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Le dossier de l’Eglise Russe de Nice a trouvé hier son épilogue. La Cour de cassation a rejeté le pourvoi introduit par l’association cultuelle niçoise, l’ACOR gestionnaire et occupant du bâtiment pendant 80 ans, se battait depuis six ans contre la Fédération de Russie, afin de conserver la cathédrale. L’enjeu était aussi d’y maintenir le patriarcat de Constantinople et de ne pas laisser la place à celui de Moscou. L’affrontement qui remonte à 1924, avait connu un fort regain d’activité il y a six ans avec un recours introduit par la Fédération de Russie.
Le bail emphytéotique dont bénéficiait l’association cultuelle était sur le point d’arriver à son terme, en 2007. La 2e Chambre civile du tribunal de grande instance de Nice s’était rangée, le 20 janvier 2010 aux arguments de la Fédération de Russie qui était déclarée propriétaire du terrain, du bâtiment et des œuvres inventoriées. L’association cultuelle avait interjeté appel. Mais le 19 mai 2011, la Cour d’appel d’Aix avait confirmé la Fédération de Russie comme légitime propriétaire. L’association cultuelle ACOR pugnace s’était alors pourvue en cassation.
Le bail emphytéotique dont bénéficiait l’association cultuelle était sur le point d’arriver à son terme, en 2007. La 2e Chambre civile du tribunal de grande instance de Nice s’était rangée, le 20 janvier 2010 aux arguments de la Fédération de Russie qui était déclarée propriétaire du terrain, du bâtiment et des œuvres inventoriées. L’association cultuelle avait interjeté appel. Mais le 19 mai 2011, la Cour d’appel d’Aix avait confirmé la Fédération de Russie comme légitime propriétaire. L’association cultuelle ACOR pugnace s’était alors pourvue en cassation.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 11 Avril 2013 à 11:01
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4 commentaires
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Chers amis, lecteurs et contributeurs de P.O.
Ci-joint (en PDF) l’Arrêt de la Cour de Cassation rendu public aujourd’hui, 10 avril 2013.
Tous les moyens sans exception introduits par l’ACOR-Nice sont rejetés par l’instance judiciaire suprême. Les glosateurs ACOR avaient à maintes reprises envisagé un recours à la CEDH, l’ineptie de cette éventualité va de soi.
Ainsi, la Fédération devient définitivement le propriétaire légitime de la cathédrale Saint Nicolas.
Le droit, le simple bon sens ont pris le dessus sur le sectarisme et le déni de réalité.
Il appartient à la Fédération d’élaborer son attitude quant aux autres grands bâtiments ecclésiaux construits par la Russie en Europe. La plupart d’entre eux se trouvent, par le fait de leurs propriétaires temporaires, dans un état de délabrement pitoyable.
Ci-joint (en PDF) l’Arrêt de la Cour de Cassation rendu public aujourd’hui, 10 avril 2013.
Tous les moyens sans exception introduits par l’ACOR-Nice sont rejetés par l’instance judiciaire suprême. Les glosateurs ACOR avaient à maintes reprises envisagé un recours à la CEDH, l’ineptie de cette éventualité va de soi.
Ainsi, la Fédération devient définitivement le propriétaire légitime de la cathédrale Saint Nicolas.
Le droit, le simple bon sens ont pris le dessus sur le sectarisme et le déni de réalité.
Il appartient à la Fédération d’élaborer son attitude quant aux autres grands bâtiments ecclésiaux construits par la Russie en Europe. La plupart d’entre eux se trouvent, par le fait de leurs propriétaires temporaires, dans un état de délabrement pitoyable.
100'000 chrétiens vivaient en Libye jusqu'à la chute de Kadhafi
L'Eglise orthodoxe russe s'inquiète des discriminations visant les chrétiens en Libye depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi. Le Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou rappelle que près de 100'000 chrétiens vivaient en Libye avant le début de l’opposition civile de 2011. Aujourd’hui, ils ne sont plus que quelques milliers.Le Patriarcat de Moscou constate désormais une augmentation brutale des cas de violence et de discrimination contre les chrétiens.
Absence de liberté religieuse en Libye
"Ces derniers mois, on a dénombré une grande quantité d’attaques, d’arrestations et mêmes de tortures à l’encontre des chrétiens. En février-mars 2013, un certain nombre d’attaques contre des églises et des prêtres ont été perpétrées, des dizaines de coptes ont été arrêtés et torturés sur accusation de 'prosélytisme'. Des congrégations catholiques ont dû fuir le pays devant les menaces", peut-on lire sur son site internet "mospat.ru".
L'Eglise orthodoxe russe s'inquiète des discriminations visant les chrétiens en Libye depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi. Le Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou rappelle que près de 100'000 chrétiens vivaient en Libye avant le début de l’opposition civile de 2011. Aujourd’hui, ils ne sont plus que quelques milliers.Le Patriarcat de Moscou constate désormais une augmentation brutale des cas de violence et de discrimination contre les chrétiens.
Absence de liberté religieuse en Libye
"Ces derniers mois, on a dénombré une grande quantité d’attaques, d’arrestations et mêmes de tortures à l’encontre des chrétiens. En février-mars 2013, un certain nombre d’attaques contre des églises et des prêtres ont été perpétrées, des dizaines de coptes ont été arrêtés et torturés sur accusation de 'prosélytisme'. Des congrégations catholiques ont dû fuir le pays devant les menaces", peut-on lire sur son site internet "mospat.ru".
Les funérailles auront lieu mercredi 10 avril à 10h30 à sa paroisse 91 rue Oliver de Serres 75015 Paris
Le 7 avril 2013, jour de la fête de l'Annonciation dans de nombreuses paroisses et dimanche de l'Exaltation de la Croix, le Seigneur a rappellé à Lui sa servante Nina Konstantinovna RAUSCH DE TRAUBENBERG. Née en 1920, Nina Rausch a été une personnalité importante de l'Emigration Russe. Sa culture et ses intérêts étaient très vastes. Elle a habité au foyer de Sainte Marie de Paris (Skobtsov) et a été proche du père Cyprien (Kern) et du père Basile (Zenkovsky). Elle a été membre active de l'ACER, depuis son adolescence jusqu'à nos jours. Paroissienne dès sa création de l'église de la Présentation de la Mère de Dieu au Temple, rue Olivier de Serres à Paris, elle accueillait chacun avec amitié et intérêt. Elle fut de nombreuses années responsable du service d’entraide de la paroisse. Elle a dirigé la Société des Amis de YMCA-Press. Elle a aussi été membre du Comité ZEMGOR. Éminente psychologue, elle était mondialement reconnue par ses pairs pour ses travaux sur le test de Rorschach.
Prions avec ceux qui l'aimaient pour le repos de son âme. Mémoire Éternelle !
De tous ses filleuls, père Daniel Cabagnols, père Alexis Struve, Nathalie von Rosenschild et Nadia Lebedeff
Le 7 avril 2013, jour de la fête de l'Annonciation dans de nombreuses paroisses et dimanche de l'Exaltation de la Croix, le Seigneur a rappellé à Lui sa servante Nina Konstantinovna RAUSCH DE TRAUBENBERG. Née en 1920, Nina Rausch a été une personnalité importante de l'Emigration Russe. Sa culture et ses intérêts étaient très vastes. Elle a habité au foyer de Sainte Marie de Paris (Skobtsov) et a été proche du père Cyprien (Kern) et du père Basile (Zenkovsky). Elle a été membre active de l'ACER, depuis son adolescence jusqu'à nos jours. Paroissienne dès sa création de l'église de la Présentation de la Mère de Dieu au Temple, rue Olivier de Serres à Paris, elle accueillait chacun avec amitié et intérêt. Elle fut de nombreuses années responsable du service d’entraide de la paroisse. Elle a dirigé la Société des Amis de YMCA-Press. Elle a aussi été membre du Comité ZEMGOR. Éminente psychologue, elle était mondialement reconnue par ses pairs pour ses travaux sur le test de Rorschach.
Prions avec ceux qui l'aimaient pour le repos de son âme. Mémoire Éternelle !
De tous ses filleuls, père Daniel Cabagnols, père Alexis Struve, Nathalie von Rosenschild et Nadia Lebedeff
Le saint mariage
Une loi civile n’engage que la société civile. Si elle est cohérente avec la loi divine, elle est bénie. Si elle contredit cette loi, elle n’engage pas les chrétiens. L’Église, dans le cas même où l’institution civile du mariage disparaîtrait, continuera, jusqu’à la fin des temps, à sanctifier l’amour que l’homme et la femme reçoivent de Dieu. Le sacrement de l’Église consiste à offrir à Dieu ce qui vient de lui et à le recevoir à nouveau de lui avec un accroissement de grâce. Les personnes de même sexe qui bénéficieraient du mariage républicain ne pourraient pas attendre de l’Église le couronnement de leur situation, parce que la pensée divine, exprimée dans la sainte Écriture, est autre. Pour les Orthodoxes, le mariage pour tous n’est pas acceptable pour une raison supplémentaire : en effet, le mariage religieux représente un engagement de la part du couple homme-femme de vivre au sein de la communauté, au vu et au su de tous, une vie eucharistique.
Une loi civile n’engage que la société civile. Si elle est cohérente avec la loi divine, elle est bénie. Si elle contredit cette loi, elle n’engage pas les chrétiens. L’Église, dans le cas même où l’institution civile du mariage disparaîtrait, continuera, jusqu’à la fin des temps, à sanctifier l’amour que l’homme et la femme reçoivent de Dieu. Le sacrement de l’Église consiste à offrir à Dieu ce qui vient de lui et à le recevoir à nouveau de lui avec un accroissement de grâce. Les personnes de même sexe qui bénéficieraient du mariage républicain ne pourraient pas attendre de l’Église le couronnement de leur situation, parce que la pensée divine, exprimée dans la sainte Écriture, est autre. Pour les Orthodoxes, le mariage pour tous n’est pas acceptable pour une raison supplémentaire : en effet, le mariage religieux représente un engagement de la part du couple homme-femme de vivre au sein de la communauté, au vu et au su de tous, une vie eucharistique.
Par Vladimir Lossky, Göttingen 1903–Paris 1958
LA CROIX
« La prédication de la Croix est une folie pour ceux qui périssent, mais pour nous qui sommes en voie d’être sauvés, elle est la force de Dieu» . On ne peut glorifier le triomphe de Dieu incarné, sa victoire sur la mort – limite de notre déchéance, sans exalter en même temps la Croix du Christ – limite du dépouillement volontaire (« kénose ») du Fils de Dieu, qui fut obéissant au Père « jusqu’à la mort, à la mort même sur la croix»( Ph 2, 8.). Car, « pour que nous vivions, il a fallu que Dieu s’incarnât et fût mis à mort» L’incarnation a donc eu lieu afin que le Verbe éternel se fasse capable de mourir Et le Christ lui-même déclare être venu pour cela, « pour cette heure» (Jn 12, 27.) Mais cette « heure » du Seigneur venu pour accomplir l’œuvre de notre salut est aussi l’heure de ses ennemis, celle de la « puissance des ténèbres» (1)
En effet, la victoire réelle du Christ fut sa défaite apparente, car c’est par la mort qu’il a terrassé la puissance de la mort.
LA CROIX
« La prédication de la Croix est une folie pour ceux qui périssent, mais pour nous qui sommes en voie d’être sauvés, elle est la force de Dieu» . On ne peut glorifier le triomphe de Dieu incarné, sa victoire sur la mort – limite de notre déchéance, sans exalter en même temps la Croix du Christ – limite du dépouillement volontaire (« kénose ») du Fils de Dieu, qui fut obéissant au Père « jusqu’à la mort, à la mort même sur la croix»( Ph 2, 8.). Car, « pour que nous vivions, il a fallu que Dieu s’incarnât et fût mis à mort» L’incarnation a donc eu lieu afin que le Verbe éternel se fasse capable de mourir Et le Christ lui-même déclare être venu pour cela, « pour cette heure» (Jn 12, 27.) Mais cette « heure » du Seigneur venu pour accomplir l’œuvre de notre salut est aussi l’heure de ses ennemis, celle de la « puissance des ténèbres» (1)
En effet, la victoire réelle du Christ fut sa défaite apparente, car c’est par la mort qu’il a terrassé la puissance de la mort.
Par Vladimir Lossky, Göttingen 1903–Paris 1958
LA CROIX
La victoire sur la mort et l’enfer est symbolisée par une caverne qui s’ouvre au pied de la Croix, sous le sommet rocailleux du Golgotha, le rocher fendu au moment de la mort du Christ laissant apparaître une tête de mort. C’est le crâne d’Adam qui « d’après la croyance de quelques-uns », dit Saint Jean Chrysostome (1), aurait été enterré sous le Golgotha – « lieu du crâne» (2). Si la tradition iconographique a adopté ce détail venant de sources apocryphes, c’est qu’il servait à faire ressortir le sens dogmatique de l’icône de la Crucifixion : la rédemption du premier Adam par le sang du Christ, nouvel Adam, Dieu qui se fit homme pour sauver le genre humain.
La Croix est à trois traverses – forme qui répond à une tradition très ancienne, considérée comme la plus authentique en Orient, comme en Occident (3) La traverse supérieure correspond au phylactère avec l’inscription indiquant le sujet de la condamnation. La traverse inférieure est un escabeau (le suppedaneum) auquel les pieds du Christ sont cloués avec deux clous.
LA CROIX
La victoire sur la mort et l’enfer est symbolisée par une caverne qui s’ouvre au pied de la Croix, sous le sommet rocailleux du Golgotha, le rocher fendu au moment de la mort du Christ laissant apparaître une tête de mort. C’est le crâne d’Adam qui « d’après la croyance de quelques-uns », dit Saint Jean Chrysostome (1), aurait été enterré sous le Golgotha – « lieu du crâne» (2). Si la tradition iconographique a adopté ce détail venant de sources apocryphes, c’est qu’il servait à faire ressortir le sens dogmatique de l’icône de la Crucifixion : la rédemption du premier Adam par le sang du Christ, nouvel Adam, Dieu qui se fit homme pour sauver le genre humain.
La Croix est à trois traverses – forme qui répond à une tradition très ancienne, considérée comme la plus authentique en Orient, comme en Occident (3) La traverse supérieure correspond au phylactère avec l’inscription indiquant le sujet de la condamnation. La traverse inférieure est un escabeau (le suppedaneum) auquel les pieds du Christ sont cloués avec deux clous.
Un grand musée consacré aux victimes du GOULAG verra le jour très prochainement à Moscou, ainsi qu’un monument aux personnes frappées par la répression au XXème siècle. Cette annonce a été faite lors de la conférence de presse du 28 dernier par Serguei Karaganov, membre du Conseil présidentiel des droits de l’homme
« Nous élaborons un programme fédéral, cette mission a été confiée à tous les organismes d’Etat chargés de pérenniser la mémoire des victimes de la terreur de masse, et ce programme sera finalisé vers la fin de cette année », a-t-il précisé lors d’une conférence de presse à l’agence Interfax. Selon Karaganov, le programme prévoit plusieurs orientations : mise en place d’une chaîne de musées, inauguration de monuments, aménagement des lieux d’inhumation où reposent les victimes de la répression, ainsi que la création de sites consacrés à l’histoire de la terreur de masse.
« Nous élaborons un programme fédéral, cette mission a été confiée à tous les organismes d’Etat chargés de pérenniser la mémoire des victimes de la terreur de masse, et ce programme sera finalisé vers la fin de cette année », a-t-il précisé lors d’une conférence de presse à l’agence Interfax. Selon Karaganov, le programme prévoit plusieurs orientations : mise en place d’une chaîne de musées, inauguration de monuments, aménagement des lieux d’inhumation où reposent les victimes de la répression, ainsi que la création de sites consacrés à l’histoire de la terreur de masse.
Les enseignants du département de théologie de l’université « S. A. Essenine » de Riazan travaillent depuis plus de trois ans avec succès sur le programme « Fondements de la culture spirituelle russe », proposé aux étudiants de la République populaire de Chine. Le programme offre aux étudiants, futurs traducteurs, des connaissances de base sur la culture orthodoxe.
La connaissance du vocabulaire et de la culture d’Église ne sont pas seulement importants pour la profession de traducteurs : les cours suscitent un véritable intérêt chez les étudiants. L’enseignement est dispensé par le chef du département de théologie de l’Université russe d’état, l’higoumène Luc (Stepanov), historien. L’histoire de l’Église, la doctrine orthodoxe, la vie de l’Église et la morale sont étudiées sous forme de discussions. La visite de nombreuses églises et monastères permet de dépasser la barrière linguistique et de consolider les connaissances acquises.
La connaissance du vocabulaire et de la culture d’Église ne sont pas seulement importants pour la profession de traducteurs : les cours suscitent un véritable intérêt chez les étudiants. L’enseignement est dispensé par le chef du département de théologie de l’Université russe d’état, l’higoumène Luc (Stepanov), historien. L’histoire de l’Église, la doctrine orthodoxe, la vie de l’Église et la morale sont étudiées sous forme de discussions. La visite de nombreuses églises et monastères permet de dépasser la barrière linguistique et de consolider les connaissances acquises.
Les autorités de Moscou ont promis d’attribuer au Département synodal d’œuvres caritatives et de la mission sociale un terrain près de la station de métro « Kourskaïa ». Un centre d’aide aux sans-abrisy sera aménagé.
Le Département synodal envisage d’installer à l’angle du quai Kostomarovskaïa et de la ruelle Kostomarovski, à l’écart des immeubles d’habitation, une cantine pour les sans domicile fixe ainsi que des douches et un foyer, où elles pourront être hébergées provisoirement. Des assistants sociaux de l’Eglise vont reconstituer leurs papiers d’identité et les placer dans des centres nationaux de réhabilitation sociale.
Le terrain sera attribué à titre gracieux. Actuellement la municipalité de la capitale procède à la validation de cette opération. Les formalités devraient être réglées dans les six mois.
Le Département synodal envisage d’installer à l’angle du quai Kostomarovskaïa et de la ruelle Kostomarovski, à l’écart des immeubles d’habitation, une cantine pour les sans domicile fixe ainsi que des douches et un foyer, où elles pourront être hébergées provisoirement. Des assistants sociaux de l’Eglise vont reconstituer leurs papiers d’identité et les placer dans des centres nationaux de réhabilitation sociale.
Le terrain sera attribué à titre gracieux. Actuellement la municipalité de la capitale procède à la validation de cette opération. Les formalités devraient être réglées dans les six mois.
L’assemblée diocésaine de l’archevêché s’est réunie le samedi 30 mars 2013, à Paris, dans la cathédrale Saint Alexandre Nevsky. Elle a réuni 188 clercs et laïcs délégués par les paroisses et communautés. A l’ordre du jour de la réunion figurait l’examen de la proposition faite par Sa Sainteté le Patriarche Œcuménique Bartholomée 1er par lettre en date du 4 mars 2013. Cette proposition consiste, en premier lieu, à prolonger, jusqu’au 1er novembre 2013, date à laquelle une Assemblée Générale de l’archevêché sera réunie, le service de Son Éminence le Métropolite Emmanuel, locum tenens du trône archiépiscopal en qualité d’Exarque Patriarcal chargé d’administrer provisoirement l’Archevêché. Un tel service pour les besoins pastoraux de nos paroisses et communautés a été reconnu utile et accepté avec gratitude. Ce service sera exercé jusqu’à l’élection d’un nouvel Archevêque en conformité avec le Tomos et les statuts.
Révérend Père, Madame, Monsieur,
A l’occasion de la parution de son livre en français, “Père RafaÏl et autres saints de tous les jours" publié aux éditions des Syrthes, la librairie "LA PROCURE" a le plaisir d’accueillir le mercredi 3 avril 2013 de 20 h 00 à 21 h 30 pour une soirée exceptionnelle l’Archimandrite TIKHON, supérieur du monastère Sretensky de Moscou.
Pour information, l’entrée est libre mais sur inscription obligatoire.
Tel. 01 45 48 20 25
Vous trouverez ci-joint l’invitation et l’affiche.
A l’occasion de la parution de son livre en français, “Père RafaÏl et autres saints de tous les jours" publié aux éditions des Syrthes, la librairie "LA PROCURE" a le plaisir d’accueillir le mercredi 3 avril 2013 de 20 h 00 à 21 h 30 pour une soirée exceptionnelle l’Archimandrite TIKHON, supérieur du monastère Sretensky de Moscou.
Pour information, l’entrée est libre mais sur inscription obligatoire.
Tel. 01 45 48 20 25
Vous trouverez ci-joint l’invitation et l’affiche.
invit Procure Syrtes père Tikhon HD-1.pdf
(443.3 Ko)
Affiche GS Archimandrite Tikhon 3 avril 2013.pdf (567.14 Ko)
Affiche GS Archimandrite Tikhon 3 avril 2013.pdf (567.14 Ko)
Le nouveau site de l'OLTR pour saluer le 10ème anniversaire de la Lettre du Patriarche ALEXIS II
AUJOURD'HUI, 1er AVRIL 2013, 10ème ANNIVERSAIRE DE L'APPEL DU PATRIARCHE ALEXIS II
Créé à Paris, le 31 mars 2004, le mouvement pour une Orthodoxie Locale de Tradition Russe (OLTR) a pour objet de contribuer à la promotion de l’Eglise locale en Europe occidentale dans le maintien d’une composante de traditions spirituelles et cultuelles russes, et pour cela, de contribuer au rapprochement entre les trois branches de l’Eglise orthodoxe issues de l’Eglise russe, dans l’esprit de l’appel historique lancé, le 1er avril 2003, par Sa Sainteté Alexis II, patriarche de Moscou et de toutes les Russies.
Allocution du président - Déclaration de l'OLTR - Tables rondes - Documents - Chroniques - Quelques faits et dates de l’histoire de l’Archevêché, Déclaration de l’OLTR sur les difficultés actuelles de l’Archevêché etc - Contact
AUJOURD'HUI, 1er AVRIL 2013, 10ème ANNIVERSAIRE DE L'APPEL DU PATRIARCHE ALEXIS II
Créé à Paris, le 31 mars 2004, le mouvement pour une Orthodoxie Locale de Tradition Russe (OLTR) a pour objet de contribuer à la promotion de l’Eglise locale en Europe occidentale dans le maintien d’une composante de traditions spirituelles et cultuelles russes, et pour cela, de contribuer au rapprochement entre les trois branches de l’Eglise orthodoxe issues de l’Eglise russe, dans l’esprit de l’appel historique lancé, le 1er avril 2003, par Sa Sainteté Alexis II, patriarche de Moscou et de toutes les Russies.
Allocution du président - Déclaration de l'OLTR - Tables rondes - Documents - Chroniques - Quelques faits et dates de l’histoire de l’Archevêché, Déclaration de l’OLTR sur les difficultés actuelles de l’Archevêché etc - Contact
A la question: Un grand écart sépare, cette année, la date de Pâques dans le calendrier occidental et dans le calendrier oriental, pensez-vous qu'il soit urgent d'avoir une date commune pour l'ensemble du monde chrétien?
Nos lecteurs ont répondu:
Oui, il est urgent d'avoir une date commune de Pâques 69.71%
Oui, mais ce n'est pas une priorité 11.31%
Non, il faut garder la différence de calendriers 17.7%
Je n'ai pas d'avis sur la question 1.28%
548 votants ont participé à ce sondage.
Nos lecteurs ont répondu:
Oui, il est urgent d'avoir une date commune de Pâques 69.71%
Oui, mais ce n'est pas une priorité 11.31%
Non, il faut garder la différence de calendriers 17.7%
Je n'ai pas d'avis sur la question 1.28%
548 votants ont participé à ce sondage.
Semion Kvacha
Ils ont fui la Russie au XVIIème siècle, ont été persécutés par le pouvoir, se sont interdits le mariage et les sacrements de l’Église, ont créé plusieurs courants, ont constitué un moteur du capitalisme russe au début du XXème siècle et ont malgré tout conservé leurs traditions jusqu’à nos jours. Ces gens n’ont pas accepté les nouvelles coutumes de l’Église introduites au XVIIème siècle. Il s’agit des « staroobriadtsy » (« vieux croyants »).
En Bouriatie, région russe proche du lac Baïkal, la majorité de la population parle une langue proche du mongole et est bouddhiste. Mais elle abrite également des villages russophones et, si vous vous y rendez un jour de fête, vous verrez des femmes habillées de robes ornées de broderies et dont les vêtements ont parfois jusqu’à 200 ans. Le paysage change même avant d’entrer dans le village : de vastes champs de blé remplacent en effet les pâturages et terrains vagues
Ils ont fui la Russie au XVIIème siècle, ont été persécutés par le pouvoir, se sont interdits le mariage et les sacrements de l’Église, ont créé plusieurs courants, ont constitué un moteur du capitalisme russe au début du XXème siècle et ont malgré tout conservé leurs traditions jusqu’à nos jours. Ces gens n’ont pas accepté les nouvelles coutumes de l’Église introduites au XVIIème siècle. Il s’agit des « staroobriadtsy » (« vieux croyants »).
En Bouriatie, région russe proche du lac Baïkal, la majorité de la population parle une langue proche du mongole et est bouddhiste. Mais elle abrite également des villages russophones et, si vous vous y rendez un jour de fête, vous verrez des femmes habillées de robes ornées de broderies et dont les vêtements ont parfois jusqu’à 200 ans. Le paysage change même avant d’entrer dans le village : de vastes champs de blé remplacent en effet les pâturages et terrains vagues
Par le père Jean Valentin Istrati (prêtre roumain)
Faut-il rappeler que le diable ne dort pas, ne mange pas? Depuis la création du monde il réside dans l’abstinence, n’oublie rien, ne se fatigue jamais et n’a à aucun moment eu l’idée de faire valoir ses droits à la retraite. Il n’est jamais souffrant et il lui arrive guère de mourir. Il n’a en permanence qu’un seul souci : distraire les humains lorsqu’ils font le bien et les faire oublier le salut. Le diable est un théologien fort versé, dans sa haine il connaît par cœur les Saintes Ecritures tout en n’ayant pas la moindre intention de les observer. Voilà des millénaires qu’il perfectionne ses méthodes. Il se sert des gens pour agir ayant recours aux méthodes les plus diverses, il se sert des animaux, des plantes, de la matière, des pensées et des mécanismes, etc. Sa tâche consiste à remplir l’enfer, en y installant des hommes, des créatures de Dieu prédestinées au Royaume éternel de la Lumière.
Faut-il rappeler que le diable ne dort pas, ne mange pas? Depuis la création du monde il réside dans l’abstinence, n’oublie rien, ne se fatigue jamais et n’a à aucun moment eu l’idée de faire valoir ses droits à la retraite. Il n’est jamais souffrant et il lui arrive guère de mourir. Il n’a en permanence qu’un seul souci : distraire les humains lorsqu’ils font le bien et les faire oublier le salut. Le diable est un théologien fort versé, dans sa haine il connaît par cœur les Saintes Ecritures tout en n’ayant pas la moindre intention de les observer. Voilà des millénaires qu’il perfectionne ses méthodes. Il se sert des gens pour agir ayant recours aux méthodes les plus diverses, il se sert des animaux, des plantes, de la matière, des pensées et des mécanismes, etc. Sa tâche consiste à remplir l’enfer, en y installant des hommes, des créatures de Dieu prédestinées au Royaume éternel de la Lumière.
Claude Lafleur
Les différences entre l’Église orthodoxe et l’Église catholique sont minimes, rapporte le père Ihor Kutash, de l’Église orthodoxe ukrainienne. À preuve, celui-ci enseigne depuis quinze ans à des catholiques, à l’Université Saint-Paul d’Ottawa. « C’est dire que la foi que nous partageons est suffisamment semblable pour que nous puissions nous comprendre sans problème. »
Ce qui distingue le plus ces deux institutions religieuses, l’orthodoxe et la catholique, c’est le fait que l’Église catholique considère que seules sont légitimes les communautés chrétiennes qui se soumettent à l’autorité du pape. « Tandis que nous, nous considérons que, chaque fois que la liturgie est célébrée par un prêtre qui est en communion avec les évêques de l’Église, celle-ci se trouve alors dans toute sa plénitude, indique le père Kutash. Pour nous, l’Église, c’est l’union de toutes ces Églises, et ce qui nous unit, c’est l’eucharistie. » Pour le reste, les célébrations et les traditions religieuses sont assez semblables, dit-il.
Les différences entre l’Église orthodoxe et l’Église catholique sont minimes, rapporte le père Ihor Kutash, de l’Église orthodoxe ukrainienne. À preuve, celui-ci enseigne depuis quinze ans à des catholiques, à l’Université Saint-Paul d’Ottawa. « C’est dire que la foi que nous partageons est suffisamment semblable pour que nous puissions nous comprendre sans problème. »
Ce qui distingue le plus ces deux institutions religieuses, l’orthodoxe et la catholique, c’est le fait que l’Église catholique considère que seules sont légitimes les communautés chrétiennes qui se soumettent à l’autorité du pape. « Tandis que nous, nous considérons que, chaque fois que la liturgie est célébrée par un prêtre qui est en communion avec les évêques de l’Église, celle-ci se trouve alors dans toute sa plénitude, indique le père Kutash. Pour nous, l’Église, c’est l’union de toutes ces Églises, et ce qui nous unit, c’est l’eucharistie. » Pour le reste, les célébrations et les traditions religieuses sont assez semblables, dit-il.
Alexandre Baounov
Traduction du russe Dimitri Garmonov
Dans un des lieux catholiques les plus vénérés en Argentine, la basilique Notre-Dame de Lujan près de Buenos-Aires, j’étais le plus surpris par la présence de chiens errants qui, pendant la messe, tranquillement, dormaient sous les colonnes des nefs gothiques de l’église. Personne ne les incommodait : ni le prêtre, ni les servants, ni les paroissiens. Je n’ai jamais rien vu de pareil ni en Amérique du Nord, ni en Europe occidentale avec leur culte sentimental des animaux domestiques et leurs lobbys verts tapageurs. Là, c’est un pays plus pauvre et moins conscient : aucun parti « vert » au parlement, souvent les humains eux-mêmes n’ont pas d’abri ni de nourriture, les catholiques y sont plus conservateurs qu’en Europe, mais – des chiens dans l’église.
En Argentine, j’ai compris que des nouveautés dans l’Eglise ou l’inattention pour certaines interdictions anciennes venaient non pas de l’extérieur (amenés par une mode ou une habitude, ni à cause d’une crainte de n’être pas comme tout le monde), mais, au contraire, de l’intérieur, motivés par l’amour et l’humilité. Forces devant être constamment opérantes dans l’Eglise. De telles novations, parfois les plus radicales, peuvent coexister avec le conservatisme.
Notre François
Le nouveau nom du Pape François est, quant à moi, très éloquent et il peut paraitre attrayant à tous les gens qui ont connu l’époque où l’Eglise russe n’était pas associée aux cosaques, les archimandrites ne roulaient pas en jeep et les manifestants orthodoxes n’exhibaient pas des pancartes avec des mots tels qu’un homme bien élevé ne pourrais les énoncer même dans un tête-à-tête. L’Eglise s’associait alors avec les noms de l’archiprêtre Alexandre Men, de Sergueï Averintsev et d’Olivier Clément. Pour un intellectuel qui a vécu cette période, Saint François d’Assise dont le nouveau Pape porte désormais le nom, est sûrement quelqu’un de très proche. Il évoque, entre autre, également un brillant essai de Chesterton traduit par la tant aimée Natalie Trauberg ainsi que le dialogue avec le loup et les oiseaux des Fioretti et son « Chant du Soleil » traduits par Averintsev.
Nous te louons, Seigneur, pour toutes tes créations,
Surtout pour notre frère bien-aimé – le Soleil…
Traduction du russe Dimitri Garmonov
Dans un des lieux catholiques les plus vénérés en Argentine, la basilique Notre-Dame de Lujan près de Buenos-Aires, j’étais le plus surpris par la présence de chiens errants qui, pendant la messe, tranquillement, dormaient sous les colonnes des nefs gothiques de l’église. Personne ne les incommodait : ni le prêtre, ni les servants, ni les paroissiens. Je n’ai jamais rien vu de pareil ni en Amérique du Nord, ni en Europe occidentale avec leur culte sentimental des animaux domestiques et leurs lobbys verts tapageurs. Là, c’est un pays plus pauvre et moins conscient : aucun parti « vert » au parlement, souvent les humains eux-mêmes n’ont pas d’abri ni de nourriture, les catholiques y sont plus conservateurs qu’en Europe, mais – des chiens dans l’église.
En Argentine, j’ai compris que des nouveautés dans l’Eglise ou l’inattention pour certaines interdictions anciennes venaient non pas de l’extérieur (amenés par une mode ou une habitude, ni à cause d’une crainte de n’être pas comme tout le monde), mais, au contraire, de l’intérieur, motivés par l’amour et l’humilité. Forces devant être constamment opérantes dans l’Eglise. De telles novations, parfois les plus radicales, peuvent coexister avec le conservatisme.
Notre François
Le nouveau nom du Pape François est, quant à moi, très éloquent et il peut paraitre attrayant à tous les gens qui ont connu l’époque où l’Eglise russe n’était pas associée aux cosaques, les archimandrites ne roulaient pas en jeep et les manifestants orthodoxes n’exhibaient pas des pancartes avec des mots tels qu’un homme bien élevé ne pourrais les énoncer même dans un tête-à-tête. L’Eglise s’associait alors avec les noms de l’archiprêtre Alexandre Men, de Sergueï Averintsev et d’Olivier Clément. Pour un intellectuel qui a vécu cette période, Saint François d’Assise dont le nouveau Pape porte désormais le nom, est sûrement quelqu’un de très proche. Il évoque, entre autre, également un brillant essai de Chesterton traduit par la tant aimée Natalie Trauberg ainsi que le dialogue avec le loup et les oiseaux des Fioretti et son « Chant du Soleil » traduits par Averintsev.
Nous te louons, Seigneur, pour toutes tes créations,
Surtout pour notre frère bien-aimé – le Soleil…
Vladimir Golovanow
Chroniques d'Abitibi 1.
C'est grâce à "PO" que je suis entré en contact épistolaire avec le père George, qui est intervenu récemment. Il assure une présence orthodoxe au bout du monde, à 600 Km au nord-est de Montréal, en plein dans ce "Wild" que connaissent les lecteurs de Jack London ou Curwood. Il s'est installée dans l'Abitibi, dont l'Orthodoxie est pratiquement absente car la région est nominalement catholique, et y a construit une chapelle dédiée à Sainte Marie Madeleine pour y chanter l'Office divin quotidien. Les lecteurs intéressés trouveront plus de détails sur le site que le père George a réalisé et où il raconte le court passé orthodoxe de la région dont il ne reste que deux églises vides, transformées en musée ou monument historique.
J'ai demandé au père George de retracer le parcours qui l'a amené de Belgique au fin fond du Canada et il n'as pas dit non... En attendant je vous propose cette page de réflexion sur notre Eglise extraite de son site
L'Église comme réalité spirituelle.
Les immigrants qui avaient fondé les églises russes en Abitibi percevaient l'Orthodoxie essentiellement comme un ensemble de coutumes ethniques et familiales. Ils n'avaient guère idée des richesses spirituelles de leur propre Tradition.
Chroniques d'Abitibi 1.
C'est grâce à "PO" que je suis entré en contact épistolaire avec le père George, qui est intervenu récemment. Il assure une présence orthodoxe au bout du monde, à 600 Km au nord-est de Montréal, en plein dans ce "Wild" que connaissent les lecteurs de Jack London ou Curwood. Il s'est installée dans l'Abitibi, dont l'Orthodoxie est pratiquement absente car la région est nominalement catholique, et y a construit une chapelle dédiée à Sainte Marie Madeleine pour y chanter l'Office divin quotidien. Les lecteurs intéressés trouveront plus de détails sur le site que le père George a réalisé et où il raconte le court passé orthodoxe de la région dont il ne reste que deux églises vides, transformées en musée ou monument historique.
J'ai demandé au père George de retracer le parcours qui l'a amené de Belgique au fin fond du Canada et il n'as pas dit non... En attendant je vous propose cette page de réflexion sur notre Eglise extraite de son site
L'Église comme réalité spirituelle.
Les immigrants qui avaient fondé les églises russes en Abitibi percevaient l'Orthodoxie essentiellement comme un ensemble de coutumes ethniques et familiales. Ils n'avaient guère idée des richesses spirituelles de leur propre Tradition.
De nouvelles expériences scientifiques menées à l'Université de Padoue confirmeraient que la toile du Suaire de Turin date bien du premier siècle après Jésus-Christ. C'est ce qu'affirment le professeur Giulio Fanti et le journaliste Saverio Gaeta dans un livre sorti le 27 mars 2013 en Italie. Le Saint Suaire n’a été exposé que quatre fois au cours des cent dernières années, les dernières en 2000, pour le Jubilé, et en 2010. La prochaine ostension publique n’est pas prévue avant 2025.
Selon les auteurs, les résultats de l'analyse chimique et mécanique menées à l'Université de Padoue confirment l'antiquité de la toile du Suaire. Cet élément est donc compatible avec la tradition qui considère que la toile de lin imprimée avec l'image d'un homme crucifié est bien celle qui a enveloppé le corps de Jésus descendu de la croix, rapporte le vaticaniste Andrea Tornelli, sur le site 'Vatican Insider'.
Selon les auteurs, les résultats de l'analyse chimique et mécanique menées à l'Université de Padoue confirment l'antiquité de la toile du Suaire. Cet élément est donc compatible avec la tradition qui considère que la toile de lin imprimée avec l'image d'un homme crucifié est bien celle qui a enveloppé le corps de Jésus descendu de la croix, rapporte le vaticaniste Andrea Tornelli, sur le site 'Vatican Insider'.
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