Au cours d'un voyage aux Etats-Unis, l'évêque Artémie de Raska et de Prizren, ordinaire de l'Eglise orthodoxe serbe au Kosovo, a plaidé une fois de plus pour une résolution bilatérale de la question du statut de cette province autonome de Serbie. "L'indépendance n'est pas la seule issue possible, affirme l'évêque serbe cité par Washington Times. L'Occident nous appelle à la recherche d'un compromis, mais la seule solution qui nous est proposée est la capitulation".
Il ne s'agit pas de la premire visite de Mgr Artémie à Washington. Il en a effectué plusieurs auparavant pour alerter les autorités américaines de la gravité du problème du Kosovo.
En évaluant les récentes élections présidentielles en Serbie, Mgr Artémie a refusé de les considérer comme "un choix entre l'Europe ou la Russie ou bien comme un référendum sur la question du Kosovo". Selon ses paroles, le candidat perdant T. Nikolic que l'Occident considère comme pro-russe, "est promoteur du rapprochement entre la Serbie et l'Union européenne", tandis que le président élu B. Tadic " a récemment signé un important contrat énergétique avec la Russie". Dans tous les cas, les deux candidats étaient convaincus que le Kosovo doit rester une partie de la Serbie. En effet, le Kosov a été le berceau de la culture serbe et ne peut lui être ôté de façon unilatéral et autoritaire.
Il ne s'agit pas de la premire visite de Mgr Artémie à Washington. Il en a effectué plusieurs auparavant pour alerter les autorités américaines de la gravité du problème du Kosovo.
En évaluant les récentes élections présidentielles en Serbie, Mgr Artémie a refusé de les considérer comme "un choix entre l'Europe ou la Russie ou bien comme un référendum sur la question du Kosovo". Selon ses paroles, le candidat perdant T. Nikolic que l'Occident considère comme pro-russe, "est promoteur du rapprochement entre la Serbie et l'Union européenne", tandis que le président élu B. Tadic " a récemment signé un important contrat énergétique avec la Russie". Dans tous les cas, les deux candidats étaient convaincus que le Kosovo doit rester une partie de la Serbie. En effet, le Kosov a été le berceau de la culture serbe et ne peut lui être ôté de façon unilatéral et autoritaire.