Plateforme libre de discussion
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Le cinéaste Pavel Lounguine a réalisé un nouveau film, « Le chef d’orchestre », il s’est inspiré de l’œuvre musicale du métropolite Hilarion de Volokolamsk « La Passion selon Mathieu ». L’action du film se situe à Jérusalem. Un orchestre vient dans cette ville afin d’y interpréter « La Passion ». Des évènements tragiques induisent chez les personnages une véritable renaissance spirituelle.
Le film sortira en avril, à la fin du grand carême. Le 26 février la télévision a programmé une émission intitulée « Le dimanche du Pardon ». Le métropolite Hilarion s’y entretiendra avec Pavel Lounguine. Ils parleront de la repentance, du pardon, de l’amour, de l’art ainsi que du « Chef d’orchestre ». Interfax religion
Traduction "PO"
Parlons d'orthodoxie «Tzar», un film de Pavel Lounguine
"TSAR" : Un interview avec Pavel Lounguine
Le film sortira en avril, à la fin du grand carême. Le 26 février la télévision a programmé une émission intitulée « Le dimanche du Pardon ». Le métropolite Hilarion s’y entretiendra avec Pavel Lounguine. Ils parleront de la repentance, du pardon, de l’amour, de l’art ainsi que du « Chef d’orchestre ». Interfax religion
Traduction "PO"
Parlons d'orthodoxie «Tzar», un film de Pavel Lounguine
"TSAR" : Un interview avec Pavel Lounguine
Rédigé par Parlons d'orthodoxie le 24 Février 2012 à 18:55
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L’utilisation des embryons en Russie est également frappée de moratoire mais cette norme sera désormais transposée dans une loi. Voici ce qu’en pense Vassili Roulinski, secrétaire de presse du département synodal de charité religieuse et du service social
L’Église orthodoxe russe ne se prononce pas contre les technologies cellulaires mais il n’en reste pas moins que certains aspects de la législation dans ce domaine demandent à être précisés. C’est en ces termes que les milieux religieux commentent le sens des amendements au projet de loi «Sur les technologies cellulaires biomédicales ». Ce texte peut être soumis à la Douma au printemps prochain et les religieux insistent qu’il doit donner une définition précise de l’embryon et interdire l’utilisation de ses cellules à des fins scientifiques et médicales.
L’Église orthodoxe russe ne se prononce pas contre les technologies cellulaires mais il n’en reste pas moins que certains aspects de la législation dans ce domaine demandent à être précisés. C’est en ces termes que les milieux religieux commentent le sens des amendements au projet de loi «Sur les technologies cellulaires biomédicales ». Ce texte peut être soumis à la Douma au printemps prochain et les religieux insistent qu’il doit donner une définition précise de l’embryon et interdire l’utilisation de ses cellules à des fins scientifiques et médicales.
PRAVOSLAVIE i MIR et RELIGARE
Yulia Zaitsteva
Traduction p.Serge Model
L'ouvrage a été présenté par ses éditeurs M.M.André Staritchenkov et Vadim Matissov. Sont intervenus le professeur André Zoubov, ainsi qu'Anna Danilova, rédacteur du site "Pravoslavie i mir", les designers du livre ainsi que Xenia et Nikita Krivochéine. Il y avait dans la salle de nombreux enseignants et journalistes.
L'interprète et écrivain russe, personnalité reconnue de l'émigration russe Nikita Krivochéine s'est exprimé catégoriquement en faveur du retrait de la Place rouge des restes de Lénine et des tombes de ses compagnons. N. Krivochéine a déclaré cela le 20 février à Moscou, lors de la présentation du recueil des œuvres théologiques de son oncle — l'archevêque Basile (Krivochéine, 1900-1985) de Bruxelles et de Belgique.
Yulia Zaitsteva
Traduction p.Serge Model
L'ouvrage a été présenté par ses éditeurs M.M.André Staritchenkov et Vadim Matissov. Sont intervenus le professeur André Zoubov, ainsi qu'Anna Danilova, rédacteur du site "Pravoslavie i mir", les designers du livre ainsi que Xenia et Nikita Krivochéine. Il y avait dans la salle de nombreux enseignants et journalistes.
L'interprète et écrivain russe, personnalité reconnue de l'émigration russe Nikita Krivochéine s'est exprimé catégoriquement en faveur du retrait de la Place rouge des restes de Lénine et des tombes de ses compagnons. N. Krivochéine a déclaré cela le 20 février à Moscou, lors de la présentation du recueil des œuvres théologiques de son oncle — l'archevêque Basile (Krivochéine, 1900-1985) de Bruxelles et de Belgique.
Syrie: Les chrétiens vont payer de leur vie en cas d’intervention étrangère, estime l’Eglise orthodoxe russe
L’Eglise orthodoxe russe estime qu’une intervention étrangère dans les affaires syriennes conduira à une guerre civile et à la mort de nombreux innocents. Les chrétiens seront les premiers à payer pour cette ingérence, a déclaré le président du Département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou, le métropolite Hilarion, le 23 février 2012 à Moscou.
"La récente adoption par l’Assemblée générale des Nations Unies d’une résolution dirigée contre le gouvernement syrien, en dépit des protestations de la Russie, a ouvert la possibilité d’un déploiement de forces militaires étrangères en Syrie, comme ce fut le cas en Libye. Une telle situation pourrait conduire à une guerre civile, qui pourrait durer des années et faire des dizaines de milliers d’innocentes victimes", a déclaré le métropolite Hilarion. Des propos rapportés par l’agence Interfax, le 24 février 2012.
L’Eglise orthodoxe russe estime qu’une intervention étrangère dans les affaires syriennes conduira à une guerre civile et à la mort de nombreux innocents. Les chrétiens seront les premiers à payer pour cette ingérence, a déclaré le président du Département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou, le métropolite Hilarion, le 23 février 2012 à Moscou.
"La récente adoption par l’Assemblée générale des Nations Unies d’une résolution dirigée contre le gouvernement syrien, en dépit des protestations de la Russie, a ouvert la possibilité d’un déploiement de forces militaires étrangères en Syrie, comme ce fut le cas en Libye. Une telle situation pourrait conduire à une guerre civile, qui pourrait durer des années et faire des dizaines de milliers d’innocentes victimes", a déclaré le métropolite Hilarion. Des propos rapportés par l’agence Interfax, le 24 février 2012.
Un article de Constantin Matsan, traduit par Laurence Guillon
Revue FOMA
SITE du monastère Sainte-Elisabeth à Minsk
Tout fait maison
Ces fresques ont été faites par nos artisans… me racontait mère Hillaria, l’économe du monastère, dans l’église de l’icône de la Mère de Dieu toute puissante.
— Comment ça, les vôtres ? m’étonnai-je. Les fresques étaient vraiment d’une beauté inhabituelle, on sentait qu’elles étaient l’œuvre de professionnels.
— Par les ouvriers de nos ateliers de peinture murale…
Dans l’église suivante, se répète un dialogue semblable.
— L’iconostase est l’œuvre de nos artisans.
— C’est-à-dire de votre propre atelier ?
Revue FOMA
SITE du monastère Sainte-Elisabeth à Minsk
Tout fait maison
Ces fresques ont été faites par nos artisans… me racontait mère Hillaria, l’économe du monastère, dans l’église de l’icône de la Mère de Dieu toute puissante.
— Comment ça, les vôtres ? m’étonnai-je. Les fresques étaient vraiment d’une beauté inhabituelle, on sentait qu’elles étaient l’œuvre de professionnels.
— Par les ouvriers de nos ateliers de peinture murale…
Dans l’église suivante, se répète un dialogue semblable.
— L’iconostase est l’œuvre de nos artisans.
— C’est-à-dire de votre propre atelier ?
Un article de Constantin Matsan, traduit par Laurence Guillon Revue FOMA
Le monastère dédié à la Sainte et vénérable martyre, la Grande Duchesse Elisabeth, a été créé en été 1999 dans la banlieue de Minsk, le village de Novinki (qui fait actuellement partie de la ville). C’est la Communauté orthodoxe des sœurs de la Charité laïques qui a donné naissance au monastère.
Un exemple de ce que peut être le rythme de la vie monastique
…C’était une véritable rédaction, avec des portes de verre et des cloisons, les vibrations constantes d’une imprimante et des textes imprimés jetés de tous les côtés, des épreuves, des maquettes de livres etc. Il n’y avait d’inhabituel qu’une seule chose : voir dans cet environnement des sœurs en habit monastique. Cela se déroulait dans les éditions du monastère Sainte-Elizabeth à Minsk. « Elles n’auraient pas l’habit, j’aurais pensé que c’étaient des journalistes ordinaires… » m’est-il passé par la tête.
Le monastère dédié à la Sainte et vénérable martyre, la Grande Duchesse Elisabeth, a été créé en été 1999 dans la banlieue de Minsk, le village de Novinki (qui fait actuellement partie de la ville). C’est la Communauté orthodoxe des sœurs de la Charité laïques qui a donné naissance au monastère.
Un exemple de ce que peut être le rythme de la vie monastique
…C’était une véritable rédaction, avec des portes de verre et des cloisons, les vibrations constantes d’une imprimante et des textes imprimés jetés de tous les côtés, des épreuves, des maquettes de livres etc. Il n’y avait d’inhabituel qu’une seule chose : voir dans cet environnement des sœurs en habit monastique. Cela se déroulait dans les éditions du monastère Sainte-Elizabeth à Minsk. « Elles n’auraient pas l’habit, j’aurais pensé que c’étaient des journalistes ordinaires… » m’est-il passé par la tête.
V.G.
Définition: Les rubriques" sont les remarques en lettres rouges qui indiquent, dans les livres liturgiques, les règles des offices et des cérémonies; ce sont aussi ces règles elles-mêmes.
Assez peu d'entre nous s'intéressent aux "rubriques", et pourtant ce sont elles qui fixent l'ordo des célébrations liturgiques dont nous ne discutons pas l'importance primordiale pour notre perception de l'Orthodoxie. Cette semaine ces "rubriques" sont particulièrement importantes car des chants de carême, empruntés au Triode de carême, sont intégrés tous les jours aux offices des Vêpres et des Matines. Les spécialistes vont chercher les précisions dans le Typikon, pour les autres moinillon.net/ propose une explication simplifiée et un mode d'emploi…
Mais sommes-nous nombreux à nous intéresser au sens de ces lectures que bien peu écoutent? Pour ceux que cela intéresserait je propose un court extrait du canon des mâtines du mercredi de cette semaine de carnaval (sans viande) ou des laitages (Масленица), généralement célébrées le mardi soir (21 février cette année):
Définition: Les rubriques" sont les remarques en lettres rouges qui indiquent, dans les livres liturgiques, les règles des offices et des cérémonies; ce sont aussi ces règles elles-mêmes.
Assez peu d'entre nous s'intéressent aux "rubriques", et pourtant ce sont elles qui fixent l'ordo des célébrations liturgiques dont nous ne discutons pas l'importance primordiale pour notre perception de l'Orthodoxie. Cette semaine ces "rubriques" sont particulièrement importantes car des chants de carême, empruntés au Triode de carême, sont intégrés tous les jours aux offices des Vêpres et des Matines. Les spécialistes vont chercher les précisions dans le Typikon, pour les autres moinillon.net/ propose une explication simplifiée et un mode d'emploi…
Mais sommes-nous nombreux à nous intéresser au sens de ces lectures que bien peu écoutent? Pour ceux que cela intéresserait je propose un court extrait du canon des mâtines du mercredi de cette semaine de carnaval (sans viande) ou des laitages (Масленица), généralement célébrées le mardi soir (21 février cette année):
Skite de Notre Dame de Kazan
Lieu de mémoire et lieu de vie des chrétiens orthodoxes, installé en pleine campagne de la Brie, le Skite Notre Dame de Kazan à Moisenay est, en outre, un lieu de paix et de prières. Il est la lumière vivante de la spiritualité orthodoxe en Seine-et-Marne.
Ce patrimoine commun des chrétiens orthodoxes en France est l’œuvre de personnes inconnues de l’Histoire, dont le souvenir se perpétue au travers d’archives ou avec la mémoire des vivants. Nous sommes tous redevables de ce bien précieux à ceux qui ont fidèlement vécu une vie simple et qui pourtant reposent dans des tombes que l’on ne visite pas. En effet, les chrétiens orthodoxes auxquels nous devons le Skite Notre Dame de Kazan reposent au petit cimetière du village de Moisenay dans 63 tombes oubliées de tous.
Lieu de mémoire et lieu de vie des chrétiens orthodoxes, installé en pleine campagne de la Brie, le Skite Notre Dame de Kazan à Moisenay est, en outre, un lieu de paix et de prières. Il est la lumière vivante de la spiritualité orthodoxe en Seine-et-Marne.
Ce patrimoine commun des chrétiens orthodoxes en France est l’œuvre de personnes inconnues de l’Histoire, dont le souvenir se perpétue au travers d’archives ou avec la mémoire des vivants. Nous sommes tous redevables de ce bien précieux à ceux qui ont fidèlement vécu une vie simple et qui pourtant reposent dans des tombes que l’on ne visite pas. En effet, les chrétiens orthodoxes auxquels nous devons le Skite Notre Dame de Kazan reposent au petit cimetière du village de Moisenay dans 63 tombes oubliées de tous.
"La VIE"
Marie-Lucile Kubacki
En déplacement à Paris, Mgr Hilarion Alfeyev, président du département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou, est revenu sur le principal obstacle à la visite du Pape en Russie, et a appelé l'Eglise catholique à des "pas concrets" en faveur du dialogue. Rencontre avec un homme brillant, diplomate et musicien.
A l'occasion des premières journées du livre orthodoxe à Paris, samedi 18 février, dont La Vie était partenaire, Mgr Hilarion Alfeyev, métropolite de Volokolamsk et président du département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou, a visité le séminaire russe en France, inauguré il y a deux ans à Epinay-sous-Sénart. Une arrivée tout en sobriété qui n'a pas manqué pourtant de susciter une vague de respect parmi les séminaristes. Il faut dire que l'homme en impose par son parcours et le fait qu'il est aujourd'hui considéré comme le numéro deux d'une Eglise où le nombre de monastères est passé de 18 à plus de 800 en 25 ans depuis la fin de l'oppression soviétique. "Et nos monastères sont vraiment pleins ! a-t-il lancé avec une pointe d'humour. Nous ne connaissons pas vraiment de crise des vocations..."
Marie-Lucile Kubacki
En déplacement à Paris, Mgr Hilarion Alfeyev, président du département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou, est revenu sur le principal obstacle à la visite du Pape en Russie, et a appelé l'Eglise catholique à des "pas concrets" en faveur du dialogue. Rencontre avec un homme brillant, diplomate et musicien.
A l'occasion des premières journées du livre orthodoxe à Paris, samedi 18 février, dont La Vie était partenaire, Mgr Hilarion Alfeyev, métropolite de Volokolamsk et président du département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou, a visité le séminaire russe en France, inauguré il y a deux ans à Epinay-sous-Sénart. Une arrivée tout en sobriété qui n'a pas manqué pourtant de susciter une vague de respect parmi les séminaristes. Il faut dire que l'homme en impose par son parcours et le fait qu'il est aujourd'hui considéré comme le numéro deux d'une Eglise où le nombre de monastères est passé de 18 à plus de 800 en 25 ans depuis la fin de l'oppression soviétique. "Et nos monastères sont vraiment pleins ! a-t-il lancé avec une pointe d'humour. Nous ne connaissons pas vraiment de crise des vocations..."
Reportage vidéo sur la liturgie du dimanche 12 février 2012 à l'église des Trois-Saints-Docteurs à Paris dont c'était, ce jour-là, la fête patronale.
Le reportage est réalisé par les étudiants du Séminaire orthodoxe russe en France: Alexey Vozniuk et Alexey Vlasov.
Le reportage est réalisé par les étudiants du Séminaire orthodoxe russe en France: Alexey Vozniuk et Alexey Vlasov.
Joost van Rossum
Du 9 au11 février 2012, un colloque international a eu lieu à l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge, pour honorer le vingtième anniversaire du décès du Protopresbytre Jean Meyendorff, théologien et historien de l’Église. Les quatre séances sur l’œuvre de l’un des théologiens orthodoxes les plus renommés du siècle dernier, avec 24 conférenciers, avaient retenu l’attention d’une centaine de participants.
Le colloque avait commencé par des mots d’introduction prononcés par le Recteur de l’Institut, S.E. l’Archevêque Gabriel et par le Doyen, l’Archiprêtre Nicolas Cernokrak. Puis, Mgr Kallistos, Métropolite de Diokleia, a transmis un message de S.S. le Patriarche Œcuménique Bartholomée. Ensuite, M. Joost van Rossum, professeur d’histoire et de théologie byzantines à l’Institut, a prononcé la conférence inaugurale, « Père Jean Meyendorff : une vie dédiée à la science et à l’Église ».
Du 9 au11 février 2012, un colloque international a eu lieu à l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge, pour honorer le vingtième anniversaire du décès du Protopresbytre Jean Meyendorff, théologien et historien de l’Église. Les quatre séances sur l’œuvre de l’un des théologiens orthodoxes les plus renommés du siècle dernier, avec 24 conférenciers, avaient retenu l’attention d’une centaine de participants.
Le colloque avait commencé par des mots d’introduction prononcés par le Recteur de l’Institut, S.E. l’Archevêque Gabriel et par le Doyen, l’Archiprêtre Nicolas Cernokrak. Puis, Mgr Kallistos, Métropolite de Diokleia, a transmis un message de S.S. le Patriarche Œcuménique Bartholomée. Ensuite, M. Joost van Rossum, professeur d’histoire et de théologie byzantines à l’Institut, a prononcé la conférence inaugurale, « Père Jean Meyendorff : une vie dédiée à la science et à l’Église ».
Le Musée Bible+Orient présente une exposition consacrée aux vêtements des diverses époques de la Bible, du 1er mars au 31 juillet 2012, à l’Université de Miséricorde, à Fribourg.
L’exposition présente les types de vêtements existants aux temps bibliques, les matériaux avec lesquels ils étaient confectionnés, et les usages particuliers auxquels ils étaient destinés. Le Musée Bible+Orient a reconstruit des vêtements sur des figurines, en se basant sur des études de représentations vestimentaires, sur des sceaux-cylindres (cylindres ornés de motifs représentant des dieux ou des symboles du pouvoir et servant la plupart du temps à les imprimer sur de l’argile, ndlr) et sur d’autres d’objets de ses riches collections du Proche-Orient ancien. Ces figurines mobiles ont spécialement été conçues pour représenter des scènes bibliques. Le but est de faire de nombreux liens entre l’époque biblique et l’époque actuelle.
L’exposition présente les types de vêtements existants aux temps bibliques, les matériaux avec lesquels ils étaient confectionnés, et les usages particuliers auxquels ils étaient destinés. Le Musée Bible+Orient a reconstruit des vêtements sur des figurines, en se basant sur des études de représentations vestimentaires, sur des sceaux-cylindres (cylindres ornés de motifs représentant des dieux ou des symboles du pouvoir et servant la plupart du temps à les imprimer sur de l’argile, ndlr) et sur d’autres d’objets de ses riches collections du Proche-Orient ancien. Ces figurines mobiles ont spécialement été conçues pour représenter des scènes bibliques. Le but est de faire de nombreux liens entre l’époque biblique et l’époque actuelle.
A partir de vêpres du mercredi de la semaine des laitages, célébrées le mardi soir, (21 février cette année), nous commençons à dire la prière de Saint Ephrem à la fin de chaque office et cette prière va ainsi scander chaque journée jusqu'à la fin du Grand Carême. Je vous en propose un commentaire particulièrement approfondi:
Citation:
Seigneur et maître de ma vie, éloigne de moi l'esprit
de paresse, d'abattement, de domination, de vaines
paroles; accorde-moi, à moi ton serviteur, un esprit de
chasteté, d'humilité, de patience et d'amour;
oui, Seigneur Roi, donne-moi de voir mes péchés et de
ne pas juger mon frère, car tu es béni dans les siècles
des siècles, Amen.
Citation:
Seigneur et maître de ma vie, éloigne de moi l'esprit
de paresse, d'abattement, de domination, de vaines
paroles; accorde-moi, à moi ton serviteur, un esprit de
chasteté, d'humilité, de patience et d'amour;
oui, Seigneur Roi, donne-moi de voir mes péchés et de
ne pas juger mon frère, car tu es béni dans les siècles
des siècles, Amen.
Vladimir GOLOVANOW
Le référendum du 18 février démontre la fracture de la société:
Le 18 février les Lettons ont rejeté à environ 75% samedi la possibilité d’instaurer le russe comme deuxième langue officielle de leur pays, lors d’un référendum national reflétant le malaise de la minorité russophone de cette ex-république soviétique, qui représente environ un tiers des 2 millions d’habitants de ce pays balte. Le taux de participation a été très élevé (près de 70 %), signe de l’importance que les Lettons ont attaché à ce référendum.
Pendant la campagne, les partisans du «non» ont rappelé que des milliers de Lettons de souche avaient été envoyés par les Soviétiques dans des camps en Sibérie et que la langue russe avait été imposée dans la vie publique pendant que le pays était dominé par Moscou, durant cinq décennies.
Le référendum du 18 février démontre la fracture de la société:
Le 18 février les Lettons ont rejeté à environ 75% samedi la possibilité d’instaurer le russe comme deuxième langue officielle de leur pays, lors d’un référendum national reflétant le malaise de la minorité russophone de cette ex-république soviétique, qui représente environ un tiers des 2 millions d’habitants de ce pays balte. Le taux de participation a été très élevé (près de 70 %), signe de l’importance que les Lettons ont attaché à ce référendum.
Pendant la campagne, les partisans du «non» ont rappelé que des milliers de Lettons de souche avaient été envoyés par les Soviétiques dans des camps en Sibérie et que la langue russe avait été imposée dans la vie publique pendant que le pays était dominé par Moscou, durant cinq décennies.
Du 15 au 18 février 2012, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du patriarcat de Moscou, s’est rendu en visite en France.
Le but principal de la visite du métropolite était sa participation à l'ouverture des Journées du Livre orthodoxe en France, organisées pour la première fois dans la capitale française. En outre, étaient prévues les rencontres du président du DREE avec les membres de l'Assemblée des évêques orthodoxes de la France, avec l'ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la Fédération de Russie en France A. Orlov, ainsi qu’une visite au séminaire orthodoxe russe en France.
Le but principal de la visite du métropolite était sa participation à l'ouverture des Journées du Livre orthodoxe en France, organisées pour la première fois dans la capitale française. En outre, étaient prévues les rencontres du président du DREE avec les membres de l'Assemblée des évêques orthodoxes de la France, avec l'ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la Fédération de Russie en France A. Orlov, ainsi qu’une visite au séminaire orthodoxe russe en France.
VG
Les voies de Dieu sont décidément impénétrable: traduit et disponible sur le site orthodoxie.com en format pdf, le texte de cette importante interview de Mgr Hilarion (1) au site « Bogoslov.ru » (« Théologien ») est disponible en format html (facile à manipuler) sur le site du Département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou. Je vous le propose ci-après avec quelques coupures, corrections d'erreurs de traduction et titres intermédiaires qui facilitent la lecture. Orthodoxie.com au format PDF.
Les voies de Dieu sont décidément impénétrable: traduit et disponible sur le site orthodoxie.com en format pdf, le texte de cette importante interview de Mgr Hilarion (1) au site « Bogoslov.ru » (« Théologien ») est disponible en format html (facile à manipuler) sur le site du Département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou. Je vous le propose ci-après avec quelques coupures, corrections d'erreurs de traduction et titres intermédiaires qui facilitent la lecture. Orthodoxie.com au format PDF.
Grigori Koubatiane
Ces îles froides du nord de la Russie, qui baignent en mer Blanche, ont toujours joué un rôle important dans l’histoire du pays. Il fut un temps on une prison y était sise, pas moins sinistre que la Bastille en France, Alcatraz aux Etats-Unis ou Auschwitz en Pologne. À partir du XVème siècle, des prisonniers politiques haut placés ont été retenus dans les geôles du monastère des îles Solovki. Il n’existait pas, à l’époque, de centres pénitentiaires spéciaux, et les condamnés étaient enfermés dans les tours ou les caves d’inébranlables forteresses. Le monastère des Solovki était justement de ces bâtisses. Ni les Suédois, ni les Danois, ni même l’imposante flotte britannique qui assiégea le monastère durant la guerre de Crimée en 1854, n’eurent raison de ses épais murs de granit.
La colonisation du nord de la Russie est passée par le monastère des Solovki. Quasiment autonome, le monastère était riche et il disposait de ses propres écoles, de ses fabriques et de sa flotte, et sa bibliothèque était l’une des plus précieuses de la Russie des tsars. Mais la révolution de 1917 a ruiné et saccagé le monastère.
Ces îles froides du nord de la Russie, qui baignent en mer Blanche, ont toujours joué un rôle important dans l’histoire du pays. Il fut un temps on une prison y était sise, pas moins sinistre que la Bastille en France, Alcatraz aux Etats-Unis ou Auschwitz en Pologne. À partir du XVème siècle, des prisonniers politiques haut placés ont été retenus dans les geôles du monastère des îles Solovki. Il n’existait pas, à l’époque, de centres pénitentiaires spéciaux, et les condamnés étaient enfermés dans les tours ou les caves d’inébranlables forteresses. Le monastère des Solovki était justement de ces bâtisses. Ni les Suédois, ni les Danois, ni même l’imposante flotte britannique qui assiégea le monastère durant la guerre de Crimée en 1854, n’eurent raison de ses épais murs de granit.
La colonisation du nord de la Russie est passée par le monastère des Solovki. Quasiment autonome, le monastère était riche et il disposait de ses propres écoles, de ses fabriques et de sa flotte, et sa bibliothèque était l’une des plus précieuses de la Russie des tsars. Mais la révolution de 1917 a ruiné et saccagé le monastère.
Clémence Laroque
Cité de l’Anneau d’or, Serguiev Possad s’enorgueillit du monastère de la Trinité-Saint-Serge, assimilé au cœur de la foi orthodoxe russe et classé au patrimoine mondial de l’Unesco. À 70 kilomètres au nord de Moscou, Serguiev Possad - ou Zagorsk à l’ère soviétique, en l’honneur du compagnon de Lénine, Vladimir Zagorski - est une étape incontournable sur la route d’Alexandrov.
Le monastère de la Trinité-Saint-Serge est pour de nombreux Russes certes un symbole de spiritualité mais aussi de patriotisme. Fondé vers 1345 par Serge de Radonège, saint patron de la Russie, il est une fierté nationale. Dès les premières années après sa création, l’édifice religieux joue un rôle primordial dans la vie spirituelle, politique et culturelle du pays. Soutenant toujours l’État, il réussit à s’attribuer les faveurs des éminences de l’époque, ce qui lui permet de faire croître ses terres et ses richesses. Au XVIIIème siècle, le monastère devient le plus riche propriétaire foncier de Russie et se voit décerner le rang honorifique de Laure par Elisabeth Petrovna, fille de Pierre le Grand.
Cité de l’Anneau d’or, Serguiev Possad s’enorgueillit du monastère de la Trinité-Saint-Serge, assimilé au cœur de la foi orthodoxe russe et classé au patrimoine mondial de l’Unesco. À 70 kilomètres au nord de Moscou, Serguiev Possad - ou Zagorsk à l’ère soviétique, en l’honneur du compagnon de Lénine, Vladimir Zagorski - est une étape incontournable sur la route d’Alexandrov.
Le monastère de la Trinité-Saint-Serge est pour de nombreux Russes certes un symbole de spiritualité mais aussi de patriotisme. Fondé vers 1345 par Serge de Radonège, saint patron de la Russie, il est une fierté nationale. Dès les premières années après sa création, l’édifice religieux joue un rôle primordial dans la vie spirituelle, politique et culturelle du pays. Soutenant toujours l’État, il réussit à s’attribuer les faveurs des éminences de l’époque, ce qui lui permet de faire croître ses terres et ses richesses. Au XVIIIème siècle, le monastère devient le plus riche propriétaire foncier de Russie et se voit décerner le rang honorifique de Laure par Elisabeth Petrovna, fille de Pierre le Grand.
Ouvre-moi les portes du repentir ; ô Toi qui donnes la vie...
Ainsi chante l’Église à partir de ce dimanche, premier dimanche du Triode, dimanche qui est une porte par laquelle nous entrons dans cette période favorable au repentir et qui nous mène à Pâques.
Ainsi l’Église orthodoxe, dès aujourd’hui, invite ses fidèles à accueillir “la fête des fêtes”.par une longue période de repentir, de recueillement, de retournement du cœur, de pardon, de jeûne au sens le plus strict, mais aussi le plus large à la fois (le jeûne des passions). Ce temps liturgique est un temps de préparation, où le repentir nous procure une joie discrète et une allégresse printanière. Tout au long de cette période l’Église va faire défiler devant nous plusieurs scènes spirituelles qui nous orientent vers la pénitence.
Pour nous exhorter à la vraie repentance, l’Église nous rappelle aujourd’hui cette parabole qui met en scène devant nous ces deux hommes qui viennent au Temple pour prier. Dieu les écoute tous les deux, mais un seul repart du Temple justifié.
Ainsi chante l’Église à partir de ce dimanche, premier dimanche du Triode, dimanche qui est une porte par laquelle nous entrons dans cette période favorable au repentir et qui nous mène à Pâques.
Ainsi l’Église orthodoxe, dès aujourd’hui, invite ses fidèles à accueillir “la fête des fêtes”.par une longue période de repentir, de recueillement, de retournement du cœur, de pardon, de jeûne au sens le plus strict, mais aussi le plus large à la fois (le jeûne des passions). Ce temps liturgique est un temps de préparation, où le repentir nous procure une joie discrète et une allégresse printanière. Tout au long de cette période l’Église va faire défiler devant nous plusieurs scènes spirituelles qui nous orientent vers la pénitence.
Pour nous exhorter à la vraie repentance, l’Église nous rappelle aujourd’hui cette parabole qui met en scène devant nous ces deux hommes qui viennent au Temple pour prier. Dieu les écoute tous les deux, mais un seul repart du Temple justifié.
Vladimir Golovanow
Le cheminement de l'Eglise orthodoxe en Amériques (OCA) vers l'autocéphalie est souvent cité dans différents débats, mais sans que la réalité en soit vraiment bien connue. Aussi il me semble intéressant de rappeler la communication qu'avait faite Serge Schmemann, le fils du père Alexandre, lors de la deuxième Table Ronde de l’OLTR en 2004 La situation me semble pratiquement la même actuellement et je propose ce texte avec seulement quelques coupures et des titres intermédiaires ( texte complet ici)
Citation:
…
Un bref rappel historique de l'orthodoxie en Amérique.
Cette histoire commence avec l'arrivée de huit missionnaires venant du monastère de Valamo en 1794. L’Église s'implanta peu à peu à travers les Etats Unis, surtout en raison de l'arrivée d'un grand nombre d'immigrants. Jusqu'à la révolution russe, la plupart des communautés orthodoxes en Amérique -grecque, arabe, roumaine et autres faisaient partie du diocèse russe (1).
Le cheminement de l'Eglise orthodoxe en Amériques (OCA) vers l'autocéphalie est souvent cité dans différents débats, mais sans que la réalité en soit vraiment bien connue. Aussi il me semble intéressant de rappeler la communication qu'avait faite Serge Schmemann, le fils du père Alexandre, lors de la deuxième Table Ronde de l’OLTR en 2004 La situation me semble pratiquement la même actuellement et je propose ce texte avec seulement quelques coupures et des titres intermédiaires ( texte complet ici)
Citation:
…
Un bref rappel historique de l'orthodoxie en Amérique.
Cette histoire commence avec l'arrivée de huit missionnaires venant du monastère de Valamo en 1794. L’Église s'implanta peu à peu à travers les Etats Unis, surtout en raison de l'arrivée d'un grand nombre d'immigrants. Jusqu'à la révolution russe, la plupart des communautés orthodoxes en Amérique -grecque, arabe, roumaine et autres faisaient partie du diocèse russe (1).
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Surprenantes fresques dans un monastère en Serbie
19/09/2024 13:35 - Patrick -
"Il n'y a aucune excuse pour ceux qui déclenchent des guerres", - Mgr Onuphre, Primat de l'Eglise d’Ukraine, PM
14/04/2023 05:58 - Gilles -
Le père George Egorov, sa visite pastorale à la Légion étrangère
12/12/2022 12:55 - Baron André -
OSCE demande à Russie ce cesser la destruction d'églises en Ukraine
10/05/2022 03:22 - pere jean -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
14/04/2022 19:15 - Hai Lin -
Deux hiérarques russes s’expriment à titre personnel à propos de la guerre et de la paix, de la situation en Russie
14/04/2022 10:39 - Marie Genko -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
14/04/2022 10:26 - Marie Genko -
Le Parlement Européen a condamné le patriarche Cyrille et a félicité le clergé orthodoxe qui s'est opposé à la guerre en Ukraine
13/04/2022 21:21 - Gilles -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 23:05 - Théophile -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 22:00 - Nadejda na Mir
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