L’Archimandrite BARSANUPHE (Ferrier), décédé le 20 octobre dernier dans sa 84èmeannée, a d’abord reposé à l’intérieur de l’église du skit du Saint Esprit (Yvelines), lieu où il vivait depuis qu’il était devenu moine en 1964 et où se trouve la tombe du grand iconographe, le père GRÉGOIRE (Kroug), mort en 1969.
Ses enfants spirituels l’ont veillé là durant trois jours, puis à Paris, en la cathédrale de la Sainte Trinité, la nuit précédant ses funérailles, lesquelles ont eu lieu le 24 octobre 2018.
A la suite de la Divine liturgie, l’office des funérailles a été présidé par Monseigneur NESTOR. Les concélébrants étaient l’archiprêtre Innokenti (VIAUD), le hiéromoine JOSEPH (Pavlinciuc), le hiéromoine NICODÈME (Pavlinciuc), le père Nicolas (NIKICHINE), le père Augustin (SOKOLOWSKI), le père Sergueï (KIM), le père Gabriel (LACASCADE), le protodiacre André (CHÉPELOV), le diacre Roman (ONICA). Étaient présents également le vicaire général de la cathédrale, le père Maxime (POLITOV), le père Ioann (DIMITROV) et le père Michael (ROUSSEAU).
Le chœur, au sein duquel figuraient notamment le protodiacre Alexandre (KÉDROFF) et le lecteur Nil (FERRIER), était dirigé Marina Politova.
Autour de l’Archimandrite BARSANUPHE étaient rassemblés, outre sa famille, les moniales et des fidèles de ses monastères – celui de l’icône de la Mère de Dieu de Korssoun, à Grassac en Charente, et celui de l’icône de la Mère de Dieu de Znaménié, à Marcenat dans le Cantal -, ainsi que des fidèles du skit du Saint Esprit, dont il était l’higoumène, et ceux de la paroisse de Vanves (Hauts-de-Seine) - lieux où il célébrait régulièrement depuis son ordination en 1986.
Parmi l’assemblée se trouvaient plusieurs personnes représentant d’autres religions, notamment le diacre Robert McKeon (de la paroisse catholique Saint Louis en l’Ile), Myriam Bouregba, ancienne vice-présidente du Groupe d’Amitié Islamo-Chrétienne (GAIC) et Jacques Hubert, Secrétaire général de la Conférence Mondiale des Religions pour la Paix - dont le père BARSANUPHE était vice-président.
A la fin de la cérémonie, Monseigneur NESTOR a rendu un hommage personnel, profondément spirituel, au père BARSANUPHE : «Ilétait un vrai moine. (…) Je pense que c’est une très grande perte pour toute l’Église du Christ en France et au-delà ».
L’enterrement s’est déroulé le lendemain au monastère de l’icône de la Mère de Dieu de Korssoun, dans le hameau de Doumérac, à Grassac en Charente.
Sous un soleil radieux, le cortège a suivi le cercueil porté par des Géorgiens depuis l’Église de la Dormition jusqu’au cimetière, situé en contrebas du monastère. L’office a été célébré par l’archiprêtre Innokenti accompagné par les chants des moniales.
Ont notamment participé à cette cérémonie Madame la Maire de Grassac, Sylvie Bernard, le vicaire général représentant Monseigneur Gosselin, évêque d’Angoulême, le père Guy Rougerie, ainsi que les moniales du monastère orthodoxe de la Transfiguration à Terrasson-Lavilledieu (Dordogne).
Ses enfants spirituels l’ont veillé là durant trois jours, puis à Paris, en la cathédrale de la Sainte Trinité, la nuit précédant ses funérailles, lesquelles ont eu lieu le 24 octobre 2018.
A la suite de la Divine liturgie, l’office des funérailles a été présidé par Monseigneur NESTOR. Les concélébrants étaient l’archiprêtre Innokenti (VIAUD), le hiéromoine JOSEPH (Pavlinciuc), le hiéromoine NICODÈME (Pavlinciuc), le père Nicolas (NIKICHINE), le père Augustin (SOKOLOWSKI), le père Sergueï (KIM), le père Gabriel (LACASCADE), le protodiacre André (CHÉPELOV), le diacre Roman (ONICA). Étaient présents également le vicaire général de la cathédrale, le père Maxime (POLITOV), le père Ioann (DIMITROV) et le père Michael (ROUSSEAU).
Le chœur, au sein duquel figuraient notamment le protodiacre Alexandre (KÉDROFF) et le lecteur Nil (FERRIER), était dirigé Marina Politova.
Autour de l’Archimandrite BARSANUPHE étaient rassemblés, outre sa famille, les moniales et des fidèles de ses monastères – celui de l’icône de la Mère de Dieu de Korssoun, à Grassac en Charente, et celui de l’icône de la Mère de Dieu de Znaménié, à Marcenat dans le Cantal -, ainsi que des fidèles du skit du Saint Esprit, dont il était l’higoumène, et ceux de la paroisse de Vanves (Hauts-de-Seine) - lieux où il célébrait régulièrement depuis son ordination en 1986.
Parmi l’assemblée se trouvaient plusieurs personnes représentant d’autres religions, notamment le diacre Robert McKeon (de la paroisse catholique Saint Louis en l’Ile), Myriam Bouregba, ancienne vice-présidente du Groupe d’Amitié Islamo-Chrétienne (GAIC) et Jacques Hubert, Secrétaire général de la Conférence Mondiale des Religions pour la Paix - dont le père BARSANUPHE était vice-président.
A la fin de la cérémonie, Monseigneur NESTOR a rendu un hommage personnel, profondément spirituel, au père BARSANUPHE : «Ilétait un vrai moine. (…) Je pense que c’est une très grande perte pour toute l’Église du Christ en France et au-delà ».
L’enterrement s’est déroulé le lendemain au monastère de l’icône de la Mère de Dieu de Korssoun, dans le hameau de Doumérac, à Grassac en Charente.
Sous un soleil radieux, le cortège a suivi le cercueil porté par des Géorgiens depuis l’Église de la Dormition jusqu’au cimetière, situé en contrebas du monastère. L’office a été célébré par l’archiprêtre Innokenti accompagné par les chants des moniales.
Ont notamment participé à cette cérémonie Madame la Maire de Grassac, Sylvie Bernard, le vicaire général représentant Monseigneur Gosselin, évêque d’Angoulême, le père Guy Rougerie, ainsi que les moniales du monastère orthodoxe de la Transfiguration à Terrasson-Lavilledieu (Dordogne).