Le patriarcat de Moscou est solidaire avec la position du pape Benoît XVI sur les moyens de lutter contre le SIDA et le fait que les préservatifs ne peuvent pas être considérés comme un remède contre cette maladie.
"Il est faux de considérer les préservatifs comme un moyen d'enrayer la propagation du SIDA", a déclaré le 20 mars l'archiprêtre Vsévolod Tchapline, vice-président du département des relations extérieures du patriarcat de Moscou, en commentant la polémique suscitée par les propos du pape de Rome en voyage en Afrique. Selon le père Tchapline, ce ne sont pas les moyens extérieurs de contraception qui peuvent diminuer la propagation du SIDA, mais une éducation juste et un mode de vie raisonnable.
"Si une personne mène une vie peccamineuse, débauchée, se drogue, n'a pas de sens ni de modération dans son existence, elle périra de toute façon d'une maladie ou d'une autre. Aucun préservatif et aucun médicament ne pourront l'en sauver". Selon le père Tchapline, "la propagation du SIDA ne peut être arrêtée que par une éducation éthique de la population concernée et non par le recours aux préservatifs".
"Il est faux de considérer les préservatifs comme un moyen d'enrayer la propagation du SIDA", a déclaré le 20 mars l'archiprêtre Vsévolod Tchapline, vice-président du département des relations extérieures du patriarcat de Moscou, en commentant la polémique suscitée par les propos du pape de Rome en voyage en Afrique. Selon le père Tchapline, ce ne sont pas les moyens extérieurs de contraception qui peuvent diminuer la propagation du SIDA, mais une éducation juste et un mode de vie raisonnable.
"Si une personne mène une vie peccamineuse, débauchée, se drogue, n'a pas de sens ni de modération dans son existence, elle périra de toute façon d'une maladie ou d'une autre. Aucun préservatif et aucun médicament ne pourront l'en sauver". Selon le père Tchapline, "la propagation du SIDA ne peut être arrêtée que par une éducation éthique de la population concernée et non par le recours aux préservatifs".