Pour célébrer le dixième anniversaire de l'ouverture à Moscou de la représentation permanente de l'Eglise orthodoxe des pays tchèques et de Slovaquie, le métropolite Christophe de Prague, son primat, s'est rendu en Russie. Le dimanche 22 novembre, il a concélébré la divine liturgie avec le patriarche Cyrille de Moscou à l'église Saint-Nicolas, siège de la représentation moscovite de l'Église des pays tchèques et de Slovaquie.
Dans son discours à la fin de la célébration, le patriarche Cyrille a souligné l'importance qu'il accorde à l'approfondissement des échanges fraternels entre les Églises orthodoxes locales: "Autrefois, séparés par des milliers de kilomètres, les patriarches et les primats des Églises orthodoxes locales vivaient dans une isolation. Leur seul lien était celui de la prière et des sacrements qui se manifestait par l'appartenance à l'Église une, sainte, catholique et apostolique. En effet, ces liens n'ont pas de frontières et pour les entretenir, il n'y a pas besoin de la communication humaine. Mais il ne faut pas en même temps oublier que les Églises sont les communautés humaines - parfois très grandes, embrassant de peuples entiers. Ces communautés, présidées par les évêques, les prêtres, ont besoin de communication humaine." C'est l'objectif des représentations ecclésiales orthodoxes, de favoriser les échanges entre les fidèles des différentes Églises locales.
A son tour, le métropolite Christophe a souligné combien les liens étroits et fraternels avec le patriarcat de Moscou sont chers et importants pour l'Église orthodoxe en Tchéquie, Moravie et Slovaquie, autrefois fille de l'Église russe et depuis plusieurs décennies, Église autocéphale: "Nous croyons que les relations fraternelles et amicales entre nos Églises continueront à se renforcer et à se développer. Nous en prierons toujours le Seigneur".
Dans son discours à la fin de la célébration, le patriarche Cyrille a souligné l'importance qu'il accorde à l'approfondissement des échanges fraternels entre les Églises orthodoxes locales: "Autrefois, séparés par des milliers de kilomètres, les patriarches et les primats des Églises orthodoxes locales vivaient dans une isolation. Leur seul lien était celui de la prière et des sacrements qui se manifestait par l'appartenance à l'Église une, sainte, catholique et apostolique. En effet, ces liens n'ont pas de frontières et pour les entretenir, il n'y a pas besoin de la communication humaine. Mais il ne faut pas en même temps oublier que les Églises sont les communautés humaines - parfois très grandes, embrassant de peuples entiers. Ces communautés, présidées par les évêques, les prêtres, ont besoin de communication humaine." C'est l'objectif des représentations ecclésiales orthodoxes, de favoriser les échanges entre les fidèles des différentes Églises locales.
A son tour, le métropolite Christophe a souligné combien les liens étroits et fraternels avec le patriarcat de Moscou sont chers et importants pour l'Église orthodoxe en Tchéquie, Moravie et Slovaquie, autrefois fille de l'Église russe et depuis plusieurs décennies, Église autocéphale: "Nous croyons que les relations fraternelles et amicales entre nos Églises continueront à se renforcer et à se développer. Nous en prierons toujours le Seigneur".