer l’église. Il apportait avec lui, toute prête, une « décision unanime du peuple » signée par tout le monde, paraît-il, afin de justifier la fermeture du sanctuaire pour « inutilité », mais les femmes commencèrent à crier : « Fermez d’abord vos synagogues si elles ne vous sont pas utiles ! Nous, nous voulons nos églises ! »
Au son de tout ce vacarme, les ouvriers surgirent de l’usine tandis que bientôt les paysans s’assemblaient aussi. Un des représentants du pouvoir ordonna à la foule de se disperser immédiatement sur menace de faire tirer sur elle. Pour effrayer cette manifestation, les soldats tirèrent en direction du Crucifié. Une des balles atteignit l’Homme-Dieu au côté droit, un peu au-dessous de la poitrine. Un flot de sang jaillit du trou !
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 22 Juin 2018 à 07:56
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Aux yeux de ceux qui sont allé vers le schisme et se sont mis en dehors de l'Eglise, son unité ne signifie plus rien
Le métropolite Hilarion a dit: "Les accords inter-orthodoxes quant à l'octroi de l'autocéphalie sont bien réels. Un texte reconnaissant et octroyant l'autocéphalie a été élaboré et signé par l'ensemble des Eglises locales, y compris celles de Constantinople et de Russie, ceci en 1993 à Chambésy. Ce texte a été mis au point et validé en 2009. Le document définit d'une manière claire et circonstanciée les principales conditions de l'octroi de l'autocéphalie.
Le métropolite Hilarion a dit: "Les accords inter-orthodoxes quant à l'octroi de l'autocéphalie sont bien réels. Un texte reconnaissant et octroyant l'autocéphalie a été élaboré et signé par l'ensemble des Eglises locales, y compris celles de Constantinople et de Russie, ceci en 1993 à Chambésy. Ce texte a été mis au point et validé en 2009. Le document définit d'une manière claire et circonstanciée les principales conditions de l'octroi de l'autocéphalie.
Le 6 juin 2018 - Maxime VENETSKOV , lecteur de la Cathédrale orthodoxe russe à Paris Sainte-Trinité et responsable de la Chancellerie du Diocèse de Chersonèse, a soutenu sa thèse de doctorat à l'Université de " Paris Lettre Sorbonne Université " et a reçu le grade de docteur avec la mention " très honorable avec les félicitations du jury ".
Le sujet de la Thèse :" L’Échelle de Jean du Sinaï dans la tradition byzantine : le corpus manuscrit, les scholies, le Commentaire d’Élie de Crète "
La Thèse compte près de 1.100 pages. Plusieurs extraits en seront prochainement imprimées dans des revues spécialisées, un livre sera édité.
Sous la direction de : M. Bernard FLUSIN (Professeur à l’Université Sorbonne, Directeur d’études à l’EPHE)
Membres du jury :M. Vincent DÉROCHE (Directeur d’études au CNRS, UMR Orient et Méditerranée) Mme Brigitte MONDRAIN (Directeur d’études à l’EPHE) M. Antonio RIGO (Professeur à l’Université de Venise, Ca' Foscari) M. Peter VAN DEUN (Professeur à l’Université KU Leuven)
L’Échelle (Κλίμαξ), ouvrage ascétique composé au VIIe s. par Jean du Sinaï, dit Climaque (Jean de l’Échelle), est une œuvre majeure de la littérature ascétique byzantine comme en témoigne la diffusion de ce texte dans près de 500 codices du VIIIe au XIXe s. et encore dans près de 200 témoins de sa transmission indirecte.
Le sujet de la Thèse :" L’Échelle de Jean du Sinaï dans la tradition byzantine : le corpus manuscrit, les scholies, le Commentaire d’Élie de Crète "
La Thèse compte près de 1.100 pages. Plusieurs extraits en seront prochainement imprimées dans des revues spécialisées, un livre sera édité.
Sous la direction de : M. Bernard FLUSIN (Professeur à l’Université Sorbonne, Directeur d’études à l’EPHE)
Membres du jury :M. Vincent DÉROCHE (Directeur d’études au CNRS, UMR Orient et Méditerranée) Mme Brigitte MONDRAIN (Directeur d’études à l’EPHE) M. Antonio RIGO (Professeur à l’Université de Venise, Ca' Foscari) M. Peter VAN DEUN (Professeur à l’Université KU Leuven)
L’Échelle (Κλίμαξ), ouvrage ascétique composé au VIIe s. par Jean du Sinaï, dit Climaque (Jean de l’Échelle), est une œuvre majeure de la littérature ascétique byzantine comme en témoigne la diffusion de ce texte dans près de 500 codices du VIIIe au XIXe s. et encore dans près de 200 témoins de sa transmission indirecte.
Le symbole le plus important de ce dynamisme est sans doute l’inauguration du « centre spirituel et culturel orthodoxe russe »le 19 octobre 2016 à Paris, entre Tour Eiffel et Invalides, au pied du pont de l’Alma.
Au début des années 2000, on comptait environ 160 paroisses et lieux monastiques. Selon l’Annuaire de l’Église orthodoxe publié en 2017, on recense actuellement 278 lieux de culte, monastères inclus (une vingtaine), ils étaient 238 en 2010. Le nombre des évêques (10), ainsi que des prêtres et des diacres (330 pour les deux) a lui aussi augmenté.
Par orthodoxe, il faut entendre les Églises orthodoxes chalcédoniennes (qui ont accepté les décisions du IVe concile œcuménique de Chalcédoine en 451), qui sont quatorze à être autocéphales, c’est-à-dire pleinement indépendantes tout en étant en communion, dans le monde.
On y adjoint parfois, à tort, les Églises dites orthodoxes orientales, ou préchalcédoniennes, comme les Églises arménienne, copte, éthiopienne et syriaque, qui ne sont pas en communion avec les Églises orthodoxes chalcédoniennes.
Au début des années 2000, on comptait environ 160 paroisses et lieux monastiques. Selon l’Annuaire de l’Église orthodoxe publié en 2017, on recense actuellement 278 lieux de culte, monastères inclus (une vingtaine), ils étaient 238 en 2010. Le nombre des évêques (10), ainsi que des prêtres et des diacres (330 pour les deux) a lui aussi augmenté.
Par orthodoxe, il faut entendre les Églises orthodoxes chalcédoniennes (qui ont accepté les décisions du IVe concile œcuménique de Chalcédoine en 451), qui sont quatorze à être autocéphales, c’est-à-dire pleinement indépendantes tout en étant en communion, dans le monde.
On y adjoint parfois, à tort, les Églises dites orthodoxes orientales, ou préchalcédoniennes, comme les Églises arménienne, copte, éthiopienne et syriaque, qui ne sont pas en communion avec les Églises orthodoxes chalcédoniennes.
Les reliques ont été transportées de la Sainte Trinité-Saint Seraphin monastère de Diveevo à Londres, puis à l'église Saint Nicolas à Oxford. Cette paroisse appartient au diocèse de Souroje. Un moleben a été officié devant les reliques en présence d'un très grand nombre de fidèles.
La délégation venue de Russie a prié à la tombe de l'archimandrite Nicolas Gibbs, fondateur de la paroisse.
L'archimandrite Nicolas (dans le monde Charles Sydney Gibbs), était le professeur d'anglais des enfants de Nicolas II, en particulier du tsarévitch Alexis. Au cours de dix années de service à la cour de l'empereur de Russie, il était devenu l'homme de confiance de la famille impériale et la suivit même en exil en Sibérie.
En 1934, il se convertit à l'orthodoxie sous le nom d'Alexis (en l'honneur du tsarévitch Alexis), et l'année suivante il reçut la tonsure monastique sous le nom de Nicolas (en l'honneur de Nicolas II). Il fonda une paroisse à Londres, puis à Oxford. Toute sa vie, il resta fidèle à la mémoire de la famille impériale et parvint à conserver un grand nombre de ses reliques
La délégation venue de Russie a prié à la tombe de l'archimandrite Nicolas Gibbs, fondateur de la paroisse.
L'archimandrite Nicolas (dans le monde Charles Sydney Gibbs), était le professeur d'anglais des enfants de Nicolas II, en particulier du tsarévitch Alexis. Au cours de dix années de service à la cour de l'empereur de Russie, il était devenu l'homme de confiance de la famille impériale et la suivit même en exil en Sibérie.
En 1934, il se convertit à l'orthodoxie sous le nom d'Alexis (en l'honneur du tsarévitch Alexis), et l'année suivante il reçut la tonsure monastique sous le nom de Nicolas (en l'honneur de Nicolas II). Il fonda une paroisse à Londres, puis à Oxford. Toute sa vie, il resta fidèle à la mémoire de la famille impériale et parvint à conserver un grand nombre de ses reliques
Moscou. 7 juin. Le père Andreï Lebedev, adjoint du responsable à l’œuvre missionnaire du diocèse de Viatka, appelle les supporters à rester sportifs et fair-play pendant le championnat du monde de football qui se déroulera en Russie.
« Allez nous allons vivre en bonne entente le championnat du monde de football ! Dans la paix du sport ! Nous allons faire du vélo en famille, nous allons commencer à faire de la gymnastique matinale », a déclaré le père Andreï au correspondant de INTERFAX-RELIGIA, avant d’ajouter que « boire de la bière gâche la fête » et d’appeler les supporters à publier leurs propres photos sur les réseaux sociaux avec des hashtags : #foot sans alcool et #championnat sobre.
Trad "PO"
« Allez nous allons vivre en bonne entente le championnat du monde de football ! Dans la paix du sport ! Nous allons faire du vélo en famille, nous allons commencer à faire de la gymnastique matinale », a déclaré le père Andreï au correspondant de INTERFAX-RELIGIA, avant d’ajouter que « boire de la bière gâche la fête » et d’appeler les supporters à publier leurs propres photos sur les réseaux sociaux avec des hashtags : #foot sans alcool et #championnat sobre.
Trad "PO"
Le même jour, l’archevêque Antoine a été reçu par Sa Sainteté le patriarche Bartholomée dans son cabinet de travail
Avec la bénédiction de Sa Sainteté le patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie, l’archevêque Antoine de Vienne et de Budapest, responsable des établissements du Patriarcat de Moscou à l’étranger, s’est rendu à Istanbul, où il a participé aux célébrations de la fête onomastique du patriarche Bartholomée de Constantinople. Mgr Antoine était accompagné dans son voyage du prêtre Alexis Vorontsov, clerc de l’église de la Nativité-de-Saint-Jean-Baptiste (Presna, Moscou).
Le 10 juin, dimanche de Tous les Saints de la terre russe, l’archevêque Antoine a célébré la Divine liturgie au métochion Saint-André d’Istanbul. Il concélébrait avec l’archimandrite Panaret (Psaravtis), recteur du métochion, l’hiéromoine Timothée (Michine), recteur du métochion de monastère Saint-Pantéléimon de l’Athos, le prêtre Alexis Vorontsov et le diacre Grégoire Frankakis.
Avec la bénédiction de Sa Sainteté le patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie, l’archevêque Antoine de Vienne et de Budapest, responsable des établissements du Patriarcat de Moscou à l’étranger, s’est rendu à Istanbul, où il a participé aux célébrations de la fête onomastique du patriarche Bartholomée de Constantinople. Mgr Antoine était accompagné dans son voyage du prêtre Alexis Vorontsov, clerc de l’église de la Nativité-de-Saint-Jean-Baptiste (Presna, Moscou).
Le 10 juin, dimanche de Tous les Saints de la terre russe, l’archevêque Antoine a célébré la Divine liturgie au métochion Saint-André d’Istanbul. Il concélébrait avec l’archimandrite Panaret (Psaravtis), recteur du métochion, l’hiéromoine Timothée (Michine), recteur du métochion de monastère Saint-Pantéléimon de l’Athos, le prêtre Alexis Vorontsov et le diacre Grégoire Frankakis.
Iaroslavl, 14 juin. INTERFAX Le service de presse de la métropole de Iaroslavl annonce qu’un monument à la mémoire de la famille du dernier empereur de Russie a été élevé et béni dans le monastère de femmes Saint-Nicolas du village de Godenovo dans la province de Iaroslavl.
L’auteur du monument est le sculpteur moscovite Sergueï Bytchkov, qui est aussi l’auteur d’un autre monument, à Saint Séraphin de Sarov, dressé il y a un an. « Saint Séraphin accueille maintenant le dernier empereur de Russie » commente-t-on à la chancellerie du diocèse métropolitain.
Le monument à la famille impériale est élevé à la veille du centenaire de son exécution. Le long de la route qui mène au village de Godenovo on a tendu des calicots annonçant l’événement, et dans le village même on a créé une allée où sont disposés les portraits des vingt-quatre victimes avec leur biographie. (PO)
L’auteur du monument est le sculpteur moscovite Sergueï Bytchkov, qui est aussi l’auteur d’un autre monument, à Saint Séraphin de Sarov, dressé il y a un an. « Saint Séraphin accueille maintenant le dernier empereur de Russie » commente-t-on à la chancellerie du diocèse métropolitain.
Le monument à la famille impériale est élevé à la veille du centenaire de son exécution. Le long de la route qui mène au village de Godenovo on a tendu des calicots annonçant l’événement, et dans le village même on a créé une allée où sont disposés les portraits des vingt-quatre victimes avec leur biographie. (PO)
E.I. Piskarev - Icône des Saints Pères du Concile pan-russe de 1917-1918
A ce jour, le nombre de ceux qui ont souffert pour leur foi dans les années de persécutions post-révolutionnaires, figurant dans la base de données de l'Université humanitaire orthodoxe Saint-Tikhon (UHOST), est de plus de 36.000.
Sur le fondement de cette base de données, cinq volumes d'un répertoire-martyrologe biographique ont déjà été compilés et publiés :« Ceux qui ont souffert pour le Christ » (lettres A à D). Deux autres volumes (de E à I) sont en préparation pour cette année. C'est ce qu'a déclaré le père Alexandre Mazyrine, professeur d'histoire de l'Eglise, adjoint du chef du Département d'histoire contemporaine de l'Eglise orthodoxe russe à l'UHOST.
« Tout l'aspect tragique de l'histoire de l'Église orthodoxe russe de cette période n'a pas encore été suffisamment étudié. Beaucoup de noms ont été oubliés. C'est pourquoi le travail de recherche dans ce domaine reste pertinent à ce jour. Notre base de données « Ceux qui ont souffert pour le Christ » englobe les informations sur ceux qui ont été persécutés pour leur foi pendant la période des persécutions de Lénine, Staline et Khrouchtchev.
A ce jour, le nombre de ceux qui ont souffert pour leur foi dans les années de persécutions post-révolutionnaires, figurant dans la base de données de l'Université humanitaire orthodoxe Saint-Tikhon (UHOST), est de plus de 36.000.
Sur le fondement de cette base de données, cinq volumes d'un répertoire-martyrologe biographique ont déjà été compilés et publiés :« Ceux qui ont souffert pour le Christ » (lettres A à D). Deux autres volumes (de E à I) sont en préparation pour cette année. C'est ce qu'a déclaré le père Alexandre Mazyrine, professeur d'histoire de l'Eglise, adjoint du chef du Département d'histoire contemporaine de l'Eglise orthodoxe russe à l'UHOST.
« Tout l'aspect tragique de l'histoire de l'Église orthodoxe russe de cette période n'a pas encore été suffisamment étudié. Beaucoup de noms ont été oubliés. C'est pourquoi le travail de recherche dans ce domaine reste pertinent à ce jour. Notre base de données « Ceux qui ont souffert pour le Christ » englobe les informations sur ceux qui ont été persécutés pour leur foi pendant la période des persécutions de Lénine, Staline et Khrouchtchev.
Un représentant du patriarcat de Constantinople est prochainement attendu en Géorgie. L’archiprêtre Michel Botkoveli, secrétaire du patriarcat de Géorgie, a fait savoir qu’un représentant du patriarcat œcuménique est attendu mi-juin à Tbilissi. Le métropolite Hilarion , président du DREE, a récemment séjourné en Géorgie. Il y a rencontré Sa Sainteté Élie II, patriarche de Géorgie.
Durant son séjour à Tbilissi, le métropolite Hilarion de Volokolamsk a visité le monastère Saint-David et la cathédrale de Sion, dédiée à la Dormition de la Mère de Dieu.
Durant son séjour à Tbilissi, le métropolite Hilarion de Volokolamsk a visité le monastère Saint-David et la cathédrale de Sion, dédiée à la Dormition de la Mère de Dieu.
COURS DE CATÉCHISME ORTHODOXE
V.Golovanow
LE TRISAGION
Répétée 3 fois, l'hymne trois fois sainte est une prière trinitaire qui provient du chant des anges entendu par le prophète Isaïe puis par l'apôtre Jean lors de la révélation qu'il eut à Patmos.
Nous affirmons que l’éternelle présence de Dieu contient en soi l’éternelle présence de la Sainte Trinité et que depuis toujours le Fils est uni au Père et au Saint Esprit comme le révèlent les Écritures.
V.Golovanow
LE TRISAGION
Répétée 3 fois, l'hymne trois fois sainte est une prière trinitaire qui provient du chant des anges entendu par le prophète Isaïe puis par l'apôtre Jean lors de la révélation qu'il eut à Patmos.
Nous affirmons que l’éternelle présence de Dieu contient en soi l’éternelle présence de la Sainte Trinité et que depuis toujours le Fils est uni au Père et au Saint Esprit comme le révèlent les Écritures.
Le Synode du Patriarcat de Constantinople a déclaré son intention de discuter avec toutes les Églises orthodoxes locales de la requête qui lui a été adressé par le président ukrainien, Petro Porochenko, sur l’érection d’une Église autocéphale en Ukraine. Existe-t-il une procédure admise de tous pour l’octroi de l’indépendance ecclésiale – l’autocéphalie – et que disent les canons ecclésiastiques de ce mécanisme, c’est ce qu’a expliqué à RIA Novosti l’archiprêtre Nicolas Balachov, vice-président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou.
Père Nicolas, pourquoi la question de l’octroi de l’autocéphalie à telle ou telle Église ne reçoit-elle pas de réponse claire une fois pour toutes : il n’existe pas de prescriptions fondamentales à ce sujet ?
- En effet, les conditions et la procédure de proclamation de l’autocéphalie n’ont pas été définies clairement par les canons des Conciles œcuméniques (leurs décisions sont fondamentales et ont une signification primordiale pour toutes les Églises – éd.)
C’est pourquoi, lorsqu’on a commencé à préparer le Concile panorthodoxe, à Rhodes en 1961, ce thème a été inclus d’un commun accord au catalogue des questions méritant examen. Les Églises orthodoxes locales ont entamé son examen à la réunion de la Commission préparatoire interconciliaire de Chambésy, près de Genève, en 1993.
Père Nicolas, pourquoi la question de l’octroi de l’autocéphalie à telle ou telle Église ne reçoit-elle pas de réponse claire une fois pour toutes : il n’existe pas de prescriptions fondamentales à ce sujet ?
- En effet, les conditions et la procédure de proclamation de l’autocéphalie n’ont pas été définies clairement par les canons des Conciles œcuméniques (leurs décisions sont fondamentales et ont une signification primordiale pour toutes les Églises – éd.)
C’est pourquoi, lorsqu’on a commencé à préparer le Concile panorthodoxe, à Rhodes en 1961, ce thème a été inclus d’un commun accord au catalogue des questions méritant examen. Les Églises orthodoxes locales ont entamé son examen à la réunion de la Commission préparatoire interconciliaire de Chambésy, près de Genève, en 1993.
Le service de presse de la ville annonce que la municipalité de Sébastopol a restitué à la communauté catholique romaine Saint Clément le bâtiment d’une église catholique vide qui, sur la place Ouchakov, abritait jusqu’en 2006 le cinéma pour enfants « Droujba (Amitié) »
L’église catholique, construite en pierres d’Inkerman, a été élevée par souscription en 1911, la communauté comptait alors 3.000 catholiques dont les deux tiers étaient des marins de la flotte de la Mer noire. En 1936, l’église a été fermée au culte. Durant le siège de Sébastopol en 1941-42, elle a été un centre de transmissions et a subi des bombardements. L’autel était occupé par des toilettes publiques. En 1958, le bâtiment a été transformé en salle de cinéma.
La communauté catholique romaine de Sébastopol s’est reconstituée en 1993. Les offices, depuis 1996, sont célébrés dans un bâtiment contigu au cinéma « Droujba ».
L’église catholique, construite en pierres d’Inkerman, a été élevée par souscription en 1911, la communauté comptait alors 3.000 catholiques dont les deux tiers étaient des marins de la flotte de la Mer noire. En 1936, l’église a été fermée au culte. Durant le siège de Sébastopol en 1941-42, elle a été un centre de transmissions et a subi des bombardements. L’autel était occupé par des toilettes publiques. En 1958, le bâtiment a été transformé en salle de cinéma.
La communauté catholique romaine de Sébastopol s’est reconstituée en 1993. Les offices, depuis 1996, sont célébrés dans un bâtiment contigu au cinéma « Droujba ».
Dans Le Figaro du 7 juin 1928
Les Soviets sentent que la fête de Noël demeure populaire. «Elle ne sert qu'à la bourgeoisie, proteste La Société des athées, elle éloigne le peuple de la lutte des classes. Le chant des anges, le Gloria in excelsis, n'est qu'un moyen hypocrite pour réintroduire le capitalisme».
Mais comment arrêter sur les lèvres humaines un chant qui promet aux hommes la paix? Et comment aussi supprimer Pâques? Certaines entreprises communistes pour en finir jugent plus expéditif de faire de ce jour et de ceux qui l'avoisinent, des jours où l'on travaille. Le Russe, cette semaine-là, serait définitivement affranchi du prêtre en devenant serf de l'usine. Éteindre ainsi, par des ukases dictatoriaux, le rayon de joie dont chaque année les solennités pascales illuminaient les visages, c'est là une audace qui semble vouée à l'échec.
Les Soviets sentent que la fête de Noël demeure populaire. «Elle ne sert qu'à la bourgeoisie, proteste La Société des athées, elle éloigne le peuple de la lutte des classes. Le chant des anges, le Gloria in excelsis, n'est qu'un moyen hypocrite pour réintroduire le capitalisme».
Mais comment arrêter sur les lèvres humaines un chant qui promet aux hommes la paix? Et comment aussi supprimer Pâques? Certaines entreprises communistes pour en finir jugent plus expéditif de faire de ce jour et de ceux qui l'avoisinent, des jours où l'on travaille. Le Russe, cette semaine-là, serait définitivement affranchi du prêtre en devenant serf de l'usine. Éteindre ainsi, par des ukases dictatoriaux, le rayon de joie dont chaque année les solennités pascales illuminaient les visages, c'est là une audace qui semble vouée à l'échec.
La Journée de l'orthodoxie 2018 en France, à Paris le samedi 9 juin. Thème: "Les questions bioéthiques: un regard orthodoxe".
La Journée de l’orthodoxie 2018, organisée par l’Assemblée des évêques orthodoxes de France aura lieu cette année le samedi 9 juin à Paris.
Elle commencera par la divine liturgie concélébrée à partir de 9h45 en la cathédrale grecque Saint-Étienne 7, rue Georges Bizet
Et se poursuivra au Centre spirituel russe (1 quai Branly, 75007 Paris).
En effet, au cours de cette année à la fois les institutions gouvernementales et les institutions religieuses sont appelées à une réflexions sur les questions bioéthiques qui vont êtres traitées par voie législative selon les promesses du programme du président de la République.
Programme: voir l'affiche >>>>
La Journée de l’orthodoxie 2018, organisée par l’Assemblée des évêques orthodoxes de France aura lieu cette année le samedi 9 juin à Paris.
Elle commencera par la divine liturgie concélébrée à partir de 9h45 en la cathédrale grecque Saint-Étienne 7, rue Georges Bizet
Et se poursuivra au Centre spirituel russe (1 quai Branly, 75007 Paris).
En effet, au cours de cette année à la fois les institutions gouvernementales et les institutions religieuses sont appelées à une réflexions sur les questions bioéthiques qui vont êtres traitées par voie législative selon les promesses du programme du président de la République.
Programme: voir l'affiche >>>>
Une exposition consacrée aux martyrs de l’Eglise orthodoxe de Russie au XXe siècle a été inaugurée le 30 mai 2018 dans le Palais apostolique du Latran.
Cette exposition avait été auparavant présentée au Centre spirituel et culturel du quai Branly
La mémoire martyrielle faite par Rome à ces persécutés symbolise les rapprochements grandissants entre le Vatican et le Patriarcat de Moscou.
«Le concept si noble du martyre est perverti par le fondamentalisme islamique», a regretté lors de cette inauguration le cardinal Gianfranco Ravasi, président du Conseil pontifical pour la culture, rapporte imedia, l’agence de presse spécialisée sur le Vatican, jeudi 31 mai.
«Compatriotes en esprits» des premiers martyrs romains
Le cardinal Ravasi a rappelé à cette occasion combien le concept de martyre «unissait les Eglises catholique et orthodoxe». Sous le joug communiste, les Russes orthodoxes étaient «des compatriotes en esprit» des premiers chrétiens, persécutés par Rome, a souligné le métropolite Tikhon, président du Conseil patriarcal de Moscou pour la culture et primat de l'Église orthodoxe russe, relève imedia.
Cette exposition avait été auparavant présentée au Centre spirituel et culturel du quai Branly
La mémoire martyrielle faite par Rome à ces persécutés symbolise les rapprochements grandissants entre le Vatican et le Patriarcat de Moscou.
«Le concept si noble du martyre est perverti par le fondamentalisme islamique», a regretté lors de cette inauguration le cardinal Gianfranco Ravasi, président du Conseil pontifical pour la culture, rapporte imedia, l’agence de presse spécialisée sur le Vatican, jeudi 31 mai.
«Compatriotes en esprits» des premiers martyrs romains
Le cardinal Ravasi a rappelé à cette occasion combien le concept de martyre «unissait les Eglises catholique et orthodoxe». Sous le joug communiste, les Russes orthodoxes étaient «des compatriotes en esprit» des premiers chrétiens, persécutés par Rome, a souligné le métropolite Tikhon, président du Conseil patriarcal de Moscou pour la culture et primat de l'Église orthodoxe russe, relève imedia.
Lors d’une rencontre au Vatican avec une délégation du patriarcat de Moscou conduite par le métropolite Hilarion le pape François s’est résolument prononcé pour l’unité de l’Eglise orthodoxe russe :
« En votre présence, cher frère, je tiens à souligner que pour sa part l’Eglise catholique ne permettra jamais des attitudes contribuant à la division de l’Eglise orthodoxe russe. Jamais nous le tolérerons. A titre personnel je n’admets pas ces attitudes. Il n’y a qu’un seul patriarche en Russie, c’est le patriarche Cyrille et nous n’en reconnaîtrons jamais un autre.
Les diocèses catholiques ne doivent pas s’ingérer dans les affaires intérieures de l’Eglise orthodoxe russe, ceci d’autant plus pour des raisons d’ordre politique. Telle est aujourd’hui l’attitude du Saint Siège. Ceux qui s’en tiennent à d’autres positions font preuve de désobéissance à l’égard du Saint Siège.
« En votre présence, cher frère, je tiens à souligner que pour sa part l’Eglise catholique ne permettra jamais des attitudes contribuant à la division de l’Eglise orthodoxe russe. Jamais nous le tolérerons. A titre personnel je n’admets pas ces attitudes. Il n’y a qu’un seul patriarche en Russie, c’est le patriarche Cyrille et nous n’en reconnaîtrons jamais un autre.
Les diocèses catholiques ne doivent pas s’ingérer dans les affaires intérieures de l’Eglise orthodoxe russe, ceci d’autant plus pour des raisons d’ordre politique. Telle est aujourd’hui l’attitude du Saint Siège. Ceux qui s’en tiennent à d’autres positions font preuve de désobéissance à l’égard du Saint Siège.
LA VEILLE DE LA FÊTE DES SAINTS CONSTANTIN ET HÉLÈNE ÉGALES AUX APÔTRES, LE 2 JUIN A 9.00, UNE DIVINE LITURGIE ORTHODOXE SERA CÉLÉBRÉE DEVANT LES RELIQUES DE SAINTE HÉLÈNE À L’EGLISE SAINT LEU SAINT GILLES.
Eglise St Leu St Gilles, Paris, 92, rue St Denis, m Etienne Marcel
Eglise St Leu St Gilles, Paris, 92, rue St Denis, m Etienne Marcel
père Jean Meyendorff
Un des paradoxes de la morale chrétienne est que le mariage et le célibat, s’ils supposent des comportements pratiques différents, prennent appui sur la même théologie du Royaume de Dieu, et de ce fait sur la même spiritualité.
La particularité du mariage chrétien consiste à transformer et à transfigurer l’affection humaine et naturelle qui existe entre un homme et une femme en un lien éternel d’amour, lien qui ne peut pas être rompu, pas même par la mort. Le mariage est un sacrement, car par lui le futur Royaume de Dieu, les noces de l’Agneau (Apocalypse 19, 7-9), la pleine union du Christ et de l’Église (Éphésiens 5, 32), sont anticipés et représentés.
Un mariage chrétien trouve sa signification ultime non pas dans la satisfaction charnelle, la stabilité sociale, ou un moyen d’assurer sa postérité, mais dans l' " eschaton ", les " choses dernières ", que le Seigneur prépare pour ses élus.
Un des paradoxes de la morale chrétienne est que le mariage et le célibat, s’ils supposent des comportements pratiques différents, prennent appui sur la même théologie du Royaume de Dieu, et de ce fait sur la même spiritualité.
La particularité du mariage chrétien consiste à transformer et à transfigurer l’affection humaine et naturelle qui existe entre un homme et une femme en un lien éternel d’amour, lien qui ne peut pas être rompu, pas même par la mort. Le mariage est un sacrement, car par lui le futur Royaume de Dieu, les noces de l’Agneau (Apocalypse 19, 7-9), la pleine union du Christ et de l’Église (Éphésiens 5, 32), sont anticipés et représentés.
Un mariage chrétien trouve sa signification ultime non pas dans la satisfaction charnelle, la stabilité sociale, ou un moyen d’assurer sa postérité, mais dans l' " eschaton ", les " choses dernières ", que le Seigneur prépare pour ses élus.
Avec la bénédiction de Monseigneur Nestor, évêque de Chersonèse, une liturgie orthodoxe a été célébrée à la chapelle Saint Jacques auprès du monastère Saint Maurice. Officiait le père Augustin Sokolowski, docteur en théologie de l'université de Fribourg (Suisse), membre du clergé de la cathédrale de la Sainte Trinité. Il s’agit de la première liturgie orthodoxe dans l’histoire de l’abbaye
Ont concélébré le père Ilya Petrov, l’hypodiacre Constantin Markovsky, membres de la métropole de Saint Pétersbourg venus pour vénérer les reliques du Saint martyr Maurice.
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